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Full text of "La Glaneuse : pièce lyrique en trois actes"

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J    1 


H.  BARON 

Music  and  JBooks 

136  CHATSWORTH  ROAD, 

LONDOM,  N.W.2.,  ENGLAND 


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"  LA  GLANEUSE"  (i«  Acte) 


GRAND-THEATRE   DE    LYON.     —   "LA  GLANEUSE",    pièce  lyrique  en  trois  actes,  de  MM.  A.  Bernède  el 

Paul  de  Choudens,  musique  de  M.JFélix  Fourdrain.  


"  LA  GLANEUSE  "  (2«  Acte) 


La  Glaneuse 

Pièce  Lyrique  en  trois  Actes 
Poème  de 

ArthurBERNÈDE  et  Paul  de  CHOUDENS 

Musique  de 

Félix  Fourdrain 


Partition  Chant  et  Piano 


Paris,  CHOUDENS,  Editeur, 
30,  Boulevard  des  Capucines, 30. 

TÔL'âûnciisd'exëeûtwnpub/iûue.ûerenroi/ucùoûeid'ârwwEmenlsrésvw^ 
y  comûris  ,dSt/èdô,/â/i/û/'yège  et/eûâflemâpà. 

U.S. A. Copyright  by  Choudens.190.S. 
Impfl.fliiwt,  fsm. 


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M.  Félix  FOUR  DRAIN 

Le  jeune  compositeur  dont  le  théâtre  de  Lyon 
vient  de  représenter  la  Glaneuse  est  né  à  Paris 
en  1880.  Il  fit  ses  études  au  Conservatoire  où 
il  eut  comme  maîtres  Massenet  et  Widor  pour 
la  composition,  Alex.  Guilmant  pour  l'orgue. 
C'est  dans  la  classe  de  ce  dernier  qu'il  obtint 
un  Ier  prix  en  1902. 

L'abondance  de  ses  idées  le  dirigea  de  bonne 
heure  vers  la  composition  et,  au  lieu  de  débuter, 
comme  la  plupart  des  jeunes  gens  par  une  demi- 
douzaine  de  mélodies,  il  forma  son  style  en 
écrivant  une  Messe  qui  fut  exécutée  en  1897 
par  un  orchestre  de  80  musiciens.  Il  avait  alors 
17  ans. 

Ses  autres  œuvres  sont  :  deux  Suites  d'or- 
chestre, un  trio,  des  pièces  pour  flûte  et  piano 
et,  pour  le  théâtre,  La  Légende  au  Point  d'Ar- 
gentan, qui  obtint  un  vif  succès  à  l' Opéra-Co- 
mique en  1907  et  fut  ensuite,  représenté  à 
Reims,  Grenoble,  Avignon,  Rennes,  Le  Caire  et 
Nantes. 

Dans  la  Glaneuse  dont  nous  rendons  compte 
d'autre  part,  M.  Fourdrain  a  affirmé  ses  qua- 
lités de  musicien  de  théâtre,  selon  les  traditions 
des  maîtres  français. 

Actuellement,  M.  Fourdrain  prépare  un  ou- 
vrage en  5  actes,  La  Forge  sur  un  poème  de 
MM.  A.  Bernède  et  de  P.  Choudens. 

Il  est  peu  de  compositeurs  qui,  à  28  ans 
se  soit  fait  une  place  aussi  importante  dans  la 
musique  dramatique. 

G.  B. 


Intérim.         lement  commerciales,  et  par  conséquent  peu  iavo 


nous  trouvons  le  leit   motif  principal  de  la  parti- 
tion  : 


Il  circulera  dans  tout  l'ouvrage  ;  au  cours  de 
l'orage  (en  la  mineur  avec  le  fa  #)  puis  en  mineur 
dans  un  autre  rythme  sous  la  forme  suivante  : 


Après  ce  thème,  signalons  celui,  très  expressif, 
entendu  dès  le  premier  duo  d'amour. 


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La  Glaneuse 


Grand  Théâtre  de  Lyon  :  La  Glaneuse,  pièce 
lvrique  en  3  actes  de  MM.  de  Choudens  et  Arthur 
Bernède,  musique  de  M.   Félix  Fourdrain. 

La  Glaneuse  est  une  pièce  tour  à  tour  dramatique 
et  pastorale,  amoureuse  et  mystique.  En  voici  le 
sujet,  dont  l'analogie  avec  celui  de  Sanga  s'explique 
par  le  fait  que  M.  de  Choudens  collabora  aux  livrets 
de  ces  deux  ouvrages. 

L'action  se  passe  dans  les  Vosges.  Pierre,  fils  du 
riche  fermier  Didier,  est  fiancé  à  Suzel,  fille  de 
Muller.  Leur  mariage  doit  être  célébré  après  la 
moisson.  Mais  voici  qu'un  ouragan  dû,  dit-on,  au 
mauvais  sort  jeté  par  «  la  Glaneuse  »  ravage  la 
récolte  de  Muller.  Cette  «  Glaneuse  »  nouvellement 
revenue  au  pays  n'est  autre  que  la  mère  de  Pierre, 
et  si  elle  quitta  Didier,  c'est  qu'elle  fut  autrefois 
chassée  par  lui  pour  l'avoir  trompé. 

Le  second  acte  se  passe  en  divertissements  et 
ballets,  puis  se  termine  par  une  querelle  entre  Muller 
et  Didier,  qui  ne  veut  plus  donner  son  fils  à  Suzel, 
dont  la  dot  a  été  engloutie  dans  l'ouragan. 

Au  dernier  acte  on  assiste  à  un  pèlerinage  de 
jeunes  filles,  suivi  d'une  scène  expressive  daus 
laquelle  la  Glaneuse  ne  peut  s'empêcher  de  révéler 
à  Pierre  qu'elle  est  sa  mère.  Sur  ces  entrefaites  arrive 
Didier.  La  Glaneuse  le  supplie  de  donner  son  fils 
pour  époux  à  celle  qu'il  aime.  Elle  promet  de  s'en 
aller  pour  toujours  si  sa  prière  est  exaucée.  Mais  la 
procession  repasse  et  la  voix  de  Suzel  se  détache  : 

«  Seigneur,  exaucez-nous  et  daignez  envoyer  au 
cœur  de  son  père,  la  grâce  et  le  pardon  et  qu'il  prenne 
pitié  de  notre  amour  !   » 

Ces  derniers  mots  ont  désarmé  Didier  et,  dans  un 
bel  élan,  :  «  Reste,  dit-il  à  sa  femme,  j'ai  par- 
donné.   » 

Le  compositeur  :  M.  Félix  Fourdrain,  n'est  pas  un 
inconnu.  On  se  rappelle  encore  le  grand  succès 
qui  accueillit  son  ouvrage  :  La  Légende  du  Point 
d' Argentan,  joué  à  l' Opéra-Comique  en  1907, 

Élève  pour  la  composition  de  MM.  Massenet  et 
Widor,  M.  Fourdrain  a  hérité  de  ces  Maîtres  le  don, 
si  rare  aujourd'hui,  des  idées  mélodiques,  avec  l'art 
de  les  développer  et  la  science  de  l'orchestration. 

Après  le  thème  de  la  Glaneuse,  qui  symbolise 
le    désespoir, 

fin  ^.jiUjij^iflT'iririM 


Puis,  au  deuxième  acte,  au  cours  de  la  scène  de 
rupture  entre  Didier  et  Muller. 

Au  premier  acte  nous  aurions  encore  pu  citer  la 
phrase  très  tendre  de  Muller  à  sa  fille  : 

«  Comme    un    rayon    de    soleil    clair, 
«  Qui    frappe    à    la    vitre    vibrante..., 

Le  prélude  du  deuxième  acte  est  une  page  orches- 
trale calme,  qui  repose  des  clameurs  précédentes 
accompagnant  l'ouragan.  Nous  y  retrouvons  le 
premier  leit  motif  en  mi  mineur  (avec  le  sol  #)  et 
le  thème  d'amour,  qui  alternent  avec  une  pensée 
nouvelle,  le  tout  finissant  dans  une  grande  sérénité. 

Les  airs  de  ballet  de  cet  acte  ont  un  caractère 
vosgien  et  alsacien  très  marqué.  La  Ballade,  d'un 
caractère  archaïque,  écrite  dans  le  premier  mode  du 
plain    chant,    est    bien    venue. 

Du  dernier  acte,  il  faut  mentionner  le  thème  si 
pathétique  de  Pierre  retrouvant  sa  mère  : 


et  le  duo  de  Didier  et  la  Glaneuse. 

Nous  avons  dit  que  la  note  mystique  était  mêlée 
à  ce  drame.  Elle  est  représentée  d'abord  par  les 
chants  du  Miserere  et  la  psalmodie  de  l'Ave  Maria 
pendant  l'orage,  puis  au  dernier  acte,  où  les  chants 
du  Magnificat  et  de  l'Ave  Maria  accompagnent  le 
pèlerinage. 

Accueilli  par  un  grand  succès,  l'ouvrage  a  été 
monté  avec  un  soin  dont  il  faut  féliciter  MM.  Flon 
et  Landouzy.  Louons  tout  d'abord  M.  Flon,  qui 
est  un  excellent  chef,  et  son  orchestre,  qui  a  été 
parfait. 

Le  soprano  dramatique  :  Mme  Claessens,  donne 
au  rôle  de  la  Glaneuse  toute  l'émotion  désirable  et 
Mlle  Sabrou  est  une  charmante  Suzel.  M.  Auber 
(Didier)  est  tragique  et  M.  Cotreuil  (Muller)  a  un  bon 
jeu  scénique.  M.  Allemans  a  réglé  la  mise  en  scène 
d'une  façon  très  intéressante. 

Nous  attendons  maintenant  avec  confiance 
M.  Fourdrain  dans  un  ouvrage  en  5  actes  :  La  Forge, 
en  préparation  avec  les  mêmes  collaborateurs. 

Henry  EymiEU. 


CALAIS 

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GrancL-Thcâtre.  —  Nous  venons  d'avoir 
une  très  belle  reprise  de  La  GlaneuscJYœuvr& 
du    regrette    compositeur    Fourdrain. 

Selon  la  volonté  exprimée  par  le  défunt, 
quelque  temps  avant  sa  mort,  à  M.  Paul 
Douai,  directeur  du  Grand-Théâtre,  c'est 
yime  Nina  Ratti,  la  créatrice  du  rôle,  qui 
incarna    La    Glaneuse. 

E  le  le  joua  en  comédienne  „  accomplie, 
possédant  un  jeu  de.  scène  véritablement 
émouvant  et  sincère  et  chanta  son  rôle  avec 
le  talent  le   plus  sûr. 

Elle  était  entourée  par  Mme  Madeleine 
Beyre,  toujours  gracieuse  fit  charmante  dans 
Suzel,  M.  Paul  Sterlin',  un  Pierre  bon  chan- 
teur et  comédien  très  simple  d'allures,  M. 
Arschodt,  un  Didier  dur  et  autoritaire,  M. 
Coussart  qui  fit  valoir  d'appréciables  pro- 
grès. 

Les  autres  rôles  et  les  figurations  ainsi 
que  les  cheeurs  ont  droit  à  des  éloges  ainsi 
que  M.  Alloo  et  son  orchestre,  pour  la  con- 
duite et  l'exécution,  si  coloriée,  si  exprès- 
sive    et    si    mélodieuse  de    cet    ouvrage. 

M.  Masson  brossa  pour  la  premier  acte 
une  toile  de  fond  représentant  des  champs 
de  blé   aux  épis   d'or   d'un    réalisme   parfait. 

Cinq    levers    de    rideau    et    l'insistance    du 

public    à    saluer    l'auteur    furent    pour    M. 

Moisson    la    consécration   d'un   talent   qui    fit 

de  cet  artiste  le  triomphateur  de  cette  belle 

,  soirée.  —  L.  F. 


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LA  GLANEUSE 

PIÈCE  LYRIQUE  EN  TROIS  ACTES 

Représentée  pour  la  première  fois  sur  la  scène  du  Grand-Théâtre  3e  £?on 

en  Février  1909. 


Direction  de  MM.    FLON    et    LANDOUZY 
Chef  d'Orchestre  :  M.  PH.  FLON 


DISTRIBUTION: 

Pierre Ténor Mrs  GEYRE 

Didier Baryton AUBERT 

Muller Basse  chantante COTREUIL 

La  Glaneuse Soprano  dramatique  ou  Mezzo     Mme  M.  CLAESSENS 

Suzel Soprano MUe  SABRAN 

Leclerc  (2™  Ténor J  M.  MALLET.  —  Tarlet  (Baryton  ou  Ténor )  M.  GARASSU. 

Robin  (Baryton  ou  Basse)  M.  VAN-LAER.  —  Un  Marchand  de  Bonneterie  (Ténor)  M.  ÉCHENNE. 

Le  Boulanger,  Un  Montreur  de  Marionnettes  (Ténor)  M.  CERVELLI 

La  Mère  Catherine  (Mezzo)  Mme  RAMBERT. 

La  Mère  François  (Mezzo)  Mme  GERVAL- 

Marthe  (Soprano)  MUe  ROLLAN.  —  Louise  (Soprano)  Mlle  DEL'HOMME. 

Berthe  (Soprano)  MUe  TALBERG.  —  Pauline  (Soprano)  MUe  OLDY. 

Commère*.  Paysans,  Bûcherons,  Tireurs  à  l'arc,  Enfants,  Procession,  Vosgiens  et  Vosgiennes. 


L'action  se  passe  de  nos  jours  en  pleines  Vosges. 


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Mise  ea  scène  de  M.  F.  ALMANZ.  Décors  de  M.  M.  BESQUET 

Divertissement  réglé  par  M.  SOYER  de  TONDEUR. 

Chefs  des  Chœurs  :  Chefs  du  Chant  : 

.MM.  PIRON  et  JOURDEY  MM.  GINIÈS  et  PAUL  FLON 

A.  C.  13.871- 


INDEX 


ACTE  I.  —  La  Ferme  de  Muller. 

Pages 

Scène        i.         «  Mon  fils  aime  ta  fille  » Didier  et  Muller 2 

—  il.         «  Suzel  et  Pierre,  tous  deux  s'aiment  »  .    .    .     Muller 13 

—  m.         «  Père.../  » Suzel  et  Muller 14 

—  IV.         «  Pour  plaire  à  mon  ami  » Suzel 21 

—  v.         «  Bonjour  Suzel  » Marthe,  Louise,  Berthe,  Pauline,  la  mère  Cathe- 

rine, la  mère  François  et  d'autres  commères    .    .  25 

—  vi.         «  Ah  !  méchantes  commères  » Pierre  et  les  mêmes 40 

—  vu.         «  Ne  pleure  plus  » Pierre  et  Suzel 45 

—  vin.          *  Pauvre  chère  maman  » Suzel 56 

—  ix.         «  Ici  Von  sera  peut-être  » La  Glaneuse  et  Suzel 57 

—  x.         «  Allons,  vous  autres  >•• Muller,  Tarlet.Leclerc,  Robin  et  d'autres  paysans  78 

—  xi.         «  Oui,  c'est  cela,  file  !  •» Les  mêmes,  moins  la  Glaneuse 92 

—  xii.         «  Peut-on  se  mettre  à  fabri  » Pauline,  la  mère  François,  femmes  et  paysans  .  100 

ACTE  IL  —  La  Place  du  Village. 

Prélude 120 

Scène        i.         «  Horiala,  Horiala  » Les  Bûcherons 125 

—  il          «  Gai,  gai,  c'est  jour  de  fête* Tireurs  à  l'arc 133 

—  ni.         «  Gais  enfants  de  Varneville  » Vosgiens  et  Vosgiennes 138 

—  iv.         «  Eh!  les  belles  » Marchands  de  Bonneterie  et  les  mêmes    .    .    .  143 

—  v.        Divertissement 150 

A.  Danse  a  deux 158 

B.  Ensemble 160 

C.  Final,  Danses  et  Chants 164 

—  vi.         «  Deux  sous  de  pain  » La  Glaneuse,  le  Boulanger 181 

—  vu.         «  Bonjour ,  ?nes  chers  petits  » Un  groupe  déjeunes  gens,  puis  les  enf.  et  la  Glan.  186 

—  vin.         «  Quelle  est  cette  femme  » Su/x!,  Pierre,  la  Glaneuse 198 

—  IX.         «  La  pauvre  femme  t> Pierre  et  Suzel -    .  208 

—  x.         «  Pauvres  enfants  » Muller  seul 212 

—  xi.         «  Eh  bien,  Muller  » Muller  et  Didier 215 

—  xii.         «  Père,  qu'y  a-t-il ?  » Pierre,  Suzel  et  les  mêmes 225 

—  xni.         «  Ou  a-t-il  dit  » Pierre  et  Didier 229 

—  xiv.         «  Une  histoire  » La  Glaneuse,  les  Enfants,  le  Montreur  de  Ma- 

rionnettes et  Pierre 240 

—  xv.         *  Regardez  cette  feynme  » La  Mère  François,  Berthe,  Louise,  Tarlet,  Le- 

clerc,  Paysans  et  Commères ,    .  246 

—  xvi.         «  Le  premier  qui  touche  à  cette  femme  »     .    .      Pierre,  la  Glaneuse  et  les  mêmes 251 

ACTE  III.  —  Eu  pleine  Montagne. 

Prélude 255 

Scène       i.         Appel  des  Bergers  dans  la  coulisse,  puis  la  Procession  et  la  Glaneuse 257 

—  il.         «  Cest  la  Pèlerinage  » La  Glaneuse  seule 270 

—  ni.         «  Quoi  !  vous  partez  déjà  » Pierre  et  la  Glaneuse 277 

—  rv.         «  Pierre,  qu'est-ce  donc?  * Les  mêmes  et  Didier 294 

—  v.         «  Vous  savez  bien  •» Didier  et  la  Glaneuse 296 

—  vi.         «  Miserere  Nostri  » La  Procession,  Suzel 308 

—  vu.         «  Reste,  j'ai  pardonné  » Didier,  Pierre,  la  Glaneuse,  Suzel  et  les  mêmes  312 


A.  C.  13.871. 


LA    GLANEUSE 

PIÈCE  LYRIQUE    EN    3  ACTES 


Poème  de 

Arthur  Bernède 
»t  Paul  h*  Choudens 


Musique  de 

FÉLIX    FOURDRAIN 


ACTE    I 

La   Ferme  de  Millier 


Au  fond  une  grande  baie, laissant  apercevoir  un  vaste  champ  de  blé  qui  mûrit  sur  le  versant  de  la  montagne. 

(La  scène   se    passe  de  nos  jours  en  pleines  Vosges) 

PRÉLUDE 

Lent  et   Pesaut   J=50 
Les  doubles  croches  très  accentuées 


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f  S..-    Copyright  by  CHOCDENS    190* 
Psrfr,  (  HO[  ORNS,  Editeur 


Tous  droits  d  édition,  d'eierutioo  puMiijue,  de  Induction. 
il*  reproduction  et  d'arrangements  re'ierve»  pour  ton»  fSyi 
7ioo,prif   la    Suède, la    N«rvèçr  et  at   Danemark 


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Pour  a_masser  tout  ce  que  j  ai, 


^^\içzi^m\4i^ 


1  1    =* 


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Di. 


1» 0- 


2=3: 


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nuit  et   jour surJes  hautes  mon  _  ta  . 


-  gnes,  af  _  fron. 


m 


1  1  '\ 


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a  Tempo 


£iT2£Ri^ 


j'ai  gardé  les  trou,  peaux 

In  peu  retenu 


-ar-Jh 


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É 


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3H-1        I1   1      1 


3* 


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IH      MILLER  (aprement) 


^3 


^  * 


*-î- 


m-4 


t. 


Qu'as-tu  donc  d'argent  que  tu       par.  -les    sihaut? 

a  Tempo 


\>  \>L    i    «i    -*—  *?    - 


r 


^ 


m 


1    1     X       i    -  • 


X     1 


Tkès  décide 
DIDIER 


6v   "p"  rrP   r  t 

7      ^      *=0    D     y     "= 


?f       i 


En  élargissant 


Éi 


^^y 


«- 


pse 


^^ 


Cent    brebis bien     à    moi. 


C'est  ma  for 


I 


A 


W«* 


-B 


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^m 


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S 


42- 


Même    mouv1 


Di. 


5ES 

Se  o 


M 


-  b?, 


$e= 


X       1     x- 


M=M: 


E 


Au  .  -    ne! 

Même   mouv1 


J'en  don    _    ne    la  moi_ 


serrez 


't^ïfh 


m  ^JZ  J 


11  -^ 


ft  t  enjigtach  «Af 


ï=§ 


£*?  •?   -  • 


*  s  3i 

>•     i-    ~r 


3  £     5^ 


rail. 


a  Teuip_o_ 


-g^ 


7J         0 


? 


¥ 


g      i 


_tié      à  monfils, 


lejour  deses  no  _ 

rail.  a  TemP° 


ces 


f 


*  ),     h 


j  f>iJ _  ip 


E^B 


In  peu    rail 


i£3 


HE 


»^*  Sourdines 


S 


^^^^ 


«- 


3e 


5z± 


^i^i^^ 


LJi. 


sans  rigueur 

r  *     ?  *  ^ 


£=â 


s 


;ËÏ=? 


Et  toi que  donnes- 


^  m  nHj;-  -  j 


Lourdement 


S 


5= 


B 


1=3^1 


-^ — ^ 


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S*S* 


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rrrri 


r^r  ^^=^ 


g    I  *P  S 


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£=*f 


ù=± 


a  «      4 


-tu     à  ton  enfant?. 
a  Tempo 


serrez 


rrvr  f 


M ♦miip   iuoiiy! 
I  M  Mt'LI  ER  (couteinplant  sou  champ  de  blo) 


^ 


F^F 


m  •  m 


l'     i>     v   v 


Mu. 


P=¥ 


Dix  hec  _   ta  .  .    res       lou  .   es    et      pay. 


i 


Sfc 


^ 


^ 


s^ 


i 


4: 


A.i 


In  peu    retenu  ,_ 

I r 1        a    lempo 


si 


h      h    s 


23ȣ 


ï 


Mu. 


^ 


moi, 


il        est  bien    ga~_  gne. 
Jï    *\       r-i      T — ^       a  Tempo 


■W'i  v     J  g 


i 


.     (Il  emmène    Didier  vers  le  foncO 


S 


Ë 


Viensvoi 


on* 


connue  il     est       beau, 


gfe 


In  peu  animato 


bien  en   dehors 
MILLER         , - 1       j— 


"1  — — 


±4  P  e  r£ 


2=t 


Tou.te  cet.te         ré.coi  _ 
s 


mè 


m m. 


(fièrement  > 


rit.  ,i    IriniHi 


JJLIUX 


»u 


ff 


Kl    J  •    J 


te,     Cest    la    dol         de  ma  Su  _    iei. 

•  .  a   Tempo 

Pli. 


( Us  surti'iit    deNuut   la  maisuti,  un   les  aperçoit    p;ir  In   baie    grande  uuvertej 


Cédez   ua    peu 


Didier 

ï'empo      , 


>t      allé       au       dehors,     pu;« 


il    re\ient,       tenant       à      la      main     quelques      épi?.) 


Sïi* 


i- 


^ 


-rn  r~^ 


^rn  ni 


^t~- 


r*~ 


R 


tà 


DIDIER  (toujours   rude) 

0 m_\ — r 


fe^  I    Thp.pB 


4*1 


i 


P^OT 


E  3 


Oui      ces  épis  sont 


fcU- 


ip 


J        J     -^ 


P^F 


4 


i?r; 


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5: 
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F 


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S 


Ë 


Di. 


S 


* 


beaux  et  lourds.... 


Lourdement 


MmI  . 


1S 


s 


3  ^       3 


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„P— JTliTO 


âi-.h , 


§^p 


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an 


U/U!f 


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serrez 


E3 


Lourd 


S 


^r~  p  f  p  i"  '■['     "r 


Di 


ic   vois  ta 


pe 


i      .       ne! 


ce     pa.ys    des  Vos    _ 


$ 


mm 


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pesant 


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i — ri r^  a 


1 — l — I 


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V 


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_ges,        la  terre  est  dure      a       travail.  1er! 

m • — 


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1  tL   •  * 


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Plus  vite 

MILLER 


gg 


l — s — l 

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ÉËÉI 


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b"        *  T    ^ 


Ellf  oht     sutrveni     in    _    gra     .      te... 


Plus  vite 


WrV-r^ 


ipg 


-!fc=*: 


Ko  animant 


~Jl|^Jbfj  j^^ 


-«#- 


ttr 


§^p"ff^^g 


n  i  « 


gj^ 


^^ 


$^ 


3  3 


DIDIER 


Large  et   pesant 


^^ 


pt 


Je  lésais! 


b    J\J    ^v 


rron 


court 


Et  quand  les  gerbes  seront  dans  la 
Large  et  pesant    J=67 

*^t » 


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5: 


M 


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Ok  MV  i   ^    g 


te 


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Vf  suives 


^mrrrzrr%^ 


» 


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S 


Di» 


1 


(avec  décision)  i  — 

i — : — i        -^-  ---   Tiu' 


# — + 


i 


F=FP 


W 


gran 

très  ru  filme 
\3  9  <T 


ge> 


les  en  _  fants se  marieront. 


mi^ùfi 


w~*m  f^ 


'S 


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m 


& 


3 


Y, 


Il 


Di.g£ 


1    V*i 


(sombre) 


m    ■     ~m 


m — Hpir  m 


0     0 


^ 


MULLER  (inquiet) 


Non!    pas  avant! Sait  -on,     parce  temps  de  mi 


^ 


ft-^GGi     vœ 


Pas  avant1? 


* 


W^W 


*Fh*6}"l  * 


Jfr/  f  f 


D,« 


i 


* rV    P    P=?P 


c-f-T-m 


_  se  _  .  re, 


ce  qui  peut    ar.  ri  _  ver.. 


i 


Se 


•ail 


£i  i  1  f 


fôj 


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W& 


m 


M 


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I 


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fc^ 


-o- 


Plus  vite 


D,@* 


r« r«— r* 


1      V    V 


tk 


Au  revoir,  Mul    _      1er! 

Plus  vite  pesant 


Cède; 


^m 


^5t^ 


p-- 


D,W 


un  peu  rail. 


rail. 


E 


MULLER 


^  ■>''(;  p<b 


Oui 


après     la  mois_ 


i,    p   t;   iflg— j 


E 


5^ 


Alors,  Didier,  c'est  ente n    _     du! 

a   Tempo         3 


P 


ifê 


rail. 


£fc=* 


^ 


**- 


^ 


w 


eJt 


â 


^ 


^ 


3= 

Ai 


M 


12 


Calme    et   sans    lenteur 


(il  sort) 


SCENxL      H     (Muller,  seul,  pensant  aux    dernières  paroles  de  Didier) 


p  subitement 


Wh   i      I 


m  m- 


"5T 


£3 


L-J  'LU 


13 


MILLER  (librement) 


^  r    g  g 


Cédez  un  peu 


m 


Mu. 


Pier  _   re  tous  deux 


s  ai  .  ment 
Cédez  un  peu 


&fe 


m 


-  s 


a  Tempo 


B: 


*  i  i     ;-* 


t* 


T 


s 


s 


•         3 


1 


m     m     tf—JL 


m— -# 


(un   peu  rude) 

#— ,*— 


^S 


Mu. 


I    y    V    v    v    v    # 


-i       x.       y       h 


3 


Pourquoi      vouloir  re.tarderleur  jbon_  heur?_ 


Ah!  V 


rai. 


m 


m 


Œ=S 


1      x 


p 


22: 


"■nr 


r 


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H 


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BÉ 


T       X 


*        tK 


Mu. 


i 


r— ai 


yby  i\>\     p  p  L^  I  r     v     - 


g    i    i    i»      g    p^ 


^  k  k  k  pgi 


.ment, Didier  n'a  pas  de  c<eur!_ 


Moi,       jauraisconsenti  tout  de 


% 


& 


à 


1 


wft5^ 


i=fc 


?#^ 


expressif 


ÉE# 


s 


>j       é  Y> 


14 


f»e  radoucissant) 


us 


m> 


a? 


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y       *     1 


r>  1         1      X 


?*-— E 


7-4- 


_rer..._ 


Doux   et   calme   en  cédant   un  peu 


C'est     beau  .coup? 


SCENE  III 

_Lil         SUZEL   (entrant  par  la  gauche) 


te 


(avec  élan) 


Très  anime   et  gaiement    J  =96 
tr. 


Pè 


rei 


15 


MULLER  (rondement  en,  chassant  toute  arrière   pensée.) 


(très  décidé) 

T 


m 


Hé 


lu  peu  haletant 


C'est  en.teb. 


!',ULÙ>  U.LÙ 


tm 


H    p 


«A. 


^1 


« a         m 


à 


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E^î 


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».]?,,  f    ?  ■>  î  B  p  P  tt 


à 


r—; — i 


m    * 


E^     »!      Eg    [)=H^E 


.du, pour  après  la  mois-son.. 


Yousvous  épouse. 


I  i    l'ii'i 


É 


Plus  lent 
p  subitement 


TF=¥^ 


PF^f 


/ 


§S=B3 


! 


3      „  Ns' 


D 


a  Tempo  animé 

SUZEL  (frémissant  de  joie) 


w^m 


i 


ËE 


i 


Ah! 


Que     je    suis     heu   .     reu 


sel 


3UTT     P  i  = 


Mu. 


^ 


rezi. 


Tempo  animé    J  =6Ï 


a   lemp 


...  f    H  T    T 


*f     HTf     T> 


#^ 


I»; 


Ml  LLEU  (tendrement  à  sa  fille) 


ï       I'       ^^ 


Plus  mime  #s72 


Comme  un      ray  . 


P±£tT7 


vv 


z. 


w^^ 


m 


in=g 


i 


T- 


f 


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.jqfr     f|      (!      fr^É 


^^2 


n<4 


PE 


on       de       so  .    le  il  clair, 

—  H      : 


Qui 


* 


CTUTJ1 


rmrrr] 


^g 


/^r^ 


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*? 


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Pr^ 


gg 


frappe  à 


la         M 


.    tre  bril  .    lan 


à 


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*f 


3^S 


UL-LèL 


r 


^t* 


.fc=3 


-1      ^     sJ 


f 


f 


17 


@g| 


£ 


i 


yr 


(  ;i   pleine  vo;  k) 


ciel, 


*Ah± 


ses 


i~=a: 


E3 


en    _     tre  eu  nia  m  o_des  .  te    de.mcu 

retenez     un    peu  rail  . 


ï 


J-JTre.- 


hi  a    i  ^ 


^ç 


;s2F 


^ 


§fc 


y      creac . 


If-fe. 


Jte^ 


y 


i*     * 


yy  lourdement 


v< 


? 


77 


1' '  1  (simplement) 


^fnrf 


m     0     m 


3E2 


S 


Mu 


^=^±=i 


^^ 


^* 


* 


Et     dans  ton  pur  regard  den.fant,. 
a  Tempo 

ift*  k      I  I  I  -X— r— K- 


? 


s 


je        lis,       6    ma  fille    a  _  do. 


I 


Hri: 


li>»  S»    î* 


9ë 


PE 


XE 


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»/_ 


Mu 


^ 


ri  r     ^  rfeJ^ 


fr^M^^ië 


£ 


_  re 


c.       le    bonJuur 


et     la    joie 


qui  se 


Piiiii-t- 


^tf  i  ~i==à 


A 


m. 


18 


->tfa=$4 


ggg 


Mnê£ 


eu  cédnnl    tut    peu 

P  ^— 


£3===n 


lpJL-J.J_P.-p 


_^f 


_  pont  li-    rt'. 


0)11 


fort     ilt-     mes  vieil  _  les    ;m  _  ne 


Éf§ï     *=^ 


serrez 


P 


r___= 


£E_ 


m: 


ÊW 


te 


3É 


c 


o 


m: 


uni 


i 


SI"/ El. 


/' 


»  *  p  r 


ff  p*  > 


Mer_ci,  oionPe  _    re, 


3SE 


T=^ 


+^ 


ê=£ 


.  es! 
a  Tempo   et   très  expressif 


ÉÉ 


e=È 


£_ï^&tf£ 


Pi 


ÈèE_ 


__i 


p 


*? 


:^ 


./r 


V 


SSi 


S 


A 


SrtffOTfff 


m 


P  »  ,  j  J  J1 jrrrt 


p  P  g  p  p  iF=!g? 


z_ 


d'avoir  lu  dans  mon  cœur 


et  d'avoir  de _vi- né  mon       a 


iNPf 


m 


?m 


M\    *ffiï 


cre*c. 


r    r- 


mmmmmm 


**  -* 


** 


m 


z_ 


t- 


un   peu  retenu 

(  tendrement  ) 


.  mour 


»*..  > 


S 


j    ;tj 


É 


o       mon  Pè  - 

Pressez    un  peu 


É 


£± 


g— 2 


^B 


y     chaleureux 


^ 


JL 


S 


jCT 


19 


EU 


Su 


•> _   re! 


a   Tempo 


mmm 


t&mgLm 


_  mis 


a  Tempo 

un   peu   retenu 


êj s  fj^j  jj 


Plus  vite 


jJ-JJ  j     JjiJ 


«— 


§ 


^-«- 


srherzando 


"0^  ■TTr  "m"?"  -i  =i§ 


3^5 


S 


§ 


ttf  ff 


Mu. 


^2 


ï 


d'un 


qui  fe  .  ront  la         gri  _  ma 


CL' 


'iJl^H± 


iJ-3-  i-£fa 


20 


[âïï] 


s  ^f^^Ê 


(Muller  ■'•H  n;<   par  le  fond  a  pria  ;is «> i r  mit-  dernière  lois  cinlu  insr 
Susel  qui  Ifcocoiupagne  jusqu'au  seuil) 


Vu 


Pierre  est  un  hou  par  .  f  i 
lu  peu   moins  vite 


lourdement 


%  p  fl-  fr 


gX-44J 


h-- 


■#      -* 


SUZKL  guilUl'Ill 


TFV7'  p'-^Fp-v-j 


c: 


##pppf 


En. cor     mer.  cir  mon 

s;ms   presser 


Pu 


f 


S 


1 


'»/ 


iliin. 


-*- * 


£F 


1  t-S 


±3- 


r 


É 


£^ 


Kieii   soutenu       J  = 


K8 


(sr    V 


^~~r^ 


rzfcÊi 


m 


ma 


±sz 


*^J 


m 


^EEE^ 


PP 


^=^==fi 


ismA 


21 


SCENE   IV 


SUZEL  (toute  joyeuse) 


'bur  plaire  à  mon  ;■  . 


f^^î 


******      1  ^  ^1^       ' 


t^+ 


Pressez 


m 


_  mi, 


je   dois  me  fai.re  bel  _ 

»  Tempo 


le! 


Pressez 


^ 


ï 


scht'rzando 


— T-f^=* 


^ 


5=5=31 


T 


^^= * 


je  puis  met  _  tre  des  fleurs  des    champs 


dans  mes  cli* 


22 


Elle  prend    il»'*  Fleurs  daua  un  \;ist 


sott/enu 


wzttti 


t) 


rrrji 


très  décidé 


Plus   animé 


I 


£ 


i 


s... 


Seee 


Pp^ 


(L.U_!LI 


i± 


^ 


-   main        ,jl-r;u  cher,  cher 
Plus  animé    J  =  100 


lus 


que  dans    la      mon 


=^* 


tv^ 


ï 


ês^l 


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léger 


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Su 


_  ta 


;ne  .     la     sauge    au  doux    par  _  fum  et        la       pà  _       _  le        ver. 


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«a  peu  retenu 


v 


r  ^ç$±irj^^±A^_m^m 


Su 


vei   _     ne, 


dont  les  Fe  _  es     d'auJrefois 


fe^ 


i 


paraient  dit  -  on_leurs fronts. 
un  peu  retenu 


$ 


ta    • 


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Ég 


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Égf-trri- 


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g^^ 


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-    mi 

(  un  instant  pensive,  puis  reprenant)  a    |"    I|[)0 

(  guiment  ) 


m 


m 


3=3=3=3 


rV 


^ 


P^ 


Su. 


m^- 


J'i  _  rai      parles     scn.  tiers         #ù      bon 

a   Tempo 


X         1 


y      1 


ii# 


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yn'j:'    Hl 


H^Héhiê 


s       iH-'i 


:  i  i  ; 


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£ 


Su. 


X  1 


p-pL^Jii 


dis  _     sent    les     chè 


vres, 


coin  _  me  si   je  vou 


p~if)  ift 


u,  f   f 


éée=£ 


IM^ 


pHÉi 


rit 


Lent 


m  y  J'r*  p.  p  p  ig  T 


êM==£ 


g 


Su 


m 


-lais    monter       jusqu'au  ciel         bleuj 

/en 


i 


très   retenu  -. 


M?p» 


as 


Su. 


L-M.   t'  kp    M 


rai!.. 


Mais  je    suis  trop  heu  _   reu 
très    retenu 


se 


I 


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S 


P 


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S 


S 


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\>*  b 


L^LLX 


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Toujours   Ifiit 


N 


o 


mm^mmm^^ 


.l'ai  pour     Je  mon  bon  -  heur 

Toujours   l«'ut  un    peu    anime 


1  -  '«  I       en   élargissant 


Su. 


est      trop  grand 

Leut   et    très  reteuu 

en   élargissant  rail. 


'^iS-i  i  iE^ 


i^=* 


% 


a  Tempo>    leut 


e 


r?j    m. 


i 


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^     v 


§§£Ë 


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-5= 


£=£=£ 


rx 


itrffiHrrJ'fe 


VhTTr* 


■rr    comme  un  carillon  lointain 

î 


SCENE  V 

De*  jeunes  filles   et  des  Commères  paraissent    au  fond.        Elles   se  tiennent    d'abord  sur    le  pas  de  la 

Scherzo    J-=69  #£4*      tt 


h3  fippff-f  iy  i<r  rfff^r  i*C 


gyn 


g   •>        *! 


£ 


W   "^   T 


i 


p* 


porte,    puis    peu   a   peu    s  enhardissant ...    elles    descendent  jusqu'au   milieu    de    la   scèm 


v 


F?  i     i 


un    1 


^p^ 


«J!pWii 


Wis 


>J^    ■> 


JTOH1 


25 


p>  «r  r  fr  r-'if 


Sfc 


^    1        t 


Ijfffï 


tïftf  r^fL^q 


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gg  '  '  ^J 


i      *i 


£=#* 


^: 


I 


MARTHE      minaudant 


p  ir    -^i^^j 


^r^ 


Bon  .  jour Su.zell- 


P 


LOUISE 


t>    U'    •■  1 


■ï — i- 


M 


Bon  _  iourl 
BERTUE 


f^T^T 


tri;   Içpcr  _    _  j^j. 

^un  nrii  jTm 


% 


SUZEL    (  simplement 


^l;^ 


•?     r 


Bon   _   jour!. 


m 


Bo. 


É 


jour! 

la  m  lui:  Catherine 


i    i  i 


^s 


s 


Bon -jour! 

LA    MÈRE    FRANÇOIS 


J6 


Su. 


fr 


v. 


(simplement  ) 


k 


I  l'.'l.'s  chuehott'iil  »i»l  r«--  elle») 

MART1II     i  ironiquement  S 


— tL-M— 
Vous  sa  _ 


11       1g   g   g  I  l! 


1        i 


m 


& 


Mescompli  -ment s ... 

KO Tl  Si:    (de  menu  )  p  ■ 


* 


C  g  P,1  *"*=*=* 


Xlcs  compli  -ments 


£=£É 


m 


M.i  . 


Mes     compl i  _ 


**gtëtè  > 


!Sfc=p3 


m 


&^p 


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Su 


S»'/ 


la  nou.vi'l  _  le? 


É 


t    1       h 


Oui!. 


i 


Effl* 


» 


Lo. 


E 


f 


Oui!..     Ton    pè    .  rc.s'esf char- 


uc. 


"TTTT 


27 


Lo. 


M.C. 


£i 


^ 


m 


de      nous     l'ap   _    pfcnTdre... 


*^ 


fl^r.      J1  ;  J^JÛ^^ 


^F=fr 


vu   e nager nui 


^r 


^r^=# 


e 


pu 


-^ — <? 
re  s'est  chur-gû  de  nous  1  ap_pren_dre...  Ah!  tu      peux     te      van 


i 


& 


&â 


m 


w 


w 


r^r 


êmÊÊ 


m 


W-^  J1  il! 


E^r 


M.C. 


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clian  _  ce 


e& 


.  ter 


d'en  ï 


a  _voir      u    _   ne 


É 


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w  f  ^  -t 


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i 


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>rzr.  1. 1  simplement 


t         i 

28 


de 


E  *7  1 


P^ 


PS 


£=£ 


ïlierre         et      moi... 

a   Te iiij)o 
Cédez   ii-n    peu  -#-""ï'7 

:-  -pbi 


Nous    nous    ai. nions   tant 


-2  S 


i  \   Mi:i;i     I  \  rilERIM    (perfidemeut) 

m ■ — # 


(jippuyaiiO 


Ê 


Sl'ZEL 


ï-L-ÇfïU^ 


Ça  ou  _  pt'iid. 

MARTHE 


m 


i     i     f\ 


-g-r<7 — -— 


«y- 


■A 


La 


M.l 


r~    *i       y 


L'ar_genl  res  . 


le 


S 


Tempo 


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af— 


*l       1       _ 


P   M    'F 


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29 


LOUISE 


Fjr^M 


^m 


*l         «7 


Le  berger      Di      _     dicr, cet    a    -  va 


re 


um 


^n  i 


m  m 


*9  m0  ' 


^^ 


r=r=± 


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SUZEL     presque  parlé      hJ* 


i 


i      i      s 


Mai: 


i^n 


É 


Ë 


p   'p.  r- 


# # 


A         du      long    _    temps  se  fai  _  re  .       pri    _    er 


m 


rrrri 


m 


I 


i 


r      »p    J^z^^f 


é=ë 


P 


Su 


*?  *1 


non. 


É 


MVRTI1E    (d'un  air    mvstérieux) 


On       dit 


t- h   h   h 

é       é       é 
que  pour  son 


30 


* 
i    A- 


V  m  i  naît  d»  nt) 


îê 


¥Trn 


s 


e^#^ 


m 


# — # 


IlS 


il         IV     .     \A\l 


il.  ne  de  _  moi  j   sel    _  .  I 


É 


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4 


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J—^f  ~- 


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si  Zl  I 


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^ë^Œ 


(D'autres  femmes  paraissent) 


«I»1  DO  *;u>, 


l'Ul.l.NK 


1 


ÉÉ 


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►1^> 


S 


jgj  fltjjn  ^ 


=& 


tt     J— *-    l||l      7  »>     l|[»      7  t*^ 


: 


êm 


EU 


(Su/cl    répond   d'un  signe   de    tête   affirmatif) 


S3^ 


^=£=f 


¥^ 


Pa, 


lors 


c'est  vrai?. 


,  f ,  JïJP  »^  ,  t/ff^.  j^ 


//yPAULINK        (avec    une    effusion   ex.-igérée) 


3JL 


É 


^         !■'         p 


4 


Que       je       t'em   _    bras.        _  sel 


LA    MÈRE     FRANÇOIS       y 


31 


É 


à 


MF.  =fe£ 


PF^ 


-» — 
_  ce? 


^A 


i 


quand        la     no    . 

PAULIXE   et  LOUISE      avec  lv  1er  Croupe 


^BjES 


S 


P 


* 


LES    AUTRES    COMMERES 


i 


A    quand la    no    >    ce? 

MARTHE   e»   GERTHE    avec  le   2e  Grou 


MfHV 


s 


\  quand  la     no 


w — 

.  ce? 


un    ne  ii    r 


« 


§1 


Si 


*-g=» 


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Hn   /j<'?/   lourdement 


Ï^PÏ 


t^ 


3& 


y 


T^ 


4* 


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Ê 


1* 


LA  MÈRE    CATHERINE   (avec    une  insinuation    perfide) 


■ 


^ fr 


^^ 


h      1        1 


T 


Ça  n'est  pas    en  _  cor      fait... 

17  n   peu    moins  vite  a  Tempo 


SEZEL 


sans  rigueur 


Éoi  '•  •>  ».  jmihjs    ri i/(i car 


Pourquoi    dire      u   _         _  ne  telle    cho  _  se?.. 


M.l 


■^ 


T~^7Jd3"^^ 


Ah!    voi  -  là..-. 


ÈM 


s 


:>ï 


(insistnul  ) 


i*-^—  ">     1  £-1  f    S  1  T1? 


■   I  a 


il 


Non  _  uns,. 
LES  AUTRES   COMME  RE  S 


par.  lr/.._ 


PAULINE    tt     LOUISE    Hvec  le  Ie.'' Groupe 


t     t     g 


'ar 


É 


^^ 


f^m. 


*' 


g^fe 


Pressez      et 


3#^g 


1 


M 


* 


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h^ji 


I 


^ 


s 


1       1        \-H ■* \ 


^ 


* *—*■ 


i 


_  lez  !  par.  lez  ! 

MU'.IIM    et  BERTI1E  avec  le  2<!  Groupe    j&        n 


i 


par   lez 


i    ^    i 


S 


?av 


anime  de  plu--    en   plu 
serre: 


Par.  lez  I 


par.lczl 

a  Tempo 


LA   MERE   CATHERINE 


I.C. 


É 


bif:n 


£ ^~ 


^Fh"- — fr 


33 


MC 


m 


g  _>  *r^ 


var  . 


.    d( 


I 


ll'r  Groupe 


I 


rr  sopr 


2*  son», 


-fi      • 


y  v  v  i  J  ■ 

Ml!  ah!  ah!      ah! 


g  r  e  - 

~F  P  P 

ah!  ah!  ah!      ah! 


SE 


^ 


feE 


Oh! 


MKZZO    SOPR 


I 


^#— #- 


Groupt 


Oh! 


Oh 


i 


CONTH 


n  "  KL    1-3 


ohr 


W. 


$ 


Pressez       en        animant 


pu 

-3-  -3-   * 


3  3-3^ 


f 


B    * — * 


-* — # 


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rfo  JttJ J  J  J 


HH 


yî> 


# 


g — w 


m 


LOUISE 


m 


i>  j'  i  i'  J' i' 


Maman    «qui.  sa_vez 


ft  ^  r  <p  np  if,  ',m-i^  i.h^aU^ 


\h!  ah!     ah!    ah!    ah!     ah!'  ah!   ah!      ah!   ah     ah         ah 


# 


#^- 


Oh! 


*^F 


#^^ 


i 


te 


^p=^ 


Oh! 


Oh  ! 


s7J 


34 


fTfe-ffmr:— -^H^-H-rr^r^^ 


(avt'C  une  juif    lllflin  .ii  M.') 


tout!" ;il  .    Ions. 


expli. quez  -  vousl. 


Vous  V0\  _  ez 


4  : 


■#  4       *: 


T 


f 


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t.     ? 

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# 


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'i    *i    h«— r  *>    I  j^  ^    ltJ'  *i  -^ 


I 


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l 


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que      Su    _      /cl 


esl  Ion   . 


_  te       son 


I 


geu 

Ici, 


I 


0       0       0 


é—  + 


* 


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4 # 


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h  *>    i    i,  rrr-1! 


"! — r 


pi 


*■■ 


b5 


(-iins    rigueur) 


L«. 


te 


_  cher. 

.        1er  Groupe     SOPK 


Il     f    E       ■       I    ».  m  \  m     m  i  II  l    I,',: 


£ 


^=^= 


i 


Pnr.lez!_ 
2e  Groupe      M  ! 7zo    sopp, 


Par.  lez  L 


I*ar_  lczl 


i  i    «lji|  j^jy    h  i    Sj'l  Jl'Hjil.ni1- 


Par-lczL- 


te  .  >,b^  ; 


a 


t 


w^ 


feÉ** 


HP 


£B 


Par.  lez! Par.  lez! — 

lourdement 


m 


m 


f 


\&<t%t\? 


w 


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^ 


M 


35 


I 


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É=P 


S 


#■ 


RTP 


LA   MERE  CATHERINE 


^ ± 


hfr-^-^ 


D'à    _     bord,  c'est  mon     (!<• 


£Œ 


r 


^ 


♦    : 


LHU la  d«  comme  la  #•  précédente 
SUZEL  (à  partL-/» 


*    r; 


s 


M.C. 


* 


(à  Suzel) 


Mon  D 


îeu! 


^CTT  JTfTpî^— B-t= 


_  voir». 


m 


et    ie      dois  t'a.vcr    .      tir 


,V 


Même   inouv* 

In  d   comme  la  #•  précédente 


•z      >> 


m 


=ÈÉÈ 


ÈEE^ 


ï«   3 


i 


Moins  vite 


Su. 


EU 


(avec  une   haine  à    peine    contenu) 


M.C.. 


ï=* 


p  i  r  •    r  r>  F  mît   J  r  r 


i 


*  '     jl  £ 


Le       pè  _       _  re  de  ton  fi  _on   _  ce 
à   l'aise   et    sans  presser 


a_\ant  d'b'a_bi  - 


r-1 — » 


nz: 


te 


Moins  vite 


fa 


^ 


3b 


SI  ZEL(e«Oiiue'v  .1  inquiète) 


I  <■-  Cointnères  ucoutciii  la   Mère  Catherine 
~~1 


®^ 


y\  c 


1 


y  TJJTj^=$ïJ3   \r-    1p f=fP 


£ 


g      1  ' 


Lu  juin-. 
Lent    *=56 


sa        femme  l'a.yant       trahi 


$ 


J=: 


il  partit       a.vec 


k 


4—r 


i 


t 


J^ 


V* 


«Sri  flirt'* 


T  > 


f 


«5= 


^-, 


fpp 


ffur     p 


»  •  f  y  bp  c 


? 


g  „  us'   h 


&»  iJl  .' 


I — s — I   .HP      r^-i      t 


m^rt&EEwç^ 


M.C.-rfW 


m 


EES 


tf 


son  enfant.  Et  l'enfant   ja_mais  ja_  mais   n'as  revu     sa  mè.re 

In    peu   nniun- 


i 


^èH$ 


^^ 


r 


rit 


m 


I 


g 


fcsarE 


-m 


*¥*■ 


*/p 


^TVTW 


SUZEL  ^      CE* 

-4- '   .Ê  m 


m 


(d'une  \<>ix    tal  uiicbe  ) 


De  grâce  1  ni  us  un  mot...     i'iffnorais. 


rrrrrr 


Pi    *    * 


egracel 
Très  animé    ^  =  92 

t?"  ^  _       il. 


§ 


^gp 


pi  us  un  mot ...     j'ignorais 


hz 


Et  quand  bien 


II 


m 


Π


*-  «s  ~i? 


#4 


./r 


FiTiTi^ 


ïeb 


^ 


■JPL 
*  ^?  | 


3gFf 


q?  k*#51t> 


»* 


S 


«2  ^: 


S^ 


!3«; 


rit. 


37 


*       mé*.  metoulcela     serait-il     vrai,  pourquoi tfépouserai-je  pas     celui  que 


j'ai     _      me?    . 
Large  et  expressif  *  -  06 

II 


Ce  n'est pointsafau  _   te, 


É 


^         «X-   T             Cédez  un  peu 
//'  3^,     '  i  r  i  ' 


Jf      , 


É 


"J^  i  -Q 


t 


#*#* 


LA   MÈRE  CATHERINE  (u 


P=^ 


*— * 


(la   \oix   sifflant»') 


!È 


^^ 


r,    „ 


z3=fc 


Ce  n'est  pas  tout. 


É 


I 

*!ême   niouv*  #«  =  60 


La      Jean  _       .  ne    a  _  vant 


-m — m — a — i      à  ~—  j — l — i      m  Eaiizi: 
*    *    *    î?    *  *     >    ♦    î?    ♦     ♦ 


^ 


P 


m 


j.  jj  l[i;u    j"P-  'j'bi 


-=t^ 


É 


y 


ni. 


M.C 


*  i  i  r 


: — p  p  p 


^^ 


f 


^F-^ 


^=r 


£ 


it^t 


i 


n'e  _  tait  qu'une ser_ van    _  te, 


et        me  _    _   me  u  _  ne       cou. 


*J         B- 


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\n. sez!  - 


_ IlMI     _    M' 

Plus  animé  J-  =  HH 


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Je  nous  en  pri      _     c.. 


M 


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JgFjft^HtrjTffirffi^fh  j'-gj  ^idl 


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muitiii: 


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(s'écartant    peu    ;'i    |>imi    du  Suzel) 
lpr  Groupe     SOP»  j> 


0, 


un 


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«î         f  -f 


COMMÈRES   .(JEUNES    FILLES    ^Ul    c'est      Vla'> 

*  2V  r.r.iiipi-     Ml  //ii   m.>1'1:         /> 


Oui  c'est .  vrai 
V 


1         h       h     :     h      1        1=^ 


3F==^F 


fcS 


Oui  c'est     vrai! 


■é- .    ■*—  ^ 

Oui   c'est      vrai  , 


revenez    peu  à  peu  au  Mouv1  initial  du  Scherzo 


s 


i  orist 


È 


lui 


f-.fn     I" 


-1 1 


Ton  _jours_ 


É 


-# 0 0- 


^=^ 


Ma, 


l'as    ton -jours     dit 


PU  l.l.NL 


?      ■       g 


® 


0       0       0 


1    1  Ci  M 


El 


un    peu   retenu 


U_ne cou    _  reu_se 
a   Te  m  p  o 


3f> 


LA    MÈRE     FRANÇOIS 


r-^-r-tW 


On 


''      'P     P     ''PT? 


^=ft 


J'    *      '    H 


beau         di    _    re,     c'est  tou. jours   en  _   nuv     .     eus     d'é  .  pou 


M.F 


43^V 


PAULINE    et  LOUISE       avec  les  l^sopr. 


£ 


pEZpZZ 


^=^ 


î 


¥ 


1er  Groupe 


_£ L 


1 


ne    bon.  te,  ma 

MARTHE     et  BERTI1E    avec  les  2e  sOP.n 


^^ 


# 


r 


# 


LLne     hon-tc,  ma ehè_ro,   u_ne     lion. te,  ma 

MEZZO    SOPR 


1 


:* 


«h  i  ,h  ;»  Ja 


^^a 


^'^'  i  *ju 


21  GrouPe  11  ne     hon.te,  ma ehè_re,    u.ne 

LA   MÈRE   CATHERINE  et  LA   MÈRE    FRANÇOIS   avec   les   CONTK. 


ï 


-Ji- 


jrr^-j'i  j'  |  Jy  jjm  Jjj/  .M-L^S 


P       t         *7 


sr 


±± 


é   ë    • <r 

U-  ne     hon.te.  ma 


eliè.re,    u.ne     hon.te,  ma chè.re,    u.ne 


% 


Un  peu  moins  vite 


^F^ 


m 


•.Il 


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Lentement 

Hiftetj, 


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j1-* *H 


chè  .    pe      pamre  Si:  _  /«'l...  Pau-vre  Su  _/.cl! 


*è* 


S 


te  il 


*au-vre  Su  .  zol! 


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che  .    pe, 


m 


i 


>  *i     1 


hou 


te! 


É 


^±ES: 


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Lentement 


Tempo   initial   du  Scherzo 


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P 


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suive/. 


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f     W     ^     1  ^  *  =F — 


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SCENE     VI 


P 


P1ERRF.  (entrant) 


jgff 


r     * 


a 


;  1.^1      P=§ 


Très  animé  *  — 104 


Ah  ! médian _fcs,com- 


i  ht  p'P  r~P  p  i»  r  '"'  *>  ipff 


Pi 


me     _      res,  qui    fai  _  tes  pleurer  cette  en    _    fant  !  Allez-vous 

Moins   vite   J«=76 


41 

'Sur  le  geste  .de 'Pierre,  les  commèr-s  se  recuteut  vers  le  fond  de  la  scène  en  murmurant) 


y~t ^  ii  é  p  p  i  ^  ^^ 


^^ 


fil! 


allez-vous    en!. 


^r— E3 


i 


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Sai  i*zi 


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«     i     i 


«i  i   ^  ^  y  i    ^ 


-r-r  -# 


1'1'  Groupe 

cnn      *  bouche  fertit'f 


g=^SS5 


-f — + 


SeS 


Ah!_ 


•2"  Grimpe 

MCZ/n  SiiP. 


i7  htiuchf   fermée 


Ê 


S^îiv  •»  11  i 


Al.!_ 


^^ 


# 


## 


W 


Ah!_ 


!t         -    i      i 


fr~  ^J^^rj 


%ii0hr» 


AETL. 


i 


3^3 


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crr&v. 

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:=*! — iinz 


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t|j  ^i  j^i  g.  j.  '  j  i 


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w 


>#- 


SL'ZEL  (allant  a  Pierre  J  [£\\  Wj|) 


Avec  chaleur 


J      h  h  7 

-* a — ai w- 


É 


I 


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=£*?=; 


P 


à    à     ? 


!.t  de  -  vant   tou  -  tes,jeveux  te      di  -  re  que     je 


^ 


jj?— -r 


Ah!  Ah! 


^    Ah!. 


-±h 


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W-^f-^- 


Ah! 


psi 


33 


IVès  chaleureux 

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* 


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irl-l-H-t 


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z=^: 


** 


«*       tp 


Devant  l'élan  d'amour  de  Suiel.  le*  couuueres  s'en  vont  peu   à  peu, avec  des  riras  mauvais, pondant  que  les 
dernières  lui  hdress0n1   des  adieux  ironique. 


lui  ISE 
IL 


»=3E 


m 


^    y  u 


CesJ  tuu.  chant... 


i 


y\  \iti  ni: 


SëèS 


É 


C'est  char.  mant...__    ,  A  MpRK  FrAncois 


£ 


•  •=*•  Revenez  neu  à  peu  au    mouv*  du  scherzo 


Pau_\r*'    pe 


g £  g    g  S  S    g  g  g     g  g  g    H?    g  g  g 

t    g      *   ~~r — tp      I*     '*      II*      *     .*     i~>     g      r — rw — m — *      i    w    m  -nwz 


m 


i 


i 


i 


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Pa. 


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reux... 


BF.KTHE 


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5^5 


Ne    vous  dis  _    pu  .  tez  pas. 


$ 


T         h        h 


M.C 


=^===T 


f 


-» r- 

Ne     vous 


a  Tempo   Motrv*  initial  du  scherzo 


M 


UàM 


M^ 


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^e — * 


1 


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i     i 


J      i      t 


$ 


MARTHE  (sans  rigueur) 


£ 


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*  » 


1  l 


^^ 


Ne  nous  dispu_tez     pas 


P^m 


M.C. 


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#- -0 


y * » 

dis  .    pu  _    tez 


pas... 


4  4 


I 


l'U  I  IM 

-g — : ^      "0    m 


r~T — T 


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m  ro     von 


oirl 


Bi  Ri  iw 


■*         1         1 


p       1  1 


\u  re .  voir! 


i 


I  OTISE 


55 


*?       *ï 


• — w 


J^L 


lionne     (-'liait 


ce 


i 


*[_f     13 


V  . 


voir! 


I  \  MERE  CATHERINE 


!ê 


-,   -,  j^nr^^ 


An  re  .   v<»ir!. 


rrr-n  nr=n  ^n 


tsr 


I  (M  ISE  et  LES   DERNIERES  COMMERES  (en  s'en  allant) 
r'r  et  if  Groupes 


(Elles  sortent) 


i 


SCENE     VII  Pierre    les     écoute     s'éloigner,  puis  revient  près 

de  Suzel.quil  contemple  doucement. 

I443I  Même  môuv^  la  é-  comme  la  #•  précédente 


*2~ 


m 


:*F*=JF 


rrrrn^=^ 


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-é-0-0    ^ 


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45 


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pressez  un  peu 


PI 


m 


f 


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IF| 


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7  r  •     f~» 


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i 


PIERRE 


V    x      1 


■       ■       1    T7 


^w 


f,    p    * 


g      a 


?ïe  pleure  plus, 
Assez  lent  J*  =66    ^^P^_      PT^^ 


ne  pleure  plus... 


Un  peu  anime 


* 


cil 


/ 


Chaleureux 


r — J— l 

m. *       m 


-2-lr 


^^ 


l'    v    v    p 


Pi -^ 


41P    E,    E    P 


Puis  .que     no 

l n  peu  .  a  n  i  i  n  é 


cœurs 

Chaleureux 


sont    a       Jh-uihis 


tmm 


m 


f 


^m 


g^ 


f    f     f 


"F 


^ 
■^ 


Pi 


p££ 


CerJe_z   un  peu 


E 


p-'^'p  r  r^H^ 


nis, 


et    qu'u .  ne     me.  me         vi    .    e  nous    em_por_te   vers  lu  bon. 


y  ;  f    f 


ggjE 


fr^rji— ti 


^i 


^ 


^s 


i 


Pèd 


i'/' 


4t> 


Un  peu  retenu 


EU 


(Sermut  doucement  Suzel  contre  *<mi  ccuurJ 


mm 

dit 


Avec  une  Franche  gaieté  et  ^lu*  anime 


f 


Pi. 


E 


.les. 


Bcherzando 


Anime    [jeu  à   peu 


'ilMflJT^  a 


JIBÏÏBÏÏTa» 


léger 


m 


i s 1 


3  _ 

m 


F"T  I  |Ve 


# 0- 


9        ?        -g 


k     k     k     k    k  ?k 


_pe 


.    re      que     les     mé_chants|jro     _       pos 


de  ces   coui 


èHTJlffîj>jg^ 


TtfîftflÏÏ 


te 


~9 

Cft'S( 


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s 


M 


Pi. 


I 


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P 


& 


? 


? 


.  me  .        .  rt'S 


on  toi 


n'ont  point  chan. 


Calme  et  soutenu   J  =  H0 


S 


P 


O^n 


p 


g=g 


^J 


-j. 


-go 


* 


^2 


$"  bj  É 


le      son  .  1 1  _  mriit  très  pur 

b b I k 


S 


4-4 — l 


ïiï 


*•=*+ 


il    hï 


%  \î  i      Jnfi 


<■         ri-  k-         4 


rail, 


r     f     ^    f       * 


% 


E3 


^^-H 


m 


^^?=t 


que  je    li.sais- hi.oi'   en  _   cor 


14 


dans  tes  beaux  yeux.  . 

Modéré  et  bien  chante  J  =  84 


f 


-g-  ^7 


-©- 


r — -p  i  r— g 


7T 


Sl'ZEL 


•48 


Su. 


I 


1  e  p  p 

I  es  mots   cru  .  i 

l>*itl>i!ruir>it 


à 


=fa 


sur 


moi  uttnt  |»;is  de  pri     -     S«" 


^|  Plus  calme  et  uu    peu  lent 


_h S 


5 


h    fr    1        h  =S 


Su 


t>(T    •    • 


^^ 


-X        *     dt 


Les  absents  sont  dos  morts; 
Plus  calme  et  uu  peu  lent 


ils  oui  droit    ;m     si  .    Irn 


Êëë 


ce 


jzhm: 


f=f 


§Sî 


^a±^ 


W 


!>*'    o 


ce 


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TT 


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ï*—. =: 


*      — y 


r-    p  H- rr 


g — y 


s«-ife5 


t*^ 


Calme  et  mystérieux   J  =  78 


El      quand    l'ab    _     sente         est  u.nc  mè  _    re,      elle  a 


49 


J>  siil>ila 


^ 


■tl^T^-ÈÈ^r^^ 


droit 


au  respect, 


com  _  oie  si  sud  tombeau  avait    u_te  creu. 


#-w^ — P- 


OA 


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2: 


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■       *        g     B 


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sj— ^-j- 


5 


.Hr>         3^-4 


s 


se  au    pied    desfjrandsor    _     meaiix Ion    .     géant        le  vieux        cL'me. 

Pressez  un  peu 


¥1 


«    1 


W 


_Jp 


1 


« 


±z=±: 


WE. 


W 


Tt* 


Cédez  un  p«* 1 1 


$ 


5 


]>  1    1  J'  J^  J1  J1  J'  g 


.tiê  _ 

a    Tempo 


r^ ...      Nous  n'en  parlerons     plus 


p  P'Pk-^ 


quc'pourprierpour 


i 


é_i 


m 


u- 


p^p 


Û 


^ X         £. 


s^ 


Wf 


*       y_ 


Su.    /k?  f' 


s 


i 


m 


i± 


-*- 


PIEKRE 


(très  vibrant) 


?     x     y    -^ 


■a» 


g 


/joro  rubaio 


ff— *7   P    P   p   p    p  t 


Suzel, 
Plus   animé 


je    re. connais  ton  cojur, 
Chafeureusemeut  é  =  \)'2 


H"  s 


50 


Su.  VH5 


rail 


(  li'inIrcuM  ut  ) 


P 


O 


t!      " 


est  il 


I', 


-L  '2     P 


^ — Pf- 


/'/> 


i* 


I 


EfcE 


<'\ .  nui*        t 


t  (loti 


\. 


^H     fr«i  tnreloppant 

*^4  mT^ 


5):    2 


^^ 


avec  le*  :>  IVd. 


rit. 


Chaud  et  vibrant 

f.^r 


£ 


^^ 


Su. 


Et. . 


.    la.cons  nos    peu  _ 


''  y     p  r 


É 


t'ai  .  nie!  En.  _  la_cons  nos    pt-n. 

rit-  Chaud  et  vibraut*J=80 

&*  é*         .£>  £ï 


-j;rr>s  J 


f§  \fe^ 


MJ  jj  1'^ 


Jfc=» 


f 


51 


os 


En -laçons  nos  pa  _   ro      -       los 

-ri  i — : — i!  i     _ . 


r=fc 


M1  i  l>   p  p 


1        T       tf! 


£^Ê 


* 


F 


_  se       _       os... 


En.  laçons  nos  pa  _    ro      _       los... 


Comme     bion  _ 


flsffl 


i  .Hteà> 


Ju^Uii 


a 


=J» 


fl*:#^ 


^S 


£ 


$ 


Cédez 

j»r- 


fc£ 


Tempo 


^ 


0       0       m. 


Su-Sk^ 


P       P       P 


Connut?  bien .  tôt  nous  nié.  le.rous 


nos 


Pi 


_tôt  nous  mo.lorons      noscliers     bai  .  sors 


El  dans    la   nuit    ojui 


rit. 


ê- 


rm 


a  Tempo 


S 


fe=£ 


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r-»r> 


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JFEsrî» 


S 


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fes:   ^     ± 


* — S: 


SLJt 


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î 


t>* 


:»:> 


Large  M  puissant 

/_  - 


trî's  vibrant 

J  r- 


•all. 


:\       — 


Lent 


<7> 


fr-rç-f ^— T^ 


!p=^ 


»  g 


7=7 


Pour     un    faire    un   rav  -  <>n 


(ji'     I  os.li'ii      -      soir. 


(1  ;i 


i 


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K 


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PZLJ^J^-^^ 


r.T 


Eî 


y  i»  r   r  r^fe 


Pour    en    faire    un    rayiou  (!»•    los_ten 

Kn  «-larjii-saut  r;i|| 

trè*  vibrant  _ 


m 


-M 


m 


soir. 
Lent 


d'ï 


r\ 


2- 


Bic 


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.moiir! 


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Pi. 


mou  ri 


Tempo  J=80 


tujvi  TlijFcjJijj- 


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53 


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Ht, 


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HH     f  «f 


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i   rPh 


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Un  peu  rail. 


(Un    Vii^cliis  tinte  au  lointain! 

£1 


t=j*. 


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p  Htm. 


Vï> 


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Ie^EEE^ 


t,rr  II 


S 


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PIERRE  (se  dégage  douceineul  des  bras  de  Su/tl) 


h  h  h  h 

i      é      é — é- 


0 — # 


Plus  calme  et  mystérieux    J-72 


\  oi,  ci    la  nuit  qui 


54 


Plus  anime 


X  T 


H 


m 


A  demain. 
Plus  animé  J  =m 


ma  Su.zel, 


iJËgl 


IÉ 


^;-:= 


É 


** 


77 


^^ 


:• 


A         (It.maiii    pour  ton  .    jours!. 


Ufcft 


(  l'einbi'Hssmil  chastement  ) 


Ei 


ii     r      f 


f 


i'i 


*     i 


le      hou _  ht* ii i-  d'être  u  .    nia. 


Je 


$h  j  j  riiu  j  ra 


m 


;S* 


n 


m: 


M=IE 


(Il 


a  se  sépare  i 


t  _  Siizel  regard»1  Pierre  s'éloit 


# 


tal 


.    mo. 
Moins  vite  J  =72 


retenez 


a    Tempo  serrez  (Pierre  nu  loin) 


55 


I 


PIERRE  (sur  h  route) 


(Suzel  écoute  avec  une  joie  visible) 


fTTpl'Q  V:1^V-^ 


s.—  *—  û 


X 


Modéré  J  =  80 


Lafleurlaplus  bel   _     le       est   ceLle  qui  fleurit     à  ton  cor.  su    .    ge... 


¥ 


3^=Ê 


=» 


"te" 


1R|: 


1HI1    |r>i(|) 


ret<  nez 


Céil 


ez   tin  ueu 


^T]  SI  ZEL  (repreiianl   doucement  -comme  en  un  rêve) 


HH 


mm 


m 


É 


rfii».         | 3 — | 


La        fleur     lapluspar.fu 


£ 


PPM    (i'jlf 


g  j'-i 


Ê 


cellequetupor.tessurton  cœur.. 


Si 


«fi# 


S 


1Œ- 


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IF 

Un  |>f  n  retenti 


±L 


m 


:feizcE 


J      i    KlJ^ 


1 — : — ' 


j*p 


^^ 


P,M     P  PJ  If 


=s= 


est    celJe  que  je  por_  te  danston   cœur!. 
Un  peu  retenu 


)71 


les    2  Ped. 


5t> 


SCENE  VIII 


s ii / 1  l.iiin  t%\   ili'iiiriui'i'  .m  Pond  <!»■  In  1>hî*',  r«" > ient  fti  seine  et  se  dirige   M'i>  la  cheminée,  sur 
laquelle  il  y  n  un  porl r.nl .  ! 

Un   peu  plus  lent  J=7'2 


A 


^3pP$ 


fcE^ 


.^T^BIS 


m 


30- 


Sl:./.LI.  (VegHrduiH  l«-  port  ru  it,  attendrie) 


^ 


^ 


^ntmi 


£ 


Hë 


Pauvre  chè  _  ne  ma. 


iÉ 


s 


»5n 


j=i     1   ■ 


y-\>  ~T~ 


rTTlA  ^h 


f    E  r^rrv 


3z=:s 


jr — x>r 


i 


^      ^ 


£=^ 


1 — : — ? 


1     A   hi  J 

^    ^  *  ^  — — 


rail. 


<*'    rf 


^7^^-=^ 


manL60mmeel.iL1    serait  heu.  rcu    _      se      du   bon.  heur  de     son  en 


ÎÉ 


I 


i 


r 


^ 


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co? 


S; 


PI 


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3 


ŒiD    a  Tempo 


Su. 


rf  * 


.faut 


a   Tempo 


i 


X±±£$SL 


i 


¥ 


■gg 


£rès  expressif 


m 


pp 


pt 


Ped 


simili 


bien  chanté 


MM 


M JJ 


SCENE    IX 


57 


L;i  Glaneuse  paraît  Elle  inarche  pcniblementen  sappirjtant  sur  un  bâton...  Sur  les  épaules  un  fichu..,. 

.  .    .  I       r  n  Sur  la  tête  une  vieille  capeline 

Leiit, tnste  et  pesante   è~  oU 


3^5 


1_1 


SÈÉ 

vit 


s 


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M 


■  •   ■   mzj. 


«F^^tf^-rs 


m- 


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F-»-»    ■»■ 


LA  GLANEUSE  (sur  le  seuil  )  (à  part  ) 


m 


5=r|r|u 


i 


f 


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jîl'£:    : 


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on  sera  peut- 


!^:  H: 


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^r  '  Fj^»-  •       :îr       2 


F 


ft'M 


La  G 


r— r~i 


HrTOFft 


( s 'adressant  à  Suzel  ) 


m 


w^ 


s^^ 


e.tre  plusge.nereux  qu'aiUeurs! 


Décide 


J  =  72 


MaJ 


émoi. 


S 


«/ 


.-«f 


i 


ZSji 


m 


ê 


w 


Un  peu   moins  vite    sans  rigueur 
SUZEL  I       ■<      I    fT 


-"    f  Jt. 


tt.  p  p  i jnTTa 


;i-Jr— y- 


pi 


Mabonne     fem_  me, que  voulez    -    vous? 


La  G 


_  sel  T"T1 


i^ 


e ... 


Un  peu  moins  vite 


ï 


w 


*~^r 


3=$£ 


\>f  I, 


f 


58 


l  «G 


m 


(très  lusse) 


fe=K 


'     r-T-i 


E  =T-TT3T3 


fiT^Tn^^^Tinfe 


liiueude      pain un      coin  pour  abri Jter  ma     15     _    te...  Je  n'en  puis 

ous  et  triste  J—  72  


i 


SI'ZCI.  (simplement) 


x     *     v=y 


En  .  trez.. 


* 


*^$ 


^; 


I..M. 


Ml». 


et  j'ai  très     Paim, 


1 


f 


w^ 


m 


2?.. 


'F 


lJt 


Ê 


Ê 


lu   aumiant  un  peu 


(Su/t-l  lui  désignant  un  t'iiiitfuil   de  fiai  lie  j 


f* 


H^i 


i 


r^ 


i=±* 


5 


M#^ 


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F 

/"//;  dément 


SUZLL 


# 


*   ;   r-pp 


fiF 


Asseyez- vous, 
a  Tempo   ^  =  72 


?^^Hf> 


re_po_sez  vous  un     peu. 


1 


i 


« 


-g — * 


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s^ 


tpi 


& 


«p- 


?ir. 


59 


Su. 


$ 


|  57  I  (simplement) 

"1  *       ï-^M^ 


L;i  soupe  juste  . 


^^f^r^m 


f=flrflfft 


r- 


r 


Elle  prend  une  écuelle  sur  le  buffet  et  n a 


* 


g  r    p  pfxlt^ 


^^ 


_  nient  fu   _    me  surnotre     feu. 


MLS 


tremper  un   peu  de  soupe  pour  l;i  pauvresse 


Su. 


■>  i  i1  Arorp-p^  i  r    r* 


Je  vaisvousendonner  votre    part 


Bl 


g 


rgmEQ 


_=~^" 


w 


-Htfft* 


ïtt- 


-=—zr 


T- 


f  1    f- 


f  ' 


LA    GLANEUSE 


ilî 


60 


si    /|    | 


h 


T-i* 


TT  ^    fi    fi 


f*~* 


33 


Nous  venez  de  loin? 


LA    (il.AMUSI. 


i 


t' 


* — n-r 


#t — w 


Oui.  dr    très 


^#¥ 


fc=3E 


r~y  p,    » 


P^P? 


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i .:i  «,. 


I 


loin.  .le  suis        cel  _  Icijiionnoiiinir 

revemez  au    Ie'  >lou\l  J  —  1'2 


la  Chilien  _  se, 


ï 


§ 


g 


m 


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)u  j^iTXfrftl    i,MJJÂ.M^i 


La  G. 


a 


7       * 


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et     jevais  me  baissant  vers  les    sillon*,     sous    les  rayons   ardents  du    so 


mm 


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S 


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La  G 


h         0 


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— K--ir 


é'       0        =»= 


-leil  im_  pla.ca  _     _  ble, 


re  .ciiL'il  _  lir  |c>     e 


s 


J=é 


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P<4->  P  B  f      ! 


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5 


mu  />fM  en  dehors 


I 


_  J>_ 


59 


La  G. 


»\>         J  • 


p  r>  r"  c  p  l' r   e 


s 


-  p11 


qui  sont  tombes  des        ger  _  bes 


&^3 


Eu  animant  un  peu 


p-jyym 


ÏP* 


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z^-piY^^  n^m 


La  G 


î£ 


V^Flj 


&- 


1"'"  j&fltffl 


L'hi   -    ver,  c'est  le  bois   mort      des  arbres depouil 

retenez  Plus   agite   J=88 


s 


g 


gn^ 


P^ 


cresc 


5g^E 


3 


TîfcVnig 


36 


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y*TT       t'/(  dehors 


TT 


é 


i — T~l 


J^M^"ffi^W-— i 


LaG. 


£=£ 


^=5 


le's,  dont  je  fais  des  fa  _  gots    que  je  porte    à    la        vil 


fy  {jrp  si 


tes 


h 


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É 


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H 


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,  H  G 


S 


fc=t 


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*à 


S 


»'.      * 

Mais    l'hi     . 


ver,  c'est  très    dur, 

Triste  et   pesante  J=72 


ci     SOU. 


<> 


*a 


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rail 


/' 


rrrrrrrr 


ïr*rrrrrrr 


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~    o 


jii?T3-fT^ 


# 


-*W- 


en    animant   peu   a    pou 

■ — ._  crr.se. 


M  t      ff    =g 


^bP'PIT 


te 


#s# 


#— #■ 


La  G. 


P  P  P    P 


^^^? 


vont  j'ai  dormi    de. hors....  daiisuD    fus.se...        brisée      etgrelut. 


'dhfr 


en    animant   peu   a    peu 
cre*c  . 


LT 


Grte  r  nrTr 


BLULTLJ 


^TT 


uaLx 


gqr  jnr?  r^ 


-o- 


<> 


«/£.      «/t 


pasSHnt  In   main   sur  ses  veux   comme  pour  en  .effarer  un  effravant 


r    epr^r  pr^r 


cauchemar 


^•F^^-rj^J'  ^    5 


i — ;; — i 


en    elarg. 


|J«i"     'ipp   p$Eg 


g       i(j"      "a    p,    f    ■ 


y  y  P  V  ' 


ant  parfois,  toute  blanche  de     nei 


-    b^> 


et 


Ffm 


me  denian. 
on  élarg. 


H-i  I  i  j  I 


riiiiiii'F 


ï=ï 


-*■■*■■*■ 


^^* 


ÉSa 


s 


p 


i        * 


^ 


# # 


#* 


!.a  G. 


dant    pourquoiDieu        n'a  _vait  pas  fait pourceuxqui    pei  _ 

^ ■ " — --  ■     p  subito 


_  nent...     Des 


m  i  i  I 


&l 


^  J  An 


£ 


Et 


i     *      * 


r 


m. 


p 

• 


ir. 


r  r/ffr 


é 


i 


* 


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w 


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suivez 


$ 


1    ^     9 


b1,   J    ;rKT^P^ 


i> 


* 


â 


La  G. 


¥ 


ar_  bres toujours verts,et  son        ciel 


Moins  vite 

i      plus  calme 


et      un     peu      rail , 


toujours       bleu.       _     t     I 

Assez  anime'    #  =  100 


Pt 


Î=É 


f 


fe. 


i 


T$ 


fW 


bien  chante'. 


5 


Gtt 


g 


-o- 


-o- 


avec   les   2    Ped.  simili 


i: 


I 


61 


SUZEL 


feE 


5E=S 


3     K=S 


fe^ 


#  ■         g 


;* 


*ï:  tt.  „. 


fè* 


Vous  è_tesdoncseu 
Plus    calme  J=  80 


_  le  surcet.tc 


B 


fP 


^=^= 


¥=* 


* 


-&$ 


V 


BE 


tf'l 


4e 


|_    _3      J     l_     ^    i 
Nous  n'a.vez    ja_niais  é  .té 


La  g. 


^k 


¥ 


g 


las, 


fi   f  ÏT3 


ëri 


:*=*1 


-),: 


^ 


"7" 


f 


a 


k7^* 


f 


!eé 


É 


Su 


l  a  G, 


me  _     .  re? 


(presque  parle)   (se  risHisisbUnt ,et  avec  un  acceiM  d*éuiotiou 
(sursautant)  vraiment  poignant*) 


ft   JJirTTflU  J_^ 


(.;.(.. 


-  m;us.._ 


ja    _     mais! 


Doux  et  triste  #  =  72 


SUZCL  (lui  apportant  l'écuelle  de  soupe  ) 


W w 


1r^r-rirr. 


Π


fe 


&t 


Êâi 


M^é 


l're.nez!  et 


ré.  conJçr  _tez-vous, 


E 


P 


F 


r 


3^ 


:1 


j-l 


a 


jn 


U    GLANEUSE  El!,   avale   quelques  cuillerées  de  soupe.  .       nUi9  s'arrêta.!. 

iL=z        --N-4- 


65 


La  G. 


m 


y,  t.       y  J<  J>  g^^ 


Vous  demeurez ,  ma     mi  -  e,  en  un  pa.ys  calme  et  char. 

cédez 


l\  est-ce  pas? 


La  G. 


t^T=P 


=5= 


mant! 


QiÊlMFZ^ÉM 


;t   Tempo 


On         esttoutprèsduciel 

Un,  peu  moins  vite 

rr 


LaG 


ifc 


I=£=L 


OH! 


'ai.rne  de  _  jà       vojre  maison 


66 


(  -  animant   pau  .i  pau  ) 


Là  M>  de. Mue  un      puits  tout   cor.se-hT    de 


^ 


-uM^. 


*=f 


wl -ji— ^J 

..  r    — ' <g « 


î 


r 


La  G 


*j    avec  une  i  illimité  et  nue  émotion  contenue  ] r — |    r- ( 


La  G. 


-fct£ 


S 


^^ 


^a 


«=t-. 


EEg2-fMfr4-£É 


la-bas,      unjardî  -    net,        ou  coule  un  frais  mis .  sea  n^ 


^P^ 


qui  dévaleenchaiL 


La  G. 


67 


StZEL 


$ 


P^£t 


O    . 


LA    GLANEUSE  (reprenant) 


SUZEL 


i 


^^T 


S 


I — 7H 


La     mon  _ 


La  G. 


$ 


N  -  »  „  N  N 


a&JJbfaJ 


* — =S 


jF^^fT— ^y^ 


TfJ^T 


ta  . 


:m- 


devant    nous  là-bas,  là  -  bas. 


un    peu  retenu 


871 


«s 


Elle  te  rriiu  t  h  nian;n  »a  *uupe  m;iis  lentement  comme  ^i  mi  pensée  était  alleurs, 
(léger    m   r   une  grandi    fraîcheur) 


AUonrvtto     è-  iOS 


fn-^-fP- 


J~Fl 


&a 


*-*■ 


m 


f 


* 


^^ 


^ 


-  * 


Su. 


_  IDSD  -     .  clli-,      les  sîm  .    pics    <|llt  gue' 


trTfflT  n 


~-$m3=~mm 


:dt! 


yffiJaT'ig 


É 


5= 


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ti 


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C('d< 


fcT 


L' 


tp        i; 


* 


^m 


V: 


1 


^ 


Ir  |>er 


ven  _    _    -   che...    d'où      l'on        re.yient      char* 


£^fgN^ 


JB  i  jTj 


:SfJtrfzfP3 


*J 


s 


JE: 


£: 


If» 


grg  rrri 


un       |jfii 


Su. 


^TT"?  "ETr^H 


t? — ^ 

gusdo  bou_qiiets  'm-biui  .    mes 


Les 


-A 


g 


ÉHË 


m 


un     peu    plus  anime 
"rené* 


rail, 


Su. 


Fr    p  r~E 


*  ^    i  •■  E~ 


/C\ 


2 


pieds      un  peu     meur-tris,. 


fc=^= 


69 


3=£ 


I 


t    g    ■> 


7^ 


^F# 


fcfc 


mais    le  cteurtant  char 


'#^=fi 


il 


F=^— -*- 


ff 


^=3= 


^B£ 


4^ — -à 


S 


S^=8= 


Su. 


M 


B* 


,M  *ï    X      */ 


_  me 


;i 


tà 


"LA  GLANEUSE  (gagriee  peu  à  peu  p;u-  l'enthousiasme  oV  SuzeiJ 


» 


Très  animé  et  largement  chanté  J  =  104 


pii 


o  • 


mf 


wê 


%-*Qjk — o~^ 


ê 


$k=JL 


3X 


jrgi?jn]B 


TT., 


8- 


LaG 


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l.a  G. 


i 


■ËÂ 


srzci. 


50E 


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TTT 


:ï=*H,i: 


4=P= 


5^^ 


ËËÉ* 


Et mouri rient e  _   meut dans  un     choc de  nu_ 


îA 


tr  f  •  "      f-^ 


I 


ttrië 


*^ 


ÊÊ 


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w^m 


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i^^Fpf5 


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5     TT 


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7? 


Su.    - 


I  .-.«;. 


I  >G 


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&=* 


p  p  r  •  -=t=^m 


m 


*     i 


— i — 

cris 


;it  _  tar.des  (1rs      trou,  peaux.. 

1ÏT 


fk      fît     tâ 


Largement  expressif  #=96 
ftfi 


Su. 


tlles  semblent  écouter  les  milles  bruits  de  la  nvtare. 
toure 


l.\    GLA.NEISE 


l.a  G 


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se     qui    fait  frisson  .  ner       les    grands ar  _  bivs. 


7* 


en    animant    un    peu 


i    (. 


La  G. 


si  Zl  l. 


73 


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LA  GLANEUSE  *«  ftrhors 


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un  peu  retenu 


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Oli!  oui        lu      m 


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gne. ..       C'est  beau! 


C'est  grand!.. 


jftft  'na  ^if  SfffË^rËfffSFSFi1^^^ 


lourdement 


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(  .•(li:.lrt 
I  d  peu  moins  mIi 


que  ion  voit  à  nu  cû  _  tu,  au  mi.  lieu  dus  sapins  verts? 


a  Teinp 


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SLZEL 


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C'est  la  diemeu  .  re  de      DLdier,    le  riche  bercer. 


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§35 


y  7  7  y 


m 


RTl  LA  GLANEUSE  (tressaille  )  («part)  .. 

I  '  '  I  t  .v        cédez  un  peu 

(reprenant)  ' 


^e^^fc=à^ 


# 


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t1 
Didier  Di  _  cher  dans cepa  _ys" 

cédez  un  peu 


4£ 


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SUZEI. 


g         *ï     X 


(repreuant  doucement    ^'adressant  à  SuzeiJ 


Sou 


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jjt  ^  P-p- 


#-*- 


la  G. 


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Va   ceberger...         est-il      soûl? 


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fils demeure  auprèsde  lui... 

LA  GLANELÎSL  (coiiteiumt  difficilement  une 
\iolente  Jiuotioii  )    I* 


rit. 


M  l'.H 


P 


la  G. 


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S         1    ir 


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Son      fils.. 


Son 


edez  un  peu        Plus  lent    J-  =  84 


rit. 


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De       tous  lesgar.çons  du    pa  _  vs., 


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la  G 


fils.. 


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chaleureusement 
11 


^t%rw~  1  p-  rTT  g 


ô       F 


*ff      -7      V 


42- 


c'est  le    meilleur, 


chaleureusement  et  un  peu  retenu 
/ 


m 


le  plus  beau, le     plus  bra 

h 


ve, 


* 


É»3E=§ 


33; 


£^==* 


77 


76 


t     II £011  II UH  III  ) 


Su 


-  #  ^lll      I  .1    I  ,1  il  I  «■     IUI»!  III" 

in  m  '"  '  "  :  s  '  3^^=e^ 


(«Ile  prend  limplemenl  l'ecuelte  de  toupe 
— •  •  i  la  t ;il>lc  \.  isiue  .) 


M%. 


l'A    Pierre      est  son        nom 

I  v  GLANE!  SI   («  !•"  i  > 


_  ,<\.«    .nie 


-tMHotton  S 


:  I  ^^^fe 


i 


^fffrnggEl 


feffië 


Al.! 


[uiqui m'avait  dit 


_quemon 


ar? 


s 


s 


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V. 


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(très  doucement  à  Suzel  qui  revient 
vers  elluj  j^  _ 


HTJ'lJ     ï  ^ 


'■■<■■  JHP.Jizl^ 


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S^ 


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fils 


e'"_    tait  mort! 


Et 


sa  maman       vous 


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SUZEL 


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Su.E^O 


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oi,        Pîop  _    rc   n'as  plus  de 


me 


rc  ! 


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y   1    »  — pf=^ 


Pcd. 


expressif 


77 


Su. 


I 


I 


5 


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LA   GLANEUSE 


Nem'inter.fô-gez 


9 -- 


Lent  J  =H« 
(vis te  et  pesant 


Mor  .    te! 


f 


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Su. 


la  G. 


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un  peu  haletant 
( à  paît ) 


èé 


;t\fc  une  angoisse  concentre')- 


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peu   à   peu   plus  agité 


Mon  1  il- 


mon    fils  est   vi 


^  jiji'i  jnfil^ 


haletant  et  un  peu  l'eteuu 


^^^&fe^a 


1 


s 


■      y 


if 


Sur  ces  mots   Muller  parait  sur  le  seuil  de  la  baie, suivi  'le  quelques  amis. 

Vif  et  très  anime' 

faE 


M 


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f 


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lui 


Voi.cimon   pè  .    re! 


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la  G. 


vant!... 


rapide 


Vif  et  très  anime'   J  =  152 

-rf^ 


78 


^11  semble  quelque  peu  un*  île  boîsaun) 


5® 


SCENL     X 

M  II. I. III»   (n  M's  iiniis  | 

m «_ 


x     1  rJ 


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un  peu  Ituirtleineiil 


Allô 


ns       vous 


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U)  *  Q  tf]  Jj 


il 


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tirs! 


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Vejaez  boi   -    pe!... 


venez  boire  un 


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0     m         ' 


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un  peu  retenu 


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coup    ilf  vin  frais.... 


A    la  san  .  t<; 


de     ma   Su  _ 


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53 


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75 1      a  Tempo 


iu.^ErP- ~^ 


79 


.  c<is! 


ROBIN 


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-y       i* 


i=? 


i 


TARLET 


J- aJi 


lion.jour, 


Su 


ii 


^^_— k 


F: 


avec  une  franche  allure  de  gaîte 
TRN0I1S 


i 


Bonjour,       Su  _  zt 

"if-    -  - 


^— V V 


LES  AUTRES  PAYSANS 

CASSFS 


Bonjour,       Su .  /<• 


^£ 


a  f     [i     f  '- 


Bon.jour, 


a  Tempo 


#»  '  j  j 


5S 


0 


Su  . 


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S^ 


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gp 


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V  *     1 


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5    * 


?     # 


gff 


Rob 


i 


.  zel! 

LECLERC 


:^ — h — W 


# 0 # 


Bon.jour,  Su. zel! 


^ 


PÉ 


Tar. 


P 


v 


-zell 


Ton 


pe  .  re  nous   a 


dit 


la         non. 


80 


far    /m       —4- 


n 


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Ton 


pc  .  ru      nous    ;i 


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Ton        pè  .  pe   nous    a      dit 

n,^  j — 


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m 


Mes      com.pli  . 


* 


E 


m  ni.  en 


81 


(Suzel  va  au  cellier) 


MULLER    (apercevant  seulement   la  Glaneuse) 


(  librement) 


H  p  r  17  p  ^f  f.  ^ 


Jt     *? 


Quef'ais-tu    là...  toi...        lavieil.le? 


Moins  vite 


$ 


tw* 


ff pesant 


WÏÏM 


^  !3£ 


i 


LA   GLANEI'SE 


^^ 


fes 


~» » 

Je    ve.nais      de.man  .  der 


un     a    _    bn 


Assez   soutenu   J=112 


m 


pour 


&v,     8 


^ 


lEES 


T7 


G.-ftv^ 


S 


nuit. 


ROBIN 


rrr-'ï    -P- 


ze=^= 


Très    agite'   J  =:  152 


QueLquemendian     .     te 


fp. 


#  À       i 


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qui  por    _     tfs  le   mal-heur 


(mpcimmineiit) 


LECI  I  lu 


$-=Sct 


i 


cl  nous 


Quelque  sofeiè  .    ru 


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T* 


Rob 


jet    .        .         . 

Kncore  plus  anime 
accel. 


lui 


i 


Moins  vite 

LA  GLANEUSE 


:*=*=* 


m     m    m- 


MULLER 

(à  la  Glaneuse) 


-  --  !> 

«        _t      » 


m    m 


feê 


M;iis  vo_tre 


'h    v  \)\     *    r;  P  P 


3=^: 


Allons...         re_ti.ro  -  toi. 


Moins  vite   •  =  108 


83 


cédez  un   peu 

3 


l    J       J'K'J.     È 


la  G. 


* # 


fille  a  bien  vou.lu  .. 


MILLER  (violent)    .         (?#  . 


fMl 


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£= 


3= 


E 


Si  _  Ion     .         _     ce,     toi  I 
Très  anime'   m  =152 


P* 


M* 


ds?    ~^ 


*yr 


f 


*      i 


i 


(implorant) 


Ê 


laG 


ten.     (hors  de  lui) 


*  m    m  • #   -f- Gl 0- 


*h    i  y  v    »  I     v  k 


i 


Par       pLtie 


Ma 


je  suis  chez  moi..        va  t'en! 


M    13 
Mu.  — -f- 


(tètu  et  mauvais  dans  son   commencement  d'ivresse) 
MULLER f^~^. 


=  =** 


S 


*>  -Wvw 


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pi  •?   s         h  ^    * 


J!?— *- 


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fCT     „      F~~~F        F  ~~F        F~         F  •""  ~~fr  I     P    — 

i u.p!x<rtr  [)    [i    [)    i        i;    — fc*~j— 1~ = 

,lt>       Qe       l<»  -  £<'    point  les  |t;is  _  s;in    _ 


tes. 


1# 


-M- 


2h£ 


£3 


-à      -à      -ê 


v  t 


UOIMN 


9=r~>  "T-Tr  P'  P if 


X  t 


m 


^m 


t. 


MuIUt     a        rai. son.  i/ender_nier  par  un  —  chemi, 

Haù'lanl,  fiévreux   J  =  152 


-6*7 


fhlfhf 


n^fi'  J 


rXJj'LLXx'UJ-r"UlLj' 


# C 


É 


i«  ,  c« 


V     1     V     V 


Rob. 


_   iicau 


moi,  j'1     tus 


.  lé! 


m 


i.F.r.i.F.nr.   '     ■<    ± 


*m 


moi  aus.si 


I 


*>,.  n  *  ^=j=ï 


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TARLET 


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le  feu  dans  ma     gran 


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Tar. 


£±sS 


F^^M 


c'est    un    gai  _vau_deux qui  l'as        mis 


i 


t 


fc>*  8»! 


a 


,  j1*. 


1:     1:     1      i- 


àâ 


i    i, 


WW 


TXL 


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f7ÏÏ1     ROBIN 


^ 


;  y  i;  y 


é=i 


-»? — - 


i 


Plus    de  ces  brigandsla 
LECLEH.C 


$  I  j     j  JW^ 


ffi^ 


us  de  ces  brigandsla. 


i 


TARLET    (haineux) 


Tar. 


Lestconune  la      ver_ 

#>        #~^      *A 


u  '  m^i 


(violent) 


Rob.|^:ff      g  V      g 


pcz 


Dehors! 


i 


I.ECLERC 


4l»    v  fir~T^ 


Tar 


i 


mi    _     ne... 

TÉNORS 


'  Dehors 

(clamant  dans  une  haine  farouche) 

S*,  o 


i 


±E 


LES  AUTRES  PAYSANS 

BASSES 


—  i4 — I — ^-= 

De. hors!. 


M CELER  avec  les  fiasses 


m 


Dehors!.. 


-*?—*- 


s 


ïs fil 


^rfplpip 


_o 


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^"Lf  *  fe  ^^H 


SU 


^ A  * 


5p=#£ 


Dehors 


Dehors! 


ï= 


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3 


Dehors! 


Dehors! 


É 


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Dehors! 


m 


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PJT     g 


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Dehors! 


^F=f# 


Dehors! 


Dehors! 


£tj-q  U  '  l 


u  uu  u 


3! 


(dans  toute  In  violence  de  la  haine) 

ift     ifr. |fr    i» 


3E^£ 


rfr    A- 


■^ ^ 


|fr     A- 


T~  M  l;      ? 


Rob 


Léo, 


</  '  t 


Dehors! 


Dehors-! 


Dehors! 


Dehors!      De. 


i 


gr-F 


±± 


±± 


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£=5^ 


É 


Dehors! 


Dehors! 


Dehors!      De  - 


Tai 


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±±=? 


t      [y  i'     *u 


Dehors! 


Dehors! 


Dehors!      De  . 


Il 


^= 


T=^ 


£ 


E 


3E 


Dehors! 


Dehors! 


De 


Très  anime  et   violent 


CA   GLANEUSE  (qui  s'e-st  reculée 
un  peu  devant  la  menace  grandissante.) 


ê 


codez  un  peu 

r-  "  i 

3 


Js ,  i    rr^-^i 


87 


*    ë 


Oh! 


es  méchantes  gens! 


Rob 


Lee. 


Tar. 


^2E3±I£ 


hors! 


m 


^=^ 


.  hors! 


^P 


J!f— X- 


hors! 


m  i'  ■>  » 


% 


.  hors!         . 
Moins  vite   J  =  116 

§4 


(fîm\ 


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ho- 


(s'adressant  à  tous)  k  |S  I  ^ — ~^Z     ZL       _ 


la  G. 


Dansvoscœurs  en_  dur.cis,    n'est -il  donc  point  de      pla    _     ce    pour    un 


i 


p^ 


w^7 


-f — - 


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èêé* 


la  G. 


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peu  de  pi    _    tié? 


gp 


ROBIN         1    j{   J 


Ëâ 


*        g  B 


Des  boniments 
Assez  animé 


Itoh 


Vîi  l'en       vieilje  drô  .  U's 


e^i  f     *rr 


î- 


cre&c.    ni'celJerando 


3=1    b»IE3 


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ÉEÉ* 


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I.A  GLANEUSE  f 

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mi  !  il  i; 


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Ah! 


prejnez 


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Oui!         va  t'en! 


va  t'en  va      t'en 


£454P 


ÉEÏl 


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J  =132 

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Leciel pu.nit  par. foi* 

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la  G. 


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_    te  ci'ii.au   _  te. 


m 


r't-    -  »  Tempo 

MILLER    r~~s       ' 


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w 


3  8   fi 


1 


i 


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Que  dis-tu  là? 

rit.     ...    a  Tempo 


'EW* 


gg 


I 


-  (Il)  u 


2S 


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S 


89 


rr—i-sans    ralentir 
LA    GLANEUSE       LMI  bien   déclamé 

'    % 


I 


*    7jt«hJ-    JM*J'  J    iJ    J    J-  ^"Irfj      i— £ 


Heureux  ce    soir,  vous   vous  en.dor.mi  _  rezl 


É 


rre- 


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TD     I H 1 


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La  G. 


S       é      X     j 


'  b^    ' 


.Mais        sa_vez-\ous  comment  YousvousreLveille  .  rcz.. 


^^f 


^    SUff 


MILLEH 


W    t     ftit    M 


(Suzel  revenant  iivec  des  brocs  de  vin) 


'es  mena  -  ces 


*cl 


ROBIN      3 


^E 


^    ippr   p 


C'en  est  trop 


i 


LE 


ï  C  L  E  R  C        3         1 


P-i—ig-E 


Déguerpis! 
3  3 


Mm 


1 


SUZEL  Sî»ns    ripueui  ^ 

^    *   [i  1  |  .       p  7  y 


(Le  ciel  s'assombrit    peu  ;•   peu) 


y- 

Quoi...     vouspar_tez! 


m 


Se 


LA  GLANEUSE 


un   peu    retenu 


Ê=Ê 


m 


m 


I 


Oui 


■^E 


l'on-  me  chas   .   se! 


JP 


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9<l 


(insistant   prt'»  d«'  son  |>«'-i-r) 


t« 


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m 


r- 


m 


IV- 


rc! 


IV 


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.    re! 

Ml  II  l  r, 


» — m     m 


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S 


F 


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RI  .le nous  a  tous       in  .  gui 


n  o  ii  i  n 


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S 


.1     Ifinpo 


C'est 


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É-H^ 


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[Le    iicl     s"  .i^smiilii-ii    peu    >    peu  ) 


Non  !  Non  ! 


V  — 


tés! 1 


fc)-.t  r    t1^ 


Ro. 


V 


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u    .    ne   sorcie  -  re  ! 

LEC  L  E  R  C 


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Une  ivro.gnes  _  se  ! 


fe 


à* 


(a    son    père) 


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v--^ 


cola  n'es!  pas 


Pè  .  ro 


m 


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expressif 


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«  #   -^g- 


par  pi  .tiu' 


r  y  iJ  J 


-^ — + 


m 


91 


l'oco  lento 


bu 


fo     -,  J'  P  P.l>  ]'    J'     J'  |  lT-r  ^pE^pE^p— °-f7 


Ne    la  re_n_v.0-y.ez  pas  a  in  .  si 


tejr 


Puis   .qu'elle  souf  . 

Poco  lenlo  i-. 


■i--     i>*'i 


E 


lM-'       l>< 


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S 


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|»4l  a  Tempo  animato 


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_fre! 

LA  GLANEUSE 


61      * 


r-;: — i 


(d'une  voix  prophétique) 

r_r~~ ~r       ' 


^s 


gEff 


3 — H^ 


Non  !    je  m'en  vais 
a  Tempo  animato 


le      sort         en    est       îg 


É 


".'/' 


m 


la  G. 


té! 


0 


Uu  peu  lent    •  = 


84 


fr  W        kJ  ".g 


ûsj    ,     k/^3 


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É^ËÊÉ 


ft=k=fr 


J  —   J      i    M 


La  G.- 


* 


VOUS 


ni 


u  chère  en.fant,       dont  l'âme  gé.né  .  reu  .         _  se 


92 


U<3 


frJ      jv^r  J"  J' J1  ir  ~  p— «      M'7 


(î 


►ar 


gne    peut-être        à   ces  mé  .  chants 


le  clin_ti    _ 


4" 


fPl 


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( 


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^J  J'j 


i     »    iy 


h  ■  ft 


i 


*        1     JU^ 


^14^_!JLf-^ 


sovez    ai 


_in«'iit    qui  les  ;ifl»'ii(js 

cr esc ■ 


Sovez    br  _  nie, 


% 


Cédez    un   peu 


* 


P 


(Elle    sort) 


La  G. 


S 


^^ 


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.  nu- 


Pï 


e.  sov -ez    heu  .    reu 


_  se! 


W 


ml 


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SCENE  XI  L"« 

MILLER 


1 


m     m    m 


m 


-0 ■ m. 


a  c  c  c  I  e  r  a  n  d  o 


/ 


Oui,       c'est  ce_la, 
Très  animé    J  =  128 


93 


Mu. 


fi   .    le! 

ROBLN  y. 


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^ 


m 


^^ 


É 


Bon  vent  ! 

LECLERC  y_ 


I 


■=13 


p  g  1 1  ^ 


EÈE? 


Ah!         la  maudite  en  .gean.ee ! 


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dœ: 


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*       :»         ^ 


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un    peu   rail. 


SUZEL 


ni — ? 


fc    »         \P  P  P   P'  P1J_V^£^ 

Ne  Darlez Das   ain-si...       Ge.la    porte 


m 


Ne  parlez  pas    aii)--i...       Ge-la     porte  mal  _heur. 


W 


a  Tempo 

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m 


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Suzol    obéit 


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Pe.ti  .  te, 


verse  nous  à  boi  .  re  . 


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JUJ,  J^J, 


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ois  turtttr air 


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À* 


SUZEL 


\a\  nuit.         (Je  _    la! 


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m 


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.Mois  non,         c'est  un  nu  _  a   _ 


UOB1  N 


P  f    "M  II  P  I 


"S »~ » 


Pourvu     que  nous  n'ayons 
s        peu  a   peu  plus   agité 


S 


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(ils  observent   anxieusement  le   ciel) 


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pas  d'o.ra    _   ge  ! 


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J^iiij 


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Gomme  il  v    a 


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ïr-k, 


dix     ans!- 


Tout    fut    détruit,      sacca. 


b  //    7  7ij7  7  7  7_j2^Ë 


MZZMZZM 


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gc,  a.  né  .an    _  ti  ! 

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B  I P  J'  J1  ^  J    M 


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E 


Et     -ce     fujrent  de  longs  mois  de    mi  _  se 


É 


arum:    aj     azzaj— ~arza| 


lourth'menl 


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ai-jl  s  i  ^ 


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NULLE  II     prenant  son  gobelet 


i^  *   -*^-£L^-gif      = 


m 


A  vo  .   trc  san _ té! 


i 


T  Ç  R  O  R  S 


i — m 


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g^rMdïl 


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# — #- 


PI'  i ..  H- 


TOUS     LES    PAYSANS 


\  la     vo  -  tre,aSuzel! 
r   3   i 


ïW^WJ^^ 


\  l;i     vo  .  tre.a  Suzel! 


96 


M- S 


fpoianl   son   gobelet  ) 


-y      r 


Pi 


y      «t 


i 


|;'TTT7 

aux    h  .  au  .  c« 


Bon  Dieu... 


■  ii  v      ri        :i  n      ri'K  ' 


i  _  an  _  ces 


In  coup  de  touuerrc  l'clnti»)  a    Tcmpt 


(En   augmentant    peu    ;i    peu  il«"   force   ei   d'Intensité  dramatique) 


Mu 


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VA   nos     blés 


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31 


O  _ 


x  »f^p      x  »f^p      r'f^=^P      *^fcf 


DsJ    fe/  hT 


Les  Paysans    s'enfuient    affoles. 
plus   fort    retentît;  bientôt    l'orage    éclate   dans  toute    sa   fureur 


-'  n  f  ?  r   i 


97 


T  'Au  loin  on  voit  dhssit  des  Sens  qui  couinil) 

Tonnerre  r  ' 


%  i  )]$X 


Yff- 


npiir&rt 


fafeg»^ 


r-u    S\ 


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S. 


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N.  y  :»  3  a  iV^- 


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Coup  de  tonnerre  prolongé 


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Coup    de  tonnerre 


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Tonnerre 


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[90 

^La  grêle  se  met  à  crépiter) 


UN     PAYSAN  (sur  le  seuil  de  la  porte) 


:r. 


EE 


VOIX    fians   la  coulisse 
TÉNORS 


M 


Tonnerre 


<jr    Pf     frf 


U   {      fe4  ?5 


H 


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n. 


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M 


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M 


MULLGIl 


*       V 


Noussom    .    mes       pur. 


f  l"f        >'f 


Ah 


I 


M 


-3^g 


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bM^i   if 


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^5 


« r^ 


S^£? 


53= 


(à  sa  fille) 


Un   peu  moins  vite 

u 


a    Tempo 


retenez 


I 


lÈ 


*— # 


4 


y  1  r>  1    ■>  e^fe 


œ 


.Mu. 


Pi 


Ta  dot,         ma  pauvre  en. fant, 
Un  peu  moin?  vite  a   Tempo 


*** 


va  fai     .  ',  re  lesfrais         de 

retenez 


il    itOI 


i^W^P 


*- — « — « 


9 * ¥ 


fp 


i 


3Ei 


Ff  TTf 


100 


?' 


Sl'ZEl 


.1   tempo 


SCENE   XII 

l'an I i ne,  I ii   mère    François    ef 
d'autres  femme-,  qu'on  a  vu  BU  début 
de     l'Acte  paraissent    au   fond. 


É 


^=2 


.Mon        Dieu!.. 


m 


M       t*=*£. 


PP^É 


>lu. 


F^F 


cri    hor.  n  .  ble    temps 

;«  Ttiiipo 

t==Èr-4-       -^ 


PWLI.NE 


^^ 


Peut-on  se  met     _     tre  a    la  _ 


6UZEL 


(La  Mère   François    rentrant  un  parapluie  à  la  main) 


En    _    trez. 


$   r.  ~  p  x 


.brir 


S 


^i-j-4 


I 


101 


LA    MERE    FRANÇOIS 


PAULINE 


V,     ft      fi 


p   I  "p  P-  p-  -g 


Ni  de      pa.reils      grôlons! 


M.  F 


VOIX    dHns  la  coulisse 

)  *  * TÉXORS 


Tonnerre 
PP    * 


*  ?  c^*^r~i  c~> 


i 


^Tf  Cf  f?f  f 


s 


E 


uwu 


agi     I  q 


IOÎ 


4>f 


1 


l  d  peu  naoin»  vite 
mi  i  I  ER 

^  ■»  r  f 


latec  une  grande  désespérance) 


r 


V7 


ÊÉÉ 


Mon  champ!  lMoli  champ!  Monpairvre 

In  peu  moins   vite 


§^ 


a- 


m 


=51 


fen=^ 


J'J  i  i  i1 


& 


TT 


U  j-  j>  f 


TT 


<)3|        <  rageusement) 


Mu. 


^^ 


K ■ r 

r  y\      y  v 


champ 


Anv    .    te  toi 


I 


i=&± 


exprextif 


^ 


W 


IÉÉ 


t=t 


CE 


=ÉÉi 


a  Tempo 


**#    J"~* 


il 


«■ *I 


i 


P  1      4     * — * 


i 


r=y 


-* — * 


# 


ÉÔ 


Bè 


^ — r 


>!u 


(It)IH'! 


h'u 


du 


cui,. 


i 


fei 


Tonnerre 


i'i  "i'j'i  »j 


■•>#  "^^it 


5P 


i      -fc^-g 3^£ 


t?  4  vi* 


^ 


f1^ 


fe 


Ï^ÏF^I 


7-? 


tf* 


S    p 


fo~  v^—  T  ^7  "P" 


4ver  _    se    é.pouvan  _  ta  _ 

VOIX    dans  la  coulisse 


bit! 


ff 


m 


Ah 


^ 


^nys-  $ 


^o^^ 


g 


tt=«= 


y  ^  r  î  ■  -r 


W 


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103 


ttbjf  :  '     j) 


SÉËËÉ 


îv^Hh 


#&:     $%: 


W=f 


r~f 


9 


P    3 


SUZEL 


| 


(i étiez  un  peu 


è 


m  m 


m     F  p    0    \     (J 


l'  i  i  l'  ^  l'  p 


Pè  _   re,  ne  blasphémez  pas! 


w  t  v ,  r  7  ?  11,11 


Mu. 


nous 


Ah       mil.  le. 


PPFÏ^ 


^ 


i 


m 


zs: 


s: 


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i 


P^l 


^§ 


F        3         3      .S 


» 


MULLEli 


(  \\ec  mir  furvur  nr;u]diss;int.' 


feÈ 


^ 


m  ■•       * 


S 


^ 


Cet  .    tegueu-.se     de 

a   Tempo  de  plus  en  plus  animé 


sor  .  cie 


re 


»04 


<  ,  i     te         je-teu  -  se        de     sorts!. 


^VT'I 


C'est 


te/      -±*\ 


(!.«■> anl  le  poing  d;in;-  la  direction  où  est  sorti  la  Glaneuse) 


ê 


Hf^ 


fil  sort  affolé) 


Ail 


la        co    .      qui ... 

■A"  Violent  coup  de  tonnerre) 


ne! 


I  Le«  Hameurs  sont   an  délier*   mai*  très  proches)         (Des  meules  s'enflamment  p;ir  la  foudre 


5P 


£ 


ÏSI 


#1 


105 


TENORS 


i 


/ 1.  orage  esl   dans  toute  sa  violence,) 


/    v     v 


Ma. lé.  Hrcti  _,on! 
Des  groupes  passent  en  désordre  devant  la  baie 
BASSES 


§È?E 


-*—-#-- 


£=E 


V 


Coup  de  tonnerre 


m 


Mi',    si- 


re   rie     I: 


M  ^  n 


VÉ 


* — f 


De  violents  éclairs  sillonnent   la    nue 


Sp 


f 


(Suzel  s'agenouille  avec  les  autres    femmes) 


SOPRANOS 


*         M 


i 


*= 


^^ 


lin  _  plo_  ren- 


du       ciel 


SUZEL  avec  LES   FEMMES  en  scène 
CONTRALTOS 


f 


^=5 


m 


JOO 


_  plo_  rons 


du        ciel 


^.-kç- <-<,-. 


m 


ï 


i 


5^± 


106 


SUZEL  seule 


£ 


L*«   aiitr».    SOPK. 


Et 


pri 


mis. 


tt 


$ 


S 


CONTRALTOS 


Et 


pn 


C.hU\>  de  tonnerre 


**=£* 


I 


Et. 


pn 


PV 


§Ë 


ï 


^ 


107 


Le  veut,  ja. grêle  et  les  éclairs  Tout   ra^e,  des   hommes,  des  enfants 
courent  affolés.  Le  tocsin  sonne  de  tous   côtes 


E3 


WPI 


m 


g     g. 


i 


Secourez  nous, 


Vierge  Ma.ri 


■,  ^  J  ftJ  r  j 


Secoiurez  nous, 


Vierge  Ma.ri 


/ 


Malhe 


C#- 


»  -f- 


'•»  V 


f 


Malheur! 


^S 


,  •         f 


f^Lrr:Lrr 


s 


^£ 


^ 


^ 


«i):r—r- 


a 


f 


i 


108 


Èrz 


lYojè  .  gei      inms... 

n   r~ 


ÉËgË&É 


PpO-te  .  i,rr/     nous. 


. 


Det  groupe!  de  Piystai  entres!  M  scène  affoles 


;- 


i 


« — #■ 


pp^ 


1   h,     h 


5^^  J     .J  ^ 


«zze 


^ 


Sov 


c/        si'.cdii  .  ra  _ 


_    ble  aiixmalheu  _  reuxL 


M 


h  h  h  h 


±=± 


^ 


p 


-ï — - 


m 


S 


,1/  »  s- 


Suv  _    cz        se.cou  .  ra 


_  ble  aux  malheu  _  reux! 


IX 


'•     W—'\> 


M. 


JB V 


$m 


3= 


:hampsL 


Lecicl 


in.clé _ 


Tonnerre  tV 
Cloche  en  Mi  à  l'orchestre 


109 


Jfi   ¥ 


I 


5^ 


£ 


^ 


p  f  p  F  l  ';rT  p  p  r    r^ 


Le  ciel 


in.clé  _  ment 


n'é_par_gne    ritn  ;mx  travailleurs        rf«*       la 


r  F  r  r  f  ;■  r  p  p  i  J    J-  ^    l 


3E 


nient  ne'.pargne rien  aux  travail  _  leurs       d?      later    _     re. 


Tonnerre 


F^Wtfl 


Sëé 


j^igttfn 


nj^i 


g§ 


r%- 


irW^gf 


Tt^J    Si^É 


SOPRANOS 


^UQUUC^ 


5  a  r.  r. 


-r- & 


Gardez  nous de  la  mi   _   se   _    reL 

CONTRALTOS 


g--#         g    é    é   *      I    v         * 


Y^  + 


0    bonne 


S 


£ 


ttt 


Gardez  nous de  la  mi   _    se   _    re! 


1'»   TKNOKS 


ter 

RASSRS 


0  bo 


une 


Tout   sVcrou  _  le. 


m 


v  H  F  I'' 


v 


Tout    s'écroule.       Malédiction. 


Cloche  en  Sol 


Tjfjvt 


« 


d 


=& 


V^    '4 


s^r  §^ 


fe 


110 


Vier  -         -  Re  se  .  coure*      nous! 


pf — rrrr^^ 


Vier  _         -  *<'  s<>  -  courei      dousI 


m 


f=Ég 


^E 


£ 


v 


f'f  bien  en  dehors 

"'  r  ~^p  p  p  p 


Mort 


Mort h     I;.  soi 


-1      J'J'JOi 


Mort. 


a     la   sor  _  ni' 


Violent  coup  de  tonnerre 


(11) 


fWMW 


**£ 


Ë 


PS 


p 


jT 


ij'jj  J  J  Jii 


*:* 


W 


J. 


c       n 


J V_L 


^^ 


f=£ 


Mort        à  la  jeteu  _     se     de      sorts!. 
f—T-1 


Mort        à  la  icteii  _    se      de       sorts! 


&È. 


S 


fils 


ff-amj  J 


£ 


pro.tè_geznos  bom.rac$,nos     fils. 

Clameur  terrible 


ï 


fi-'rtei 


±C 


Ah! 


r-t- 


$ 


Cloche  en  Sol  £  sur  le  théâtre 
-fr    Coup   de  tonnerre  terrible 

| — toi 


"rs: 


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gP^S 


4^ 


ë 


Mau-di.  te  soit         la    f{la_ 


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f 


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ttf-Jf» 


Ê        * 


V 


0-^- 


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Î13 


Mau  _di  -  te      soit  la         Glu   _    neii     se      de        malheur! 


>     J'    J'    J' 


^^^^^S 


PP 


t 


Mau  _  di  «    te      suit  la  Gla  _    neu  _  se       de        malheur! 


e    j  l  es   p    r       P'    P  i"p   p    p 


Mau_di  _  te      soit  la         Gla  _    lieu.  s«       de        malheur! 


^ 


^^ 


P     P     P      P 


v 


_neu  _  se      de         malheur!. 


$ 


JMS 


X  A 


La  jetteii    _ 

H£r  'Cloche  en  Mi 

i.—  #à  l'orchestre  £Z       ^ 


dv 


)  "r     t=P 


V 


:<->-f      7     të-L^ 


s^=£ 


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i 


SOPR. 


#     \—n 


p  «hj^if 


e 


t*=t*=t* 


^m 


Oh  bonne      Vierge,. 


_\ez  pi   _  lié  de    nous! 


i 


CONTR, 


£ 


ï=SE££ 


h  h  h  j) 


s — # — m    ■    a 


Oli  bonne     Vierge,. 


a.yez  pi  .  tie'       de         nous!. 


* 


g^ 


7-  Efl  p 


^ 


it 


Ah!   misé     _     re 


malheur         tout  est   per.duf. 


t*    t      Jt  J> 


iS 


Ah!  mise     «     re 


Malheur! 


^ 


. flf        P"P  Nf? 


Malheur,  tout  est  per  _  du!. 


S 


0   0 0. 


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£  f-  + 


Malheur!. 


f 


W~^ 


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A.C. 


11. 


marmotter  l'ave  Maria  en  se  signant. 


m 


f 

m 


l 


Gar,     -     dez  nous 

X +_ _^_ 


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f 


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Gar      _     dez  nom 


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Malheur! 


^Li_^_B 


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Malheur! 


r«71 


IK 


m 


Wrt 


f 


lnt'ii 


dr      la       mi 


i      _      se 


Jr  jnEHft 


bien 


i  .■• 


h 


de       la       mi      _       se 
LES    VIEILLES 


'      3      I      I À — I 


i    h  h  h  h  iht  h  h   h 


A  .  ve  Maji-a  grajti .  u      pie  - 


f 


asa 


CE 


8 


ê 


Ah! 


i — m 


le* 
V. 


s 


Ah! 


r~rn 


l    5    i     i     5" 


h  d\)  h  h  h  h  h  h.-4^ 


-na,  do-minus  te  -      _  cum, 


Malheur! 


Be.nedicta     tu      in  mu-li.c  _  ribus, 


éT±£»e#  #£iér*flb 


117 


W 


i 


Mè  _  re     du    Sau.veur 


m^m^ 


Mè  .  re     du    Sau.veur, 


i — m 


i — « — i    i   n 


Le» 


<^*   h  h  h  h  TiirÔTh  l  fr   h  >       *    fr 


1 — j~i 

inr~Er 


i»  i-1-  h 


et  be.ne.dic  _  tus    fructusventristù.i        Je  _su. 


San'c.ta  Maj'i 


Ah! 


g^Π


Ep: 


m 


g= 


1*3 

«5* 


■41; 


(Mullcr    rentre j  fou  de   douleur. et  de  rage) 


i     h    h   h    h    ^ 


îEeï 


3 


j    t> 


yez     pi  _  lie      dt 


nous!- 


*?  ■    h     h      h     N      h     3     J       — -fr 


fr— » 


S 


s 


a   .  yez     pi  -  tié      d 


e  nuus.L 


Les 
V. 


h    h    h    h    h    h    h  h  h 


2  >ç 


*=ft=gj 


E 


_  a...   Ma  _  ter      De    _   i        0   .    ra  pro  no  _       .bis       0  -    ra  pro  no_ 


■  ZM. 


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g 


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118 


Les 
V 


MU.LËH    (a  sa  fille) 


r,-r\f- 


Sî 


Î^^^^EEl 


Su/t-1... 


l'.M'H 


en.  Pant.M. 


(—7—1     (—1 


1 — m 


yirinrffi  invTnv^FfF^^Tri-    h  h  h 


bis   [»"(•_ t.;i_ti>_ iiUiNiiiiiHTt  iu  bo_ra      mor.tia    nos.trœ..,  Sancta  Ma, 


</  pleine  voix 


ff 


Mu. 


* 


Les 

V. 


5Pfc^: 


Si 


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ta  dot 


est  en 


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pour 


S 


**-«i'    1  bj 


Gr;«  _ 


ce      pi  _ 


tie 


pour 


Tf-fr-fr^f* 


.  ri    _       _    a 


O.ra  pro  no  _  bis, 


119 


^a: 


i^^^^ 


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Fin    du 
Ie.'    Acte 


\4l) 


PKKLUDK 


Larceneut  soutenu  J=(î«J 


±M 


PIANO 


É.  '  i    "I 


^|rf-      \>J<^ 


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nrf  très  décidé 


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en   animant    peu  a   peu 


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f  f     f    f jE^j 


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Animé  J=S8 


encore  un  peu 
plus  animé 

èJfa 


123 


m 


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simili^. 

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P toujours   en    ffim 


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|~5*jplus  calme  mais  sans  rail 


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en  rail,  peu  à  peu  et  revenir  au  1er  Mouv* 


l*r  Mouvl     J= 


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rfim . 


expressif 


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avec  les  2  Ped. 


rr^ 


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ACTE.  Il 


La  place  in  Village 

'  jour  tie  (>'tt\  n  droite t on  aperçoit  le*  nmrelus  (l'uni3  Eglise,   e.  gauche, quelque»   baraque», 

liant     n  tir  ti   une  boulangerie   foraine.  Devant    1rs   maisons    tant    au  premier  plan   une  auberge, 

lu  J'omi  la    mantiujne   eaurerte    </<    grand»   pin»   et   laissant   apercevoir  à  pic  une  ferme     très 
dissimulée  pur   les    arbres. 


Galmeut  J=  U6 


PI  l.\0 


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/joro    a      poco     cresc.     sf 


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3   ^  ^  ^ 


strident 


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S?    "     3 


-   #-     fë 


(Les  Bncherons    descendent  de  la  montagne  en  chantant  avec  uue  franche  allure  de  ^aité) 
TÉNORS  ./' 


Iït> 


<l  es  boutique*  voIhhIm  «oui  ouvert»!  >t  la 
f«te  \.i   bientôt  »'.nHun'it 


ÀA1 


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1  7] LoiumI  H    pesant 


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des      garsdesVoa  -  j,'''s       co.gneot..  tail  -  lent.. 


p^r'f  iQ^ 


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co.gnent..  tail 


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des      gapsdesYos  .   ges       co.gneot..  tail .  lent, 

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co.gnent..  tail 

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vers  l;i   montagne) 


(imitant   l'echo) 
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portez  la  roi.T_     ff 


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rm    (losinaius  eu  porto  «itx,ver9  la  montagne  d'où  vieudroul   plu*  tard  le*  jeune*  voegionnea) 

feu  •  •  *■  li  <>  * 

JT\ j — i 


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poco   >    poco  accelerando 

JB  il1",!  i     !lB- 


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Les  grands  pins  aux         te   _    tes       en     .    deuil  _  lé 


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14 


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(Bruit?  ili'  fête  s'iiniinaut  de  plus  eu  plus  jusqu'à  la   danse) 


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(Les  Tireurs  a   l'arc   entrent  avec  quelques  femmes  et    des  gamins   gambadant  après  eux) 

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Les  enfants  courent  au  devant  des  Vosgiens  et  "Yosgienne.s, 
Grande  exubérance  de  gaieté'  . 


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Stu  . vunsnuusdi    file      en  fi  _  le,       La  dc.ri.ra,         La  dc.ri.ret.  te, 

LES  AUTRES   HOMMES  ET    FEMMES 


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d'ailleurs  doivent  se  trouver  près  du  Marchand  de   Bonneterie  ainsi  que  Louise  et    Berthe  pour  la  Scène  IV 


139 


i — 5 — r  , r 

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l,es  2  Ténors  qui  viennent  de  chanter  ce  soli  se  joindront 

clans  les  ch(Li.is  aux  Tireurs   ;i  l'arc 


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LES  AUTRES  FEMMES  -'>PK..t  CONTR 


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La  d<  .ri.ra,         la  ue.ri.rel  -  te,    Àh.'dansons  la,         la  de.ri.ra 


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La  de. ri.ra,         la  de.ri.ret  -te,    Ahldansons  ;à.         la  dcri  -n 


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La  de.ri.'ra,         la  de.ri.retJte,      Ahldansons  là.  la  de.ri.ra. 

BASSES  | ; 1  r~3      "•  | ■ 1 


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La  de.rL.  ra,         la  de.  ri .  ret .  te ,    Ah '.dansons  là,  la  de.ri.ra 


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SCÈNE  IV  H3 

l  ii  marchait d  de  bonneterie  entre  eu  poussant  une  voiture  chargée  dr  rubans  de  (miles  couleurs. 


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Ahîdansoiiblà  la  cie.ri  _ra  !  _ 


Quelques  Bûcherons  et  rireurs  vont  sattahli 

(levant  l'auberge:d'antres  lutîueiit  les  fciujjn  • 

i,uu  prennent  part  aux  jeux. 


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LE   MARCHAND  DE    BOMNETERIE 


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Un  peu    moins  vite    J=JPK 


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OUELOUES    BUCHERONS    ET  TIREURS  attables 
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147 


LES    ENFANTS   ET  QUELQUES    FEMMES 


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FEMMES    ET   ENFANTS     (TOUS) 


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DANSE    A    DEUX     (dan»  le  caractère  d'une    Valse  alsacienne) 
Rotent! 


Roteriez   toujours  les   2   premières  mesure»,  et  les  2  suivantes  serrez  un  peu 


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des      des  gars     des 


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Les  bras    so  _   li     .      des    des  gars  des   Vos    .     ges      eo  .  gnent,  tail   .    lent, 


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LES  TIREURS 

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LES  BUCHERONS 
BASSES 


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le    -      ri  _    ra  ! 


Pardonne  aux    femmes  et      rien       aux     ho.m  _  mes 


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Pardonne  aux  femmes  et      rien       aux     honi  _  mes... 


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Pardonne  aux    femmes  et      rien       aux     honi  .  me«, 


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J  =  100    Très  soutenu  Le  tir' — 

4  Cor»  dans  la  coulisse  nmn»uçaut  le  trrthu^  la  monbgue  A   cet  appe||os  Tireurs  quittent  là  seène  suivis 

A  2  -""ui— ■  _:*  __^  d'une  grande  partie  <le  la   foule. 


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Qielquet    couplet  reprennes!   enoore  li  l);ins( 
HOMMFS  ET  FEMMES 

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Mouv*   <1«>  la  danse  précédante 


Gai, 


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ret    _     te.     Ah!  dansons 


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Tout  près  d  chez  nous,      l'\        a   d 


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Des  viens   paysans  endimanchés  traversent  la  scène  pour 

se  rendent  au  tir.  _Les  Enfants  les  suivent  en  riant. 


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Ah  .'dansons       là,  la        de    .      ri 


d-J  '  1,1      J  IJITJ  Ij      J  U^N^S 


Trois  jeu.nes      fil     .      les      s'y pro  _  nie   _    tient...  Ahîdansons      là,  la 


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.ivt    .     te...    4h! dansons      là,. 


la     de  .  ri  .    ra  ! 


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de      .ri  .    pet    .     te...    ali! dansons      là  la       de ri-  rai 


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La  Glaneuse  qui    est    restée    pendant   toutt 


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cette    scène    mu-    les    marches    de    l'Eglise,  s'approche    d'un    boulanger    en    plein  vent 


SCENE  V 

LA  GLANEUSE  (simplement) 


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Deux  sous   de  pain.  s'il    vous  plaît, 


182 


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l\  t.l  vNi  l  si   (  timple  -i  Irisle) 


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L),tiis  l;«  coulisse 
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-    reu     .    be? 


183 


La  Glaneuse  regagne  les  marches  de  l'église  cuuiuie  si  elle  u'avait  pas  entendu  la  question 


Un    groupe  déjeunes  fiens  et  déjeunes  filles  traversent  le  fond  en  cliantaut  et  (Utnsani 


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Ali! 


Ali! 


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Très  anime    #rrll2    ^ 


Ah! 


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184 


,.  t!>  nttreut  joyeusement  et  uc  Pont  «fie  |>;i-.»rr  pour  *»   reodre  hu  tir 


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L)es  enfants  se  sont  approchés  de  la  Glaneuse, et  la  regardent 
avec  une  curiosité  craintive,  manger  son  paîu. 


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SCENE    VI 

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Moins  >i(e 


Le*  etifutil  *  eftquiflHL'ul  un 
m  oit  >  «-in  t-  h  t  de  fuite 


p  -i-f p-M-f £=^S 


Mon  .   jour...  mes  chers  [><•-!  its! 
Moins  vite  J  =  84 


> 


(  libi  euient  ' 
Ira. 


retenez 


la  G. 


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Mi  ne  vous  sauvez  pas! 

v  h  Tempo 


Je   nesuispas  mé-chan  .   te 

très  rit . 


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Pins  lent 


(a  un  gamin) 


Jl    J  J^  JUJLU 


la  G. 


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\  iens, 
Plus  lent  J  =  58 


toi mon  clm.ru    _     bin!, 


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la  G. 


h  h    h    hjvg 


Plus  décidé 


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^  iJip  p   p  -E^j^b 


-f5ffih 


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don  _  ne  moi  ta     pe.ti.te      main! 


Alluns,viens,naicpaspcur 


S 


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Vif   If  doubla  plus  vite  6  —  J 
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la  G. 


Ji>      sais    de      bel  .         _  Jcs    his    _     1 


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Mais      oui!.. 


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vrai,  ment? 


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P_P_JT^_P^ 


Dt'N    lus  _  toi  _  res   d'aii-tre  _ 


'rpftr.  uiiimul  > 


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^rï-t'i: 


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!:  M  I  \l>l    hl    I  \  l-IIM.  151  INCHK 

l>.m^  le  c;ii';icl(Tc   il  ut)  cl;;uil    |>o|uil;iirt 


la  G 


la  Rei .  ne    Blanchi 

Assez  soutenu  J^'.'- 


a    .      vait  doux    ieu.nes     }>a  .        -  j£«'S, 


la  G. 


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Qui 


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r      Du  manche,      h      I  of  .     fi 


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Ml). 


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//;//. 


9^: 


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la  T.. 


tuurnaient.fuurnaient        dé  _  vo.tement  les  pa  -   p:s  de     fù>n  missel     aux  fer. 


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Un  peu  lent       retenez 


irtjm 


a  G. 


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_moirs     en   or  t'ui..,_ 


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La   Rei. ne  Blan  .  che  avait  deux  jeunes 


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-O- 


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a  Tempo 


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-   JJ''S... 


a   Tempo  assez^animé 


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-ir^g 


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^7t]  Dans  le  sentiment  du  1\'   Monv., mais  plus  anime. 


I  J      ^  I  J      J'  i~'  J ..        J 


& 


p-pr    .p-p. 


F         9 


la  G.  Al£ 


Mais      vint  Iagiiérre,et s en    f'u  _    rentlespa  _     ges...     Tan  _  disquel'un  por. 

1er    Mouv1    mais  plus  animé 


î 


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4-4-0 4—4-4-0 


4— 4M-4T 


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9  9  9^        ,9     99  9 


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soutenu 


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Un  peu   plus  auimé 


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.tait     I  étendard  blanc, l'autre  lecoeurfîer 


de  tous  les  coura  _  ges, 


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à pleins poumonssouff lait  dans  lbJiphant 


Mais    vint    la 


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190 


Uapeulea!     retwiei 


la  G 


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guer  .  re,etsenfuren1  les  pa 


ges... 
»  Tempo 


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Lamort  esl  la.  cheMls    sont  tombes  les  pa  .  ges!         La     Rouie  Blanche  en  un 
Plus  tristement  


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grand   (h'_s  espoir... 


De      sou  missel         de  pleurs marquantles  pa   .    ges, 

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De  .  puis  ce  jour        perte     un  vê.tement  noir, 


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La   mort  est 


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9! 


Très  lent 


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P  Stthtt"  /-s     .~-"Zl    21  — 


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_  cheUlssonttombésIes     pa  _        _  ges. 

res  ieut  a  Tempo 


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18r 


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§ 


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TTjVif     avec  une  franche  gaieté 

"NE.NFA.NT f 

t  —  .      1 


m 


£=£ 


Y=F¥ 


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Oh!   main. te    _     riant,         chan.tez  nous 
Vif  #  =  138    avec   une  franche  gaieté 


11  _   ne 


Pi 


•       m 


&^ 


■       m 


V~- 


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roii.       _  de,  pour  nous  fai  _   rc    dan    _     ser! 


bfe: 


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P 


I.  \  f.l.\.NEl*SE 


1 — s — I 


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H44 V- 


\0US  le  VJuL'Z? 


3  E.NFA.NTS 


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Oh.oui! 


te 


lls  \  (  t  f  ;  f  :  s 


l 


m 


aeceleranilo 


Oui!__ 


6 


•  Tou*  battant  det  tanins) 


s    ~ 


F 


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OUI! 


les 

Vu 


oui!  oui!  oui! 


p p 


P  ».  P  ».  P  y 

JL-J    P    ^    P    ^ 


1*1 1 1  — ~  animé  encore 


oui! 


oui!  oui! 


oui! 


I   \    Gl.  \M.I  SE 


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1     :# 


g       g 


P^Pi 


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Mais,  vous    rc-  prendrez   eu 

8- 


fo^M 


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très  rai 


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es   chers     pe  .        _  t its  !. 


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Bon 


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S 


193 


Fronde   4p'2> 

i-éger 

|4  -|  (iimc  une  grande  simplicité) 


la- G 


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m 


un  peu  loutre 


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e£=f^ 


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0 0 


$ 


hum  _  me,  bon      hom  _  me! Que    savez-vous     fai    .     re 

Léger  J  =  100  L 

1 i. 


à 


Sa.  vez-vo 


us 


i 


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la  G 


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do     iamist' en       lai   .     re. 


0  0     * 


W\  _  re  lai.re        iai  _'  re, 


#=§=# 


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t^r 


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i 


i 


§ 


«       r* 


lJlu*  animé  Pressez  encore 

Les  eiifauts  dansent  c-n  rond  autour  de  la  Glaji;!nso 


m 


& 


a  G. 


M 


de      iaûî'st'en 
LES  ENFANTS 


lai  _     F 


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U.es  enfants  coutiuuaiil   mais  plus  fort) 


^=fr^BB£4#fr 


De     Iamist' <>n        lai  .    r< 


lai  _  re  lai.re 


ggg 


É 


à 


j=* 


P 


* 


T 


(très  endiablé)       Partes  /g  son 


f 


'   'Imifee  dune    Ronde  populaire 
^Au  théâtre   l'on  passe  du  N?_42  s^ 


194 


♦. 


revpMl  tu    I'.'    M-miv! 


j*  1        i 


ÎV: 


v& 


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*      # 


Mon       hom .  me, bon      hom  _  meî Que     savcz-vous     fai    .      pu? 


/*•/» 


i'.r    loiivi 

>ulme  et  léger 


m 


à 


» 


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suivez 


la  G. 


m 


un  /leu  huirre 


m 


<ie     larnist'en       flû   .     te  ? 


m 


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Sa_\ez-\t>iis  jou    ,     er 


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Flû .  te  flù.te 


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la  G. 


P 


flû   _<tè 


LES  ENFANTS 


de     larnist'en      flù  .  te 


fils  dansent  en  rond  comme  précédemment) 


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m 


M.  D. 


De     larnist'en      Flû  _    te, 
Plus  animé 


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m 


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195 


le: 


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Pressez  encore  (Même  jeu  même  sentiments 


ff-     HP 


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*       ■- 


fT&^f 


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.!-         la.Mist'  en        fin 


te? 


Ah! 


an 


li!_  ah! 


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m 


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le.r  Mouvî 
L4  GLANEUSE  très  long        calme  et  léger 
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Bon     hom_me,bon     hom  _  met 


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Que    savez-vous    fai    _     re?_ 


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—  Retenez  un  peu  les  2  premières  mesures 

ten.     .très  lonq  -À- 


1 


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la  G. 


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V      £  V    Y 


Que    SHYPZ-vous      fai    _     re  ?         Sa.vez-vous  jou  .    er 


de     lamist'  en 


É 


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^* — ' T — ' — '^_^*_* 

Bas.sebas.se       bas    .    se, de     lamist' en      bas   .    se, 


bas   .    se?. 


I 


fc=t 


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LR8    ENFAXTi 

•    -    / 


H»1    lamis.t'eo    bas     se,       <l<      lainis.teii    tlu  .  te       <lr     lamis.t'on  bas  _  m' 


de     larais.tVo    l»>s     se,       de     lamis-teti    f  lu  .  te 
1res  anime  el   pln>  endiablé  encore 


m 


m 


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S 


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i  Pierre  el  Sn/f|  paraissent  el   regardeul 
l.i  scèue  svec  attendrissement)— k^^^LV 


1 1  es  Enfauts  vont  embi'ii«M' 
1,1  Glaneuse) 


ff^JTCJï 


^ 


les 
En, 


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£?=fc±g 


ah!         ah! 


ah!.. 


que    savez-vous  Pai    .    reî 


iHEhifl 


É 


toujours  i  res  an  i  nié 
/r_       tr 


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■2  \l T4W:s  ENFANTS 


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3:     a:      a:     ai 
¥      é        é      ê 


*      J    J 


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1',(-  OKOl  l'L 


197 


ie:  groupe 


(Ils   se  dispersent    de 


J*  GROUPE 


an!     ah!     ah! 


1    P.   P.   g 


rih!      ah!      ah! 


ums    eûtes  eu    riant    aux  éclats) 


i        ti       P        P 


nh!       ah!        ah! 


* 


if      (s     p  "~ p      1  P  , '  P  l1  P  4   1  )TV7Ym 

ah!        ah!        ah!        ah!  ah! 


4    P,.    g,  (s,    .HT''1  *  |j  v 


i  r 


1    r 


y  y  v  s 


g 


ah!        ah!       ah!         ah! 
3 


ah! 


(y  |!i-  »  g-  j-b 


#x 


(dans    la   coulisse) 


46 


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sa.vez  -  vous  fai    _       re  ? 


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calmato 


Un  peu  moins  vite 

ca  Ime 


i 


T 

M. G. 


^ 


198 


S<   E  NK  VII 


PIERRE  fdlsigaairi  la  Glaneusa 

à  Etual)  simplement    _ 


teii 


'*    1  J    J     l1^ 


S= 


J2 


cédai  an  peu       Roeel 


Quelle  est  cet-te    fem    .    mo? 

u  Tempo  très   rail. 


pipp 


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*     et'   *    :  g 


Lent    triste  et   pesa 


IL  ne  gULoeu  .  se , 

ut   J=J 


u_ne  maLhru  _ 


-7r 


>»f 


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J 


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J-        Bj        I       J     i    ^ 


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J. i »- 


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J      *       I.JlJ 


P  p  (î  i  r  ^  p  r^^ 


^— rr 


Su. 


reu       -      se!  HLer,       bien maLgré  moi,        mon  pè.Té  l'a     chas_ 


S 


f  f  r   ê 


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f-rj-t 


5 


o,r  f 


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ClT~g 


Un  peu  moins  vite  et  très  calme 


f» (• — *> 


p.  p  r  -F  P 


Je     vais     lui  porter      une  au_ 


^^ 


199 


(Elle  s'avance  vers   la  Glaneuse) 


r=# 


£ 


Su 


f^f 


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mo     _      ne 


rail. 


Plus  vite  et  soutenu    J=88 


m 


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Su 


PPT    pPPP"PHip§ 


-s       * 


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Bonne    fem  _  me,acceptezcetteo  .  bo   _    le 


Oubli. 


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poco  animato 


un  peu  rai 


r— s: — I    T 


fy  ""P  p  Pi 


j         h  h  h  j    h  r  l  r       j 

g  i     g     é      é      é     7—\ —  * 


ê 


s»-  (fa    (T  tt 


S 


E 


ï* 


i 


ez  que  mon  pè     .       re  en.vers vous  fut  in    _   jus     _     te;  pr<» 

poco  aaimato  un  peu  rail. 


^ 


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w. 


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S 


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-&■  crt-'.sc.  J_ — - 


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->       I 2 1      I         3         |        , 3 


I 


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un  peu  en  dehors 


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S 


Su. 


_  nez! 

LA  GUNGUSE 


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J'  I  J      *  I  «   -TTTTP^ 


Ètà: 


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S 


*      X        1 


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# — 0 


$ 


Mer  _  ci! 
Revenez  au  1er  Mouvt   J=88 


Vousê.tes   bonne,  vous  L 


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M 


pressez  un  peu 


se 


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h  h  ;^ 


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Et     quti  !'•  ci»!  \<mis  gar  .    <I<C 


|   ÈHÉîiÉ 


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S 


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A_J_d 


iiil 


j-'^j'u 


j      fcl     J^=:; 


e?=^e 


po: 


I—  b    "^ 


PIERRE  'i|ui  s',-,t  avauce  a  son  tour, 

•.'.•iilri-ss.ii  (  ,i  l.i  Glaueu&e) 
à   l'aise 


~¥^~%  g  ;  ;  E.rr    p  r  p 


t-W— q 


f^pp 


On  ne  vous,  connaît  pas    dau*  le       pa    _    \> 


^  -/  - 


D'où  ve  _  H»'/ 


*!         X 


.).  c 


1         X 


* 


Très  lent 

l.\   GLANEI  SE 


/>  I3        I 


Monv1  précédent 


S 


£^ 


£4: 


De    très    loin. 


PPi 


E 


-"h— - 


vous: 

Tr«s  lent    J=  50 


Mouv1  précédent   #=8H 


ent   J 


É 


E 


' 


d'un , 


PP 


-CfF 


*£ 


S 


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ÉÊ^ 


49 


l'i. 


T*~~2        T 


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8  —  -. 


Vo_tre  nom  ?  T  •    '  jai 

I  tps  anime    #  =  lo4 


■—19- 


i 


iffL 


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g     i 


// 


Seê 


5^      A    # 


^r^? 


>     * 


[^  s  a  i  LJ  y  lj=* 


iez 


lourdement 


-201 


LA    G1-A3EUSE  (dominant  une  grande  agitation) 


(un  instant    sondeuse) 


'■1$ 


V 


(avec  un  sentiment  de 
profonde  tristesse) 


m        ë 


m 


Ils    sont       en 


¥^^44 


Vos  sou_ve_nirs?.. 
Revenez  an    Motiv1  precédeul    mais   moins    anime    #=104 


3; 


^m 


w-yt- 


m 


te    t 


mï=tt 


n 


i^i 


Jet. 


N 


^ 


S 


£: 


« 


su* 


Pi. 


$ 


I 


't-T + 


m 


fuis! 


eh .1  ikI  et  vibrant 


aaiiuato 


S1=J 


**=* 


Oh! 
(Ii.mhI  et  vibrant 


f 


dl   .     1rs 


^ 


ïtA t i 


expressif 


f 


g* 


suivez  ta  voix 


retenea  uu  peu 

m— i   E- 


ïÊÈÊmm 


a  Tempo 


Ê^î 


IIK'l 


(Jllf'l    ex. Ces    (le    ilnu     .      leur 

suive!  a  Tempo 


poeo    rttbato 


lin   peu    rail, 


Pi. 


rr — : 1 


a  Tempo 


%T=rTTTT*ç  I  ^    J'  J1  i'  pT^r^f 


à    pu  meurtrir  ain    _    si          vo_  tre  maLhoureux  cœur! 
un  peu    rail. _»   Tempo 


203 


m 


Elit-  l'es  te  un  îustaut  abimée  dans  ses  souvenirs,  puis  doucement  à  Pierre  et  Suzei 


f 


i     \>f 


n. 


serrer 


i 


5^1    x 


J^/J  subito 


Soy  _ 


S 


3=  gy^ 


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S 


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accelerando     ,/;, 


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G. 


_  ez  heu  _  reux 

calmato 


tous         deux, 


i 


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t 


Revenez  au    Mouv'  précédent 
mais  un  peu  animé 


^E^ 


é=j 


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allarg. 


.le     lis  dans    vos        yeux  tant     d'amoui 


f    riJ5ii"t 


rfr]  J^»^  ii,|il 


allarg. 

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13 


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Mrffïrrri 


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que    j  es  _  pe  _  re    pour  vous 


u  .  ne     douce        ex.is 


i 


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P  r     p  n 


Nous  som 

1res   décidé    •  -  H8 


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1 


fc 


kl 


mes  fi_;in_  ces,  touslesdeux! 

scherzando 


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33 


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1      ■*     I    l^ 
-fe 


* 

P 


lycLnggig 


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SCZEL 


à  Pierre  qui  la     ■ ■ — ■ 

regarde  doucemein     3 


205 


cfci 


plus   anime 


Su 


PP-r     p-  p 


» 


*** 


p?P  p  r     PTi 


.r   :  . 

oins  anime 


re 


longtemps       re  _  fu  _  sait (|u'il  de.viut mon  é  _ 


^z — _  _ i3r^: — "*-+-&*- 


LA  GLANEUSE  Mojns  vite 

(comme  en  rêve) 


t     'i  >>   ^Sr-lr-iry-î 


a  Tempo 


AR 


-*A 


m 


sou    pè.re     ne    vou.lait       pas... 

a  Tempo 


i r 


fpr 


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ffnffeB 


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23 


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SÏIZEL       1 5 !      ****    r,gUeUr 


ITyr —  m       m 


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F 


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Lr  mien  est   pan 

S 


vre 


je  n'ai    guè.re   de    dot; 


taù . 


17 


iOH 


s;m>i  uretser 


Ijl'l    M  'If   I 


^■e 


.dis    que    Di.dier    le     Ber     -      gor.;.. 

LA  GLANEUSE  ftrcssaillpnt)     y 


^3E 


5 


m 


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v 


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Di.dier 
Animé  et  violent    «1  =  96 


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ni  . 


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m 


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Su.  -/ 


ce . . . 


(s'adressnut   ;î   Pierre     tomme  affolée)  y 


* 


^p=*»=^ 


f    m  r    f  p 


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A   .    lors. 


rous     è      -    tes      le 


serrez 


ë^SI 


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M*: 


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35 


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3E^ES 


207 


Su, 


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rail 


Vous    trem_ 


i 


fils  de... 

(surpris) 
PIERRE       Kfl 


1 J 


mm 


^s 


accel 


Mais,. 


qu  a . vez 


vous?._ 
pesant 


rail 


1         X 


m 


1      x 


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Plus  calme 


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Su. 


Pi. 


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P 


V 


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E 


*-*-*— J- 


Vos         yeux  sont  pleins   de     lar   .    mes... 
Plus  caluie    J  =  88 


/>jfi  subito 


a 


_  h  i 


ri 


ppp 


LA  GLANEUSE      (tristement) 

^3 


/t'« 


gf4=f-XpÊ 


208 


l  h  peu  plus  lent 
mf 


(Elle  «'éloigne  lainsaul 
Pierre  <'i  Suie  I  Surpris) 


É 


' 


/'/> 


* 


r 


7~" 


r      r 


SCENE  VIII 

si  /il. 


^    /   ^  J'J^legË 


Moins  vite 


* 


La  pau.yre        feno   .    me 


PIEHKK 


ÉÊÉÉ 


r> — 3 7} 

zh 


r 


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Un   é>tran_ge  mys.tè  _  re  l'enjve 

Moins  vite    J  =  H4 


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3    n 


Jrrtr    J'U    >^ 


animato 


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On     dirait         un       ê  _  tre  d'au  do.là 


animato 


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J.. 


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3 1     ' s 1 


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+2- 


-<g,b',i»J.      J>J'^p 


ÉËÉÉ 


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S 


Su. 


. jà,       dans  le  pa.ys, 
eu  animant   peu  a   peu 


on      la  nom  .     me   la  Sor 


9 


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É 


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p  S  i  ^^ 


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la      je  _  te  11      -      se       de 
accel.  eon   fuoeo 


m 


m 


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Su. 


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1 


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S 


S 


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Moii\'  de  la  danse  chantée  par  las  chœurs  à  la  1"'  Scène 

rï?n  Vif  <?*r:72  (  II*  èoouteul  itae  uuejoin  > i s î h . «•  lai  rhjrtmes  de  la  danse;  puis,  Pierre  e'v.dre*. 


tapi  a  s  u /<■!  ) 


6 


/tout  en  marchante 

v      leutement         '      SUZEL         (tendrement) 


■-r" 


É 


Oui,    mon    Pier 

ERRE        />  (La   danse  vient  comme  par  bouffées  apportées  par  le  vt'iit) 


?P£ 


* 


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V  n\-tu  dan.ser?     _ 


JXï: 


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Comme à       ton     bras,. 


A   m.     l-fi- 


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Su, 


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je      me    sens     joy  _  eu 


se 


m 


f-^fl^rtt  '  PfïTtnrr 


# 


m 


&- — 


3==te 


17*- 


■* —  *rl  t 


En.semble  ain.si  ...      nous  sui 


••-  I  1  II  *"■« 


r^r^n 


Su. 


W 


_vrons        le     che.min        de    la       vi~ 


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w 


-^ 


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211 


57  Un  peu  leut  et  très  expressif 


PIERRE 
I   4'i    y' 


1 


PPPP 


♦5 


^^ 


Mou     cœur  près  de    ton  cœur...        Et;  ta  maiu  dans  ma 
ITn  peu  leut    la  J-  comme  la  o-  précédente  i 


* 


mé 


nie 


ma  ni 

il 


trriri 


(9     »  g»  =^ 

^  — 


#-*- 


ZE 


.f-ft—fr-f 


feâ 


ïf- 


/res  expressif 
XI —  dim. 


dim. 


(Ou  entend   la  danse  an  loin) 


W 


Pi. 


# o-*- 


5     P  * 


I 


S=É 


Ê 


0     ma    Suzel ché  _    ri 

rail. 


e!  | 

if     M*  précédent  d-=72 


î 


*  ,ia 


_0_!_ 

te 


8i  M/,    h-^i 


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gg  |§jg 


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f 


(Ils  s'éloignent, sans  apercevoir  Mnller  qui, depuis  quelques 
temps,  les- regarde  avec  ui\e  tristesse  visible) 


(Muller  s'avance   lentement  vers  l'Eglise) 


S 


-  j.  ■*• 


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f 


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sf*   ÏT*   IV   [îT*   :lî 


SCENE  IX 


50 


f^ËE 


MILLER 

■^0-  ■ 


CZ=         VF5E2 


# 


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g:  r"«jK 


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~ff*  ff^Tf 


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if 


au 


Pauvres  ni. 
Poco  niod1-? 

l_a    a=é'  précédente 


t? 


3T 


M,,^i= 


?0- 


^_jj_nj 


fants,  iU  sont       iD.sou.ci    .   nnts... 


^v^=\ 


hou 


213 


( 


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m^ 


presque  parlé  frageusemenl) 

=Pi 


Mu. 


E3 


.  :•    i   ^ 


ES!3^S 


.  ra  _  ge  d'hier  ■■  a  dc'.vas.  té  tuoa  champ  » . 


£3È$EEË 


=3Î 


Les autres..        rien, 


^t 


SS 


âEEtf 


^t3SL 


%^à^n^\ 


yr 


M=f^=f 


(avec  mu'  t;r;iiidc  dc-t'spJiance  ) 


Mu. 


if 


214 


Mi-.g 


pressez 


■^^F^f 


c>\ 


(se  liii^sHiil  tomber  sur  les  miuches  de  I  église) 


m 


Mu 


/cl 


# 


sa 


pieu    -    rer 

Plus  calme  J-70 

4- 


: — ïS-t 


doucement  expressif       I 


sa 


0 


-O 


» 


^ 


■.    t>     rjgg 


M... 


pi 


4> 


e 


3^ 


Qu'ai-je  doncfait     à     Dieu  _ 
assez  soutenu    J— 80  cresê. 


=FFJ^ 


*     t?r, 


£ 


^ 


* 


w 


w 


31 


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M   D. 


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yt"!      f-^z^-yri^-^ 


Mu. 


F^ 


pour     qu'il  me  frappe   ain   _   si? 


y  *  ii<ij7 


3: 


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f>jp  subito 

^ 


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a  o 


62 


Vif 
M*  de  la  danse    (1>idier  f,i,raît  et  va  VLMS  Mu,,er) 


215 


$rrmn 


ES 


m 


m 


]>p   dîtiis  I»  coulisse 


§E1 


m  * 


a:   i: 


«I*   ? 


SCENE  X 

DIDIER 


f»     ^  *  ip  f~f~p^ 


Y~    0     -=& 


^ *M* 


E£^ 


«k         — y       g 


Eh  bienL.       Mul  .1er... 


c'est    vrai  ... 


cequonra. 


■s*  r r r  \\'i 


M 


'■>     i  luf  6  I 


31 


¥ 


§Œ 


s:  a: 


a:  j: 


a:  a:  *:  a: 


la  a—  O'  précédente 


§Œ 


ê 


F-L^lf     ppJM=W^^gEEEg^ 


con 


.    te?. 


La     grê   _  le  au   _  raittout ra.va   .    gécheztoi?. 


$mê 


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r-; — i 


^ — : — =- 


m 


Di-S 


Dia.ble,  ça  vachangerleseno_ses 


MULLEIl 


^1,       S  V    [l1=g 


Hélas!.. 

Moins  vite  et  lourdement    J-78      3 


i 


t>'  111  e.f 


ts 


» 


1Z1 


-in; 


M  l  1  |  |  |;  i  lourdement  ) 


!?—-*- 


/'i — : — i 
^3 


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.i'i'ii  éjais  sûr 


J--(5i 


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m 


t 


'M^M-fa^ 


£êe£ 


ft=± 


.meul      que  tu  dois      delar.geni 


auboulan  .  ger, 


^tt/  >UJ 


uj-lu 


« 


au   for  .  ge 


"^— r 


n~i 


^=^ 


"*-5- 


f= 


04 


w.^rf 


_  ron  ... 


^ 


MILLER  (franchement) 
,/ 


fa 


»)♦•    les     paierai!. 


e;    1    t    * 


"217 


as 


M 


trè*     rail 


Grâce     à         l'huissier., 


Ml'LLER         ft:    £: 


MsÉ 


*  m 


S 


Didier!. 


Didier! 


Pf 


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i  7  ï 


7  7 


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âne 


'/  „''~ff       7       £ 


gi 


f         7      »«=     ?         7 


** 


^m 


'f,  <      ' 


Tempo 


Mu. 


w  r   r  '  p 


S  7 


Ne  par.K'   pas       ain  _      «si 


^^^ 


^^=^ 


PP=f 


Dj'UJ 


s* 


3=^F 


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335 


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LU  lu  I  l: 


r   r   r 


•^r— *    rîiriHTP-r     p  r^zx-gJ—P- 


Ë 


Ta     ré    .    col  «te    per.du  _      «    e;  les     protêts  Yunt    pieu 


LLf  r   ;- 


g^jTT 


I 


pB  »        ^ 


t 


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Ûdftii 


^  r    ?o^f-Mr'>  ^ff^i 


s 


Di. 


T=*F 


voir...        et  le  papier  tim  _  bre'...  et   la      sai  .  si 


e!.. 


i 


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y       7 


t* — ■-«-■ — ■ — ■ 


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>     -^ 


dansqucl  _  li«     ^a  .  ltv 


#-*-* ± m 


Di 


p., sa 


f^j?-P  p  p  p-mp 


.  lors ...     tu  ne  m'as  pas  com_pris  ?. 


HT"1 


ga 


m    m    i    jt~~    *  * 


#,Yg 


Mu. 


k m ._i 


■*—*t-±=ï 


Tu  pc  _  prends    ta  pa.ro  . 


•zfcï 


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3     m     0 


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retenez        a  Tempo 

0  m 


H 


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5ÎFÎ 


§ 


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^^ 


Di. 


Mu. 


*         X 


Parbleu  !  Tu  m'as  dupe  !..  (atec  une  grande  sincérité)  p^ — | 


m  r  ~7 


x    i  g 


f-W-pfr 


.le? 


^ffP 


'*)=»    ,4 


—  rr  ? 


ps 


fv 

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ê* 


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^F:f#p 


•<&*. 


ÉËÉÉ 


J'e.tais   de  bonne 


^=? 


* 


:!FÏ: 


5^ 


219 


M.i 


Sg 


PE 


(simplement  ) 
I       5~^ 


foi....  . 

Calme  et  tranquille   Jz:80 


ÉÊ^S^ 


Pouvaisju  prévoir 


Mu. 


^S 


^^2 


3=1 


i^ 


Anime  et  plus  vite    J=100 

«-*-       -fi 


ïee*é: 


^3L: 


^ 


un      psLrcil      de.sas     .     tre?.. 


Di.di 


ter....  ,  Je     t'en      sup 

Auime  et  plus  vite  è  -  100 


DIDIER 


^EES^ 


IÏO 


<;7  I  presseï  <le  plu»,  en  |>lus 

;ÉIÉÉ 


hlhll  n 


très  décidé 
f 


i 


[^f^Tr^^^^^-^1^^1^1^^ 


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Je  ne  veux  pas ma_ri  _  er    ces  enfants,    pour      qu'ilsaient  faim  demain!.. 

a   Tempo 


'2 


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Plus  lent 
«^  (  sombre 


té 


P^ggfc=Â=^ 


Et 


Di 


C'esl  mou  droit, 


mon  de  _  voir!. 

Moderato    J--69 


îfiPf 


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MIMER 


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Crois-tu  que  les,    parents,. 


au  nom  du      de_ 


^ferts1 


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221 


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-voir,  et   du  droit      mu   _       .    mo  dbi  >  vent 


tre   des      tV. 


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DIDlER(violeut) 


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«—•H 1 


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L'argent         doit  ap.ue.l-er    l'i 


ar 


Mu. 


S£ 


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rans  ?.. 


Vif  et  très  anime 


J-120 


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m. 


Mu. 


[eut 


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C'est    pousser 


trop 


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hr- 


fe£: 


Di. 


Mu. 


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i 


Ah  ! 


tu      m'in. 


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loin 


I 


"a    _    \a.ri  .       .   ce  ! 


:#£ 


«^ 


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Bf 


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15F 


*ti 


»ul   :      _  tes,  ù    présent!. 


§  E 


ru  retenant 


s      _ 


izff^ê?^ 


Mu 


Tu  n'es    qu'un  <:  ..  go. 


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SÊ 


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J      I      g      g     j_l 


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(terrible) 

"Là 


K'^l    Assez  soutenu  J= 


108 


x      V 


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Mu! -1er.. 


Mul 


[er 


ë=ê 


(coutinuant,exai<pi'ro  ) 


^oi—ft 


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m 


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Mu. 


y 


.  ïs  .      .  te  ! 


i 


iSÉi 


A    prèstuut,      ma 


i 


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e-r_h 


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Mil. 


s^p 


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y 


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en  e.pousaiitton      fils, 


te    faLsait    gra  d  honneur, 


u 


trë»   vibrant 


f 


223 


».m 


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-9-0- 


ki_u. 


3^ 


PESÉ 


w"5 


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w=^ 


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Car      mafemmeà  moi, 


ma  pan  .  vit  chère     mor  _  te,  e.tait   lion 


$ 


V~hT=X£ 


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m 


m--Hi— { 


mzzm 


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S 


-^4- 


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m 


w* 


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(avec  intention) 


ne     _    te... 


Et  de  son  souve  _   nir,  nous  au  _    .  tres,n  avons 


ilfW 


É 


# 


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S 


PTT 


4>=Ê 


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UlUlER(s'éIançant  vers  Muller) 


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w^=^& 


& 


m 


Ah! -tais  toi!.. 


Malheureux  !.._ 


I 


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m 


ï  s        x   i*i»»l  1  ■>     ?    x   ib«|*gp 


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IS 


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__^  (fou  de  colère) 


I        3        I 


pj.r9:i!'L>  f=?- 


c-ëêê  <r  gp-ëT     ïï  ùiti=i 


s 


en  retenant 


Tuvicnsdepronon.cer     u_ne  pa_ro 


le,que  je  n'oublie.rai 


m 


fe 


s 


s 


33: 


331 


ff 


m 


2.  — 


u    ^ 


S    JO* 


i    : — i 


é*# 


J^fJMJ^^ 


un  peu  retenu  et  bien  déclamé 


MM 


pas,...     donljemevenge.rai! 


^^ 


Tu  no  sais  pus,    toi. 


#^E 


Su 


*JlhÉ 


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♦.    ♦  ■/X'2# 


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y 


retenez  en   martelant 


"*     5t 


Pierre  et  Suzel  entrent.     Pierre  affolé  n'élance  pour  les  séparer, 


(  haletant  trè>  agite  ) 
3  3 

te 


Ip 


El 


Tifs  ajiité  mais  moitié  vit"     225 
SCENE   XI  PIERRE  rlU'  teii 

_L_i •*    #  y  i_ 


te 


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éè] 


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SfeEÏ 


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feife 


p?  "if^i 


i^ëSeë 


SE 


Pè  _    .  re!  Pè    _    re'.Quv  a 
Très  agité  mais  moins  vite 

M  ■»  * 


bée* 


ÈfeEEf 


-^#-^^^j^r7/'J77"Wi 


a  ri: 


Pi. 


i 


à 


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1      '        3 


t>!»    g      g- 


m     l^Hr-^ 


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-t"il?  Ques'estildonc  pas  _  se?. 


S 


DIDIER(hrntal)       f        i 


Mais.. 


r 


S 


x     i^ 


x    y     y 


i 


MÎ  précèdent    Jr  112 


Tais  toi! 


J'ai 


42 


t>!i       * 


t— y—  i 


±=^z 


1res  décidé 


m 


±^z 


i 


SUZEL  (  s'adressaiit  à  Muller) 


ESES^E 


+2- 


fcr^r  r  ~rT  ff  f  "    >  ^  f  fi  r^ 


SES 


±2: 


Ê^feë 


* 


P=P=£ 


Pè  _  re,jevousenpri  _  e?  répondez 


£EEf 


ni. 


^T& 


S  *?      " 


dit.... 


moins  vite 


? 


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i 


poco   rai 


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Su, 


I 


72J      (à  part) 


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J        ,      7  * 


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mui: 


Dieu!.. 


Quel 


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le  pa  - 


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3        i: 


rfim. 


3        i: 


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2*6 


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s     - 


^4_Jr'       = 


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leur... 


MILLER  mf 


3§É 


b#ffî'Tte^U^- 


B 


Ne  m'interroge     pas!.    Entre  nous,  c'est  fi 


g§=s 


» 


M 


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1   ? 


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If 


Kal.H. 


r  s 


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PIERRE  (intervenant) 


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Mais.. 


(  sourdement  ) 


£e^£ 


E=pfffcfc=M 


m 


e 


Mu. 


m  !. 


Il  m'a  reproche'       ma    mi    .    se  .    re! 

\ss«'z    soutenu      J  =9fî 


(à  Suzd) 


m- « 


'-*..  f 


É 


S 


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£ 


p    • — m — m — m — =, — a 


2=3: 


Mu. 


t^r    y     *?  V-V-V-y. 


II  Re  veut  plus  du     toi, parce  que  je  n'ai  plus  dar  _  gent!..       A 


$.  ■  JTT4 


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227 


DIDIIR   (  l'inU •trompant    violemment) 


(montrant   Suzel  ) 


SU-???*?? 


SUZEL 


$ 


V 


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>  \p. t.  p 


±zfe 


J  ai     peur! 


^S 


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l)i 


*  p  Vf    r   ^ 


Lais.se    nous.  Pierre    et      moi 


$ 


i 


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S 


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31 


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PIERRE  (la  rassurant    par    un  long  regard  d'amour) 


1 


EU 


nT.P'P1 .''  .  g 


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J  =  72 
Très  expressif  et  pins  lent 

A 


E§Œ 


^   |4 


1m)* 


y—r 


Crois  en  moi  pour  tou  _  jours! 


s  >é- 


ira: 


P«e- 


/J 


4^É 


2*8 


Ml  LLCK   ( i ■iiiiiifiiiiui     «  Fille  '|"i  pleun  sur  i«n  épaule  J 


( s'adifs-ant    a  Didier) 


Mu. 


^fr-r 


t 


§a 


W—\—J3 


« m k_ï j 


Je    l'em.mène         à   la  mai  -  son, 


>ù     le 


son    _  vr 


/ 


Plus  lent 
(avec  âpre té  ) 


(il  sort   avec   Su/el 


A.C 


1*7 rS|  Pais,  quand  il  se  sont  éloignes, 

Pierre  s'adressant  à  Didier 


SCENE  XII 

PIERRE 


229 


DIDIER  (contenant  difficilement  une  violente  émotion) 

4 


C'est    tou  .  te     ma  vi  _e 


*>Vi   t  -f— i-'ipt    iTTr-» — r%rr 


Rien...      Tais-toi  ! 


M 


P 


i^j— I 


ÏBi 


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en  retenant  un  peu 


m 


z=& 


f- }  f    F 


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76 


I 


Pi^S 


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^ 


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qu  il    «  niait  ne  ajvec  lui 


^r~r 


C'est  mon  rè  _  ve  qui  s'en 


f  ïTiHirë 


Di. 


Tais   -    toi! 


r> 


rit. 


I^#=H=4 


f^l 


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f      f   f  H>4 


ifee 


i 


e- — f 


^m 


(chaleureusement) 


Très  animé 


*$>, 


*T~  ...;         ....    i * \ 


•2      * 


TTft  U^-^^ffig 


qui     se  dégespè  -  re.  .. 


Et  vous    rue  di    -  tes  de  me 


.-< 


#  * 


S 


zfc^ 


S2 


ê 


Mi.uCiU! 


Presses  un  peu  et  très  anime 


jj^ï^ïH 


•>    ,  P 


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4^-MfcE 


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-et 


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3 


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très  décidé 

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*    * 


Pi. 


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3±^ï^^^ 


tai  .  re! 


3BB 


£■-*. 


^=? 


feê 


m] 


Je  veux; savoir         pour. 


* 


Par  pi  .  tic  !.. 
acceierando 


.^om 


Plus  vite  J=104 


± 


V    1      *  ^B 


— ;* 


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1*1  J" 


fc*  g 


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t?: 


quoi?         pourquoi?_ 


^ 


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(d'une  voix   hachée  et  fiévreuse) 


S 


i? 


S 


£ 


4^=^ 


Eh  bien... 
revenez  peu  a  peiu  au 

MÎ   précèdent   J=  80 


^ 


■'    '      fff       p_i- 


je  vais  parler. 


/ 


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231 


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i — ; — r 


^Tf      ''IUUL4Trr>"vp"P^ 


Di. 


Sfe=fc 


Ce      que  jus  _  qu'a  _  lors  je  t'sLvais    ca  .  che,. 


je  vais  tu  le 


=$Hg 


i 


^  !?« 


Si 


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78 


.      î  17  g  — y 


?!,  'f    r    p  *  «    l  •         ^5 


Lu. 


F 


di  .    reL 


tme  #  — 


Plu?  anime  #z:94 


Mut  -    1er       a      perdu     tout  son 


=£$ 


f 


fa 


fris 


ap 


"^rpj-ïïïl 


Q_ 


m 


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t*>o- 


(b)T7 


S 


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S 


£f=frrrrE£=l£ 


* *    # 


;t=« 


r 


bien,  et  parce  que     moi,      pre'voyant, je  ne      veuxpas        ma_ri. 


m 


SU 


jujl 


XL 


-f 


$£■ 


s 


^ 


$ 


tr  tfsfs 


& 


Di. 


Éfrffl^ 


(cherchant  ses  mots) 


/) 


PlF^rPrgg 


m 


& 


m 


_er   la  faim    a_vee   la     soif 


11   m'in. 
très  anime'  pressez  peu  à  peu 


^Br 


m 


I 


ftrn  fe^     P\.ke~fi  «  A 


«c *»  — 


^ .Jlgg 


IpPffl 


S 


f'ijji  i  pÊpl 7  r~=  i»gi  ^q^1 


si 


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M 


423ï 


•■■■t» 


m 

A-,-/  vif  J=1|li 


|l  .    Die    iv  . 

«m    animant 


tff  '  f>  '  t>  TJ 


ir*:       j^ï: ir^: 


3^ 


#-? * 


éeeé 


1 — s — i 


p=p=p 


u; 


É 


.  pro  _ 

peu     à       peu   - 


•he 


Il      m'a  dit (d  er* 


^J 


^Û^  Q^TF 


JSTT 


£PTf  '  tr" 


Ssë 


1* 


a^î — î^1 — înf 


i 


* 


PIEMIE  f 


'3F=l 


i — ; — i 


"j.^rf 


^fcafaJ 


Quoi 


mot: 


ÉÉ 


qu'on    ne     pardonne        p;ts!.. 

Violent 


*T-—±Z 


•Jiï  '  U  '  U  '  ET 


$ 


* 


m 


# — # 


7~T-^ 


donc?. 


i — : 


S 


# tf  m  m 


■Egro^^ro^5B 


Di. 


S 


pOCO     CîtllUf 

3  it         rt»»». 


.Ne  m'interroges  pas davanta  _   gé. 


P 


m 


vTvf 

fP 


W^TTrï 


^^ 


^s 


Jtdfc 


M TU:j 


tC3H=«zi±=za 


('»>??  *      i: 


...  r^au^rfFy      TWVTT^. 


^\ 


±= 


ou   je    croi     _    rai 


que,pourun    mau  _  dit       in  _  te.rèt,. 


m 


^=FF 


fv 


991 


:T"*       T 


Éâ 


r      r  m 


^ 


g 


n 


# 


te 


fis-. 


1B-     gf  P    fc* 


*         g 


S 


H 


Pi, 


P=9 


V- 


¥=i 


vous      bri.scz 
un  peu  eu  élargissant 


uiun  âme  et  vous  ne  m'aimez 


•7  _  Sf  4 

J ,ten 


fe 


7' 


^ 


i^è 


S 


f g 


1 


b 


cédez 


f 


i* 


Pi. 


^^ 


pas! 


DIDIER 


a  Tempo 


=Ç 


1 


£ 


« 


-H- 


Monfils...  toi  : 

retenez  a  Tempo 


ii 


«rrtfr|ir'rJ'.l'J^i 


ir 


4»t 


É^=z^ 


rrT 


r 


Lent    l.«  *  •  comme1  II  o  précédente 


3ŒËÊS 


(  -uiiilii  .■ 

—h— 


ï 


3    5 


(les  purolea  l'otraugleul  dam  *;>  gorge) 


T       î     *? 


£3 


i^EE 


H 


L«Mit    J=66 


m'a  dtl... 


Il   m'adït... 


r-: 


fif>   somhrf 


r 


r 


|p  • 


r 


Vif  et  décide 


rail 


9E 


*    0 


(il  tombe  euoabli   sur  un  banc) 

nr~i     I   .2    I  ten 


f?\ 


rriWEn  r-tffgpf^f^g^ 


Non!      non  ! 
Vif  et  décidé    Je  108 


non!.. 


Jo   ne  peux  pas!... 
rail. 


i-t 


BSI 


ÎE2 


3fr 


long  silence 


13 


f*^ 


bL£f 


\: 


E3 


l'll'.l;ili:  («Haut  i.  lui) 


ÉÈ 


fa  nie. rc...  N'estce        pas? 


^ 


55=s= 


9 


"2 — - 


Lent  et  triste     J—  54 


I  Quoi... 

Plus    anime  oc  69 


i 


*     à      *        —■% 


S 


a±ft 


CTTS  t'g: 


£. 


tf^2 


/ 


«r 


g 


g 


r-      itf 


^ — 4 


^F^^ 


(  sombre  ) 


■m 


±=t 


EE=£E£EE5 


*   »         I    T 


* 


% 


S 


C> 


'>  ■  ii 


SéIÉï 


J'ai  pour  detropeom.  pren  _  dre 


*= 


Ê 


fi 


£ 


Saurais-tu 


i* 


J=. 


te 


!'T  r  br 


Assez  soutenu  #  —  80 


3È 

zen 
77 


SSL 


23S 


[yo|    en  raHentissant  peu  à  peu 


très  e.vpressi\ 


OM-M 


■     0     m  ± 


ï 


e^s 


^ 


!'i. 


^=t^ 


^ 


Car,  pe_tit  entant,  je  n'ai  pas   connu 


fe 


é 


le  bai.se r  qui  berce  et    coll. 
J-70       M 

& 


X 


fc 


^ 


*3 


pg 


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(fou-:  e£  frès  expressif 


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Pi. 


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cédez  un  peu 
à 


0  ïf      -m 


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la  crt_res.se  tendre  et  si        dou 


un    peu   rail. 


a  Tempo 


fezj^jfcB^^ 


#     y 


Pi, 


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qui   vienttoutdroitdu  pa.ra  _  dis 


i 


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m/"  un  peu  rail . 


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b^       3 


pas    entendu 


les    phra_ses,qu*unemèreapprendàson    fils! 

plus  anime' 


$Mrir-tH 


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Un  peu  plu  •>  xite 


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•  » 


Quand    je  vous deinandais,pour. quoi,  commulosau  .  Irus. 
lii  peu  plus  vite   *-80 


/  / v  s  e.rpren  s  i  / 


P 


jg .  ,  m 


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daussesbras,         lusoir, mattirauttoutprùsdcl  .   lu  u    -     nu  "maman 


^Mt^f4f^^4f^^ 


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ÉHÉI 


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pocOTjlj. 


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Pi. 


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nu    m  embrassa  il  |>;t> 

poco  rît. 


«fit'Z: 


Etmm 


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Vousmu  repon 
rail.  a  Tempo 


n 


ji. 


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J— M 


rail 


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Très  lent 

(triste  et  sombre) 
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!  ;i\cc  un   sauglot  Huns  l:i  voixj 
1 


^rn. 


^ 


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B 


pi 


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fl  m 


gacrj^^^ 


0 0 


Là-bas. 


tout  la-bas. 


Très  leut  J  =  4H 


i 


ta  maman  est  par.  ti  . 

rail.     0 


P&-Ti-£i* 


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e 


"i/     lourdement 


r  .téj-u 


* 


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237 


Pi, 


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m 


DIDIER     très  ému 


Mon  Dieu! 


3^ 


m  p-  g  r  tp^ 


*    *?   - 


Un  peu  moins 


I         Elle   e.tait  partie 
lent  J  =  " 


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en  et  _   fut..- 


"'MF  IMF 


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31 
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(brusquement) 


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nt. 


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p         «?  V         ^         P         l' 


Di. 


E 


>       * 


Mais...  Ne     m'en      par  _   les 

Anime  subitement  J-108 


plus 
tcn. 


rît. 


(Il  s'en  vu, tout  trébuchant  de  douleur) 


1 


.  mais  ! 


Lourd  et  pesant  J  =  9P> 


I 


S 


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B* 


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IMERRI  (U-  regardant  s'éloigner,) 

i\ ."> I       (avec  un  grand  aeutiineitt) 

fi'H. 


Il  tombe  sur  le»  marches  de  l'E#liae,oula  Glaueute 
te  trouvait  .m  comineucenl  de  l'acte. 


& 


X         d 


V 


Mu      p.iu 

allargando 


vre      m è  -  .   re! 

Lent  et  expressif  J  =  5H 


Lié 


U-i 


Lâ=s=i= 


a  Tempo 


S. 


S 


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rali. 


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TT 


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6l\if  et  gai  J=132 


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cresc. 


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enfants  _  pti-i     uu      Montreur     de      Marionnette 


SCENE    XIII 

«7^   LES  ENFANTS 


*40 


•plu-  fort  >     .  _ 


I.  V  GLANBI  SL  (k*s  écartaut  douceineutj 


!? 


rs 


(Désignant   le   Montreur  du  .Marionnettes  uni 


É 


H*    <        ^rr=e=^ 


F 


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Laissez-moi...  laissez  -  moi ... 
Moins  vite 


a  Tempo 


u\    .     lez, 

Mouvi  précédent 


P 


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9^?^  •?  * 


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m 


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vient  d'entrer   suivi  de   quelques   femmes  et  jeunes  gens) 


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V     V     V     V—V — V 


lez!  Te    Montreur    de    Ma.rion    _     net. 


.  tes 


ins 


r  n  t  f  ^g# 


m 


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S 


V.C 


241 


la  G. 


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.    le  ^«>li  th-    _  à     .    tre  ... 

0 — 1—0 r—m À — m — m — m 0- 


m 


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* — » — » — r~Tf 


* — 0 


LE    MONTREE»   UE  MARIONNETTES 


0~W 


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■     ■ 


i 


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S 


Unson.  un  sou  la      pla  .   ce...       «levais  jou_ 


j* 


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g-M^nn^ 


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Mr.  m. 


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er     Ge.  ne_viè>ve  de  Bra  .  bant 


le    Pe.tit  Pou. 


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et  la  BelleauBoisdor.  niant 


i 


LES  ENFANTS  (répétant  plus   fort  et   courant   vers  lui] 


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Et  LaBelleauBoisd:;r. 


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243 


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m     ,       :: 


.niant 

Très  anime  J  =  140 


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La  Glaneuse,  ^'avançant  un  peu,  aperçoit  Pierre 
q7~  i  i  le  regarde  avec  une  émotion  intense. 


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Lourdement 


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LA  r.l.A.NtlSi;  (douloureuseumitj 


uz 


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un  peu  rail. 


M  on  pauvre  enfant,    il-    pieu 
Leut    é  —  è 


_    re. 


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Tout    à        l'heurt',  je  lai  quitte ra.di. 


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expressif 


^S 


>'(/' 


la  G. 


.eux,      delamourpleinle  cœur,     du  soleil  plein  les     yeux! 
-en  retenant   un  peu 

4 


laG. 


I? 


ES 


/' 


fc-    *     T^~j 


pieu 


.  rei. 


rit 


Mon  fils 

Leot  et  trè»  expressif     Jr50 


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'■''■fe^.-t^f^5^ 


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r    t>  ' "■ 


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)ien  aiuié ton  cœur         est  donc       meur-tri! 


S 


0 —       à         - — # 


-'     W    *     m      fi 


.  jiJ?iJgl 


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7- 


V* 


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m 


m     m 


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3Lp~  ]  _Ji5l 


C.ittr  enfant,         ta        joi 

Pr«,s'-«'/    peu   a   peu 


ihi   lu        dans  ses Yeux 


h 


<:;>*»- 


rall. 


^~i  i — m 


i .,  r 


to^yj^Tr7^ 


3f^= 


•      3 


ÉHHHi  ^  »_JiW'-  J 


•p* 


et  j  y  i  lu  dans  lest  iens... Tous  deux 


vous  vous  aimez 
rail. 


•t  cependant  il 


fefM^ 


«4    ...^ 


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a    Tempo 


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pieu  .    pu — 

accelerando 


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■«-■f  >TT~"  jj 


Il       »l.ei 


I     .      Vf 


f 


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Ah!    Je  liai  pas  ie 
Lourd  et  pesant  J=54 

ù 


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5: 


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f     ■      g       b==: 


«  G.  «S 


ig— (L-^-=l 


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droit 


di'  con_so_  1er  mon       fils... 


»le         in'      Mil' 


rail.        r^ia  Tempo 


la  G 


^T^f 


la  G 


t><^  •?      ^t^ 


=ft+— J^ 


qui  voudrait  glaner 

Cédez   un   peu 


'lu    bon    .     hriir 


Calme  et  tranquille  J  =  80 


:»4tf 


i ,(. 


m 


li  G 


pleura. 


LES  ENFANTS  (au  rond  de  la  scène  réclamant  au  Montreur  de  Mario ttes)     '''|||S  '"r,  * 


i^p'Pr'  '-^-E£g|£p^^ 


s* 


6ene\  lèvedcBrabanl . 

!'()<()  animato 


Geuevièvedénrabanth 


mîM$-^±33MJJJki 


t^ffl 


J^TJi 


tf* 


^       SCENE  XIV 

*).r»|  Le*  Commère*  qui  aure»  avoir  entoure  le  <i  u  i^m  I  l.A  M1£RL 

fgardeul  la  Glaneuse  ine'cfaauientdepNi»  quelque*      FRANÇOIS   (^'adressant  uns  autres    commères) 


É 


!    .j     instants 


M-  f      P   P 


P 


J=J 


Très   afjité 


1^  _  <>ar_  (lez 
o 


cet  _  te 


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5_i      ■?      r^ 


S 


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me 


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1      P       P 


•      * 


Mais, 


c'est    la     jet  . 


*=*F 


f^ 


Hï 


^^^ 


^^ 


S 


«/ 


-*■ «- 


247 


i 


r    e  et  ^g 

teu  _    se  desorts. — 


LOUSL 


LES  AUTRES  COMMERES 


# 


'répétant  sourdement) 


Cei  .    le  qui  sème  le  mal. 


a 


ES 


3£S 


# — # 


La  jet.tt'u   _    se  (II1     sorts 


,=. 


izzazzazzai 


i:j: 


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_  te.. 


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La   nié  _  chan  _  te 
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La  m  au 


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Jl    J_J         *—    JVJI^ 


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La   un-,  chan  _  t( 


La  m  au     di  _ 

très  af;ité 


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^~  .  _    '  .  _  .  te. 

Des  Paysans  du   IV    \cte  qui  la  reconnaissent  TARLET 


-7,J'r  "p" 

Cestel    .     le!. 


(Iiaineuseinent  )  f 


^^ 


vous  a.vez  rai. 


•i',* 


fer— P- 


.  son... 


I  I  i  I  LRt      I  -  .is.iin  .nit    menaçant    \«rs  la  (.laum-») 

: «-,*£- 


v-H-r  iï^tm^ua^ 


Ali!  tu  nus     nous  pav.   er   Icmal     que  tu  nous  as 


L-TUiri-'-b 


-O-UU. 


OaJ-JIlJ1 


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0,13  tS 


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.l'Uni       .         si1  de         sol'ts!. 


^n  lis 


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UXJJ  LXJ  LI^B 


3    —         ^       3 


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l^-jriJ]._OXUi^f-i-j---i-i-î-â 


[97]    LOUISE    el    BERTHE 
i  -  avec    les    SUFH  • 


./' 


1    m  ■  fJ  *^x- 

■J—  'J  I v 


LES  COMMERES,    LA   MERE    FRANÇOIS 

»     CiiMh. 


CoqU 


1  _  _  ne 


I 


É 


1         V 


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LECLERC  et  TARLET 

avec    les 

rKNnus   y 


Co  .  qui  . 


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#— # 


LES  PAYSANS 

BASSfcS 


Cuqui 


.  ne! 


coqui  . 


.   ne! 


Vipè  .    re,  sorciè  . 


m 


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g  p  r  m 


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Co_qui  _ 


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vipo  _        .   p«        sorcio.  re, 


à  mûri; 


à  mort, 


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à  mort, 


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re,       sorcie  _ 


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_  re. 


à  mort!         Ah! 


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à  mort,      à  mort,      à  mort,       à 


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H^3? 


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Tu  . 


ez   -      moi 


^  "-^ï^^mt  .-iLw=^ 


^^ 


V 


III 


or1        A  iiicii .       ,'i  mort,       ;i  mort ,       à     morl  ! 


fe=$==3^=l.£  II  ~7~fe=j=fr_  |-p-^ 


mort         \  1 1  ;  »  *  !•  t .        h  mort,        àmoH  à      morl! 


^— p     144i_U4l__j t-KP— i l-fl-P- 


^E^ 


mort         A  mort         à  mort-,        à  mort,        ;•      mort! 


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deau     trop lourdpour mes  é  .  pau  .        _  les, et   je    mour.rai         envous     bé_nis. 


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Vif  très  anime 

la  O  comme  la  J  =  précédente 


râJçTi Un  peu  moins  vite 


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PIERRE  (s'élancaut) 
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Le  premier     qui 


COMMERES  ET  PAYSANS 


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à  mort!  a    mort!  à  mort! 


Vif  très  animé 

la  o  comme  la  J  —  précédente 


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mort! 

Un  peu  moins  vite 

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(  (li 'Atillaol  presque  évanouie... 
elle  iippuie  mr  lut  bru  de  Pierre 


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Merci... 
Lent    J  =  oO 


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LES  COMMERES 


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Subitement   animé 

Pierre  eutraine  la  Glaneuse  \ers  le  Tond, 
la  protégeant  contre  les  menaces  de  la    * 
feule       "  » 


laces  ae  ia    *    k   \ » 


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Murmures  rfiea   Comme  rea  M  des  PtiTeuuflJ 


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A  mort! 


LES  PAYSANS 
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Ali! 


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Subitement    Hiiimé    d-80 


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là      -       haut  ..         dans        la     mon. 
Large  la  é=  comme  la  a  précédente 


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Plus  vite   J=  100 


Fin  du  2e   Acte 


255 


ACTE  III 


En  pleine   Montagne 

A   droite,  lu  maison  rustique  de  Didier,  toute  construite  en  sapins  ...  Adossé  à  la   maison,    un   petit 
kangard  praticable 

Au  fond,.,   vers  te  milieu,  un  bois  de  sapins,  oit  se  perd  un  sentier  rocailleux^  qui  traverse  la  se  me  de 
droite   a  i/auche,  en   remontant   vers  le  fond,  où,  sous  ■  le  ciel    bleu,  se  détache    nettement     une 
vieille   chapelle. 

Lentement   #=56    avec  un  sentiment  de  grande  sérénités 


PIANO 


LE  RIDEAU  se  lève  lentement 


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toujours    on  ;uiyincnlaut    de  tore»'  et   d'animation 


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poco      ii      poco       accei, 


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257 
SCENE    1    _  KERGERS,    JEUNES  GENS,    JEUNES  FILLES,     LA  PROCESSION,    puis    LA  GLANEUSE 


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!"  GROUPE 

TKNORS 


ho       hé    ho        h 

un    peu   en    deht  r.t 


APPEL  DES    PATRES 
(rla us  la   coulisse) 

SOP. 


ho        hé    ho        h 


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(Les   cloches,  auuonçaot    le  pèlerinage  des    roses, 


cnrilloiiiient    de   tous    côtés) 


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Les    chants   d<-   la 


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procession    s  approchent  de  plus    en    plus. 


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Si       .        cul  In     .       m  .  _  lu»         e$1 


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[j^l  La  Glaneuse  sort  du  hangard...  elle  écoute  puis  ae  dissimule 

regardant   la   procession  qui  traverse    la    scène. 


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Très  agité 


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Très  fcouteuu  J  =  100 


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rat  m       priu  .    ci  .  pi.o  et 


Si    _    eut    e.rat  m       p  ri  il  .    ci  _  pi_o 

Moins  vite  j=82 
Grand  el  sonore 


te 


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1*1  II    .     Cl   .  pi. 

Pressez   peu  à  peu 


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et        in     sœ.eula 


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et        in     sœ.cula 


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C'est  le  pé. le.  ri  .    oa  .  ge  des  jeunes    fil.      .  les  du  vil. 


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Qui'vont   comme  ia  _  dis,       à     la  cha 


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A  _  vant qucDidiernepa. 

Sombre  et  moins  vite 


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il  fautqueje  m'en  ail  _  le 


[  J6]    Un  peu  lent 

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Un  peu  lent  #z<56 


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toit       qui  m'est  défendu 


Mon     fils,    moncheren.fant neina  pasrecon. 


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(avec  une   émotion  grandissante) 


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tandisquemoi tressai  1  -  lant  à       sa  vue 

Plu*   animé 


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J  ai  compris  qu  il  é.taitmon  san^.  ma  chair, mon   bien! 


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Jcsuisficrede  lui! 
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Par  son     à 


oie  ge-ne  .  reu     .      se,  hi 

poro  rit. 


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Calme    et   mystérieux 

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Calme    et    mystérieux    J=7"2 

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\re ^\i\  _  neu 


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en  ce     tris  .  .te  mo.  meut 


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(avec  un  grand  charme) 


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.dis,      de  savoixtrès   dou  _   ce  de  petit  en.  faut, 


il   es.sayait 


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Ma    _     man! Ma 


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«T-*- 


P=^=P 


.man! 
rail. 


Et      presque  malgré      moi,. 
Tempo 


imm 


f~"FT 


rir-î 


=1= 


s^^ 


f 


^ 


-_ç  — 


..6.|ft  r   n^iJj^J'ii 


m      0 


dans      cette  de.meu.  re  il  ma  con  -  dui  _ 

1res  accelcrando 


te... 


I 


£=°& 


ta 


m 


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s 


'ail. 


3 


^ 


a»= 


ç 


i 


«/ 


*// /« . 


« 


i 


Pch^ 


*  i:     i. 


I»6. 


Il  était  donc  dit  qu'a  .  vant        que  je  ne    meu      _     re, 

a   Tempo 


I..  I. 


1*0, 


Elle        va        pour        retourner        dans  I. 


P 


•  •<•  fe^C     - 


1      *     «V— ^p 


Mais  un  vient.. 
Même  moav:    mais  plus  ;i  -  i t  <■ 


Ê 


^ 


poco  animato 


-HJt-ig+L-> 


sac 


ç 


-* 


£#c 


■'/ 


"4 


■71  • 


** 


i^PT" 


*fW^ 


Ljj  «     L.JJ 


haugard...     Mais       elle      apercoil       Pierre     el    reste    devant    la     porte 


P 


* 


la  G 


C'est 


accelci-ando 


§ 


J 


P^ppl 


f^-J*     7    f  7 


"7 


m 


>      *  •  u  ^* 


W, 


w  « 


-« — #- 


£ 


5 


^ 


275 


la  G 


il !_JL_ 


lui 


Assez  animé    J  =  9G 


l^'l  \W\M 


f 


il: 


rr~Ef^ 


*f: 


»?  s   é 


^^ 


■e- 


f 


# ^ 


l»G. 


^=^ 


Si vu  lui  (fi  .    s;ns..,_ 


*  b*k!ê 


Très  a^ité 


,f  f  f   g  fJgJJJ. 


7        * 


>       7       *~ 


i 


/_ 


laG 


E=iF 


I 


F 


iNon!  Non! 

'r»  ♦  en  retenant 


Car     il       faudrait  a. votLer    u-ne 
Moiasvite 


la  G. 


5 


1        *^r~1ff~\ 


très  expressif  Yà\\ 


^m 


E 


fau  -         -  to!..        Ce  bu  .  rait  trop        cru    _    ei. 

Lent  et  triste    J=58 


é^^é 


m 


^— - 


ï 


*7ti 


<vr\f/  un  p«-ti 


l..  G 


* 


'Ç-4-Z-* 


Kt  mieux vaul     partir 

mm'iï/  un  (lin 


P-  P   p   ■>  ' 


Sg|É^ÉÈj| 


a. près   l  a.voir   u_  ne  deriue.re 

a    Tempo 


y^-Ud- 


m=p 


p       o 


m 


.5 4_BL 


mm 


_^~: 


f 


-t- 


ilim.    |* 


*M 


y  |êTT^       J     J'  J'iip^ÉI 


-Ê-r 


fois        B<?r     .      ré  con  .  tre  mon 

un    poco   rail. 


cœur. 

a    Tempo 


flfcâ 


» 


œz 


Ȕ 


«$&£ 


i 


^^ 


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F 


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J-  1"  .  >   i 

ff- 

îff f[rf 1 

*r 

3  — 

4 

3 

i 

$ 

X- 

3— L—1-.J 

_— x        3 

i     i 

*r 

v    -J-4 n ' 

77 

! 

-4- 

SCÈNE   II  __LA  GLANEUSE,     PIERRE 

(Lu  Glaneus*'    va  pour  lra\erser  la  scène,  mais    Pierre   l'arrête) 

nj2]  Même  mouv*     mais  subitement  agité  aecelerando 


"277 


££=£ 


I 


*•    il 


<: 


tf+Hrl 


Mfe  ^ 


!^F4:-^-£ 


œ 


§ 


^y  lourd  et  pesant 


tôt 


I 


i  **. 


> 


# B* 


fc^: 


^^ 


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i 


** 


tr^ 


>/ 


PIERRE 


1 3—1 


^^ 


1 s 


F^g 


silence 


# ^ 


j  s  j  i. 


P 


? 


*     * 


k 


Quoi?  Vous    par.tez  dé    .    jà,         ma  pauvre  fem    ..     me! 

Assez  soutenu  J-80 


silence 


^=^ 


LA  GLANEUSE 

1 3 — I 


(simplement) 


^^3 


•— # 


Il  le  faut. ,. 


i 


Mais, 


Pi. 


3=£=^ 


£ 


Pourquoi? 


Plus  anime    ^=102 


P 


SE 


fi=5= 


S 


^ 


j» — ^ 


«fe* 


^^^E3 


* 


191 


"/ 


È 


^3 


•^— ■- 


♦-1- 


h     h      h 


1 


la  G. 


# 


d  ^ 


pour   ga.gner         ma  vie 


£ 


pi. 


^^^-^4 


Res.tez, 


tfc 


f^ 


6>ff        1 


lï 


Piuf 


278 


l»i 


ï 


rail. 


■»-fr-£— ËW^=-  *       ^SU' J=&m 


Restez      encor  iiu    peu, . . 
rail. 


Sans        doute  a-Ycz-voiis 

Plus  lent  J  =  7t; 


LA  GLANEUSE 


P*É: 


^ 


p     f     r.     1    F      - 


S 


^ 


t*=P 


^ 


Je    truu.vo.  rai,  ili'S     fruits  le   l<»nu     demonche. 


=è 


i" 


1      X 


n^r^ 


faim? 


SITI'I'/     MI)     JM'll 


Cédez  un  p#*ti 


Ppp 


Ff 


f  • 


g^&_lH;^ 


[13 


t 


.  mm.... 


^ 


E 


Calme  et  soutenu    J  =02 
£# ,s^~~»~^ .•"•    p~"_ - 


i 


Vos 


#=^ 


f 


y=g 


279 


p"i 


P^P 


chees 


par 


fm 


tr 


gi 


0j£jJJ  tjjâ 


& 


fié 


\rc 


uJ^  tj^W^ 


m 


L*-JL\   CLA.NEUSif! 

1 


!..  (. 


Î80 


i.i  <■ 


ÎH\ 


LA  GLANEUSE 


îVai-je       pas         mon  b  a-ton 


laG.g 


Plus  vite 


m — g 


P$^E$ 


E 


pour      ap.puy.ermes      pas 


f 


/ 


Pi. 


0  # 


W=^ 


^ 


& 


PV^l 


s 


Non,  restez 

Plus  vite  J=102 

h 


*?  x     m  «a 


é 


3Î 


n 


m 


B   i     ^=h  i    »         î^— y 


F 


S 


ng 


^ 


p-P 


Mais... 


(il  entre  dans   la  maison,) 


^^ 


»le  leveux... 


5    g    f       7 


W=L? 


I  -  ci  at-tendez  -  moi . 


W 


(/î'ot  . 


gp 


# 


te: 


^ 


-2  S:» 


l  \  t.i.  VM.l  si;  (t.,  s  vibrautr) 


f 


rrjT~nTf^mm 


s      * 


Ali!     si.lcn .  ce  mon     à    .     me!., 


TE 


&z=. 


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■as; 


/*       > 


P^ 


i — ; — i 


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N1  t    r 


p 


i 


-p-i P- * 0 * ^—&- 

Ne      tue  tra.hia.sez     pas!, 


si  Jeu  .   ce  mon   çtuur 


y 


$ 


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§^ 


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* 


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*b  ,     '*# 


F=!t=f: 


r^ 


p   r, 


T^P 


<>8* 


Pierre  revient  avec  une  tranche  ilt 
uaiù"  Lis  el   une  éeuelle  de  lait. 


PIElîRE  (désignant  un  I>hiic)         (lui  tendant  une  ecueile  de  lait  I 

Et 


N^ 


^^ 


S # 


vif  J  = 


As.SL'Y.ez-vuus  là. 


Assez  vif  J  =  124 


;  m  s 


^s 


h^'JI  rfi 

* ' ■• — da — _* — ' m — 


S*=5*===T= 


4~4 ^ 


j>  léger 


S):   (««j        Elfe 


iNW 


1 — ê- 


^^ 


i 


Elit*  porte  l'ecuelle  lentement   à  si^  lèvres, regardant  Piern 
;i>ec  un  sentiment  de  tendresse  infinie. 


.nez 


i'îiII.  et    très  retenu 


pmm 


m  JiJ  j 


wm=ï- 


*=i 


m 


p  subito 


F=? 


3Q|  LA   GLAISEUSE 


M^E~M-A— ^f=£ 


K-1 


UJ-^j-j- 


Pour  me  predi  _  guer        des  soins;  si  tou 
Moins  vite  J  =  84 


1 


1 


*>:  H  -J 


l 


W 


~6- 


soutenu 


3= 


*= 


1? — 5T 


^ 


F 


-"f-         TT 


un  peu  filtis  anime 


IhG. 


i*'t 


la  G. 


6  ^ 


[ni 


^ 


'Il  Kltl 


^~y 


".'/' 


Q< 


P^ 


Si    je     l'ai 


_  me! 


IMu*  >  ite  «'l  accelerando 


s*»  irez 


^m^A^huit'L-Q 


§ 


;-# 


j^L 


•'     rhalftiri-ust i/teiit 


wnwf 


<r 


tr 


l..i. 


* 


(anxieusement  ) 

i — ri 


syyu  Ja 


El       leurs!  plus?. 


l»i. 


ê 


# — é* 


£^5 


~ 


r?^# 


# ^ — «^ 


F 


* — 0- 


Et  pourtant,  je  d«  lacunuaispas 

Moins  vite  et  calme    J=SO 


=?=£ 


/>/> 


W: 


S 


5*^ 


n 


(contenant  difficilement  son  emolion) 


*2H5 


fil    rail 


m     m     m — m 


*         T 


P^? 


Animé  et  plus  vite  J  =108 


»)<•    ne  m'en  suu  viens 

en    rail. 


»-i- 


w===.m. 


mm 


£ 


*/ 


% 


K"&rf--&J 


^3. 


/>  subito 


te 


(doucement    comme   en    rêve) 


B3     ^         *  i 


Pi. 


^T fr 


plus... 
Très  retenu 


Cepen_dant,par  instants 
Lent  et  très  expressif  J=58 


Jp 


ï 


t 


J 1 


^ 


S 


Tà-f^i-$=i=$ 


F^F^f 


Efe 


"N: 


/rès  intime 


i        J 


i 


É 


tv      ' 


1 


w 


4 6 


P 


fe 


i — : — i 


É^gÉ 


Ui EL 


fc£ 


Pi. 


A P-W-0 


£=? 


crois      dans  le  jardin, tout    près  de  la  maison  , 


voir  u  _  ne   for. me 


M     J        J  J    _ 


^ 


r^ 


§s 


£=# 


Ped. 


1 


|)oeo  rit 


J    ,    J   . 

i 


i-^-4-^4 


i 


/>/* 


71 


*vti 


[13 


F*±=tt= 


comme  un  lon£        \-> 


0       g 


-!0     . 


qui    soudait!        dis.  pi  . 


Plus  nullité 


trt's   retenu 


rail  ... 

acreleraudo 


.  lors  jepreiujsles      floursi't  j'enfaisuuKou. 

Plut*  anime  J=80  menez 


Pi 


Il    me 


S3 


Pressez  nu  peu 


i 


rit. 


*EÏ 


#rT<'    -  ^ 


y 


s 


*^^f 


r^f 


f 


t*t 


i  i 


tÉL 


l£ 


[& 


A.C    1 


-2H7 


sein  .   bloque  je   res  .    pi  re,        comme       l  ame  de  celle  envo-lé  -  e 

a   Tempo  serrez    un  peu 


dot  ce 


7     ça 


i 


pn    .  _    e. 

poco   a  poco  acceleraudo 


tffefej±Tl 


i^3 


5* 


rj~rn 


i — ij 


a  Tempo 


J^t=3fc 


iss 


P 


ni  iti-.i 


m 


Non. 


et  pour,  tant, 


£      F 


si 


je  crois    me  rappe  .  1er..  Sur  le 

Un  fn'ii  plus  iiiiinic 


^g 


n 


:ij 


n 


fee 


H         l;J 


^^É 


B2 


te 


i — r~i 


#     #    a 


I        -,      ' 


5iiJ    Un  peu  lent 


gg 


|»i 


^^^ 


g     g 


i 


banc  prèsde  la  mai  _  son  oui 


c  estbience 
rail. 


le 


In  peu  lent  J-HO 


Ma 


y^— TT 


11 


*— s — ^ 


g^t^^ 


/>  et  irrs  envel/n/jant 


wm. 


à*& 


$m 


m 


^ 


^ 


vt—t» 


aver  1rs  i  Ped 


m 


f 


î^ 


#=»: 


MU'^r     J*J' 


T* — r: 


Pi 


soir 


l.i   nuit  1 1 1  m  _    ban 


-  ter 


ip 


tJjJ-UJJ- 


el_  le  me  berçait   dans  ses 


OPeXu] 


1  rPI  rpITfa 

# — 57 — ■ — 1 — 0 — 0 -?- 


s 


^Jtâ 


Il  s'est  rapproche  instinctivement  de  la  Glaneuse  et 

peu  a  peu  il  glisse  à  ses  genoux. 
très  doux 


% 


3E 


lAdr-Ê 


W  T   ^r    ^p  p  ^ 


bras... 

Presse/   un   peu 


oui 


m 


? 


SE 


É* 


EluES-j 


Mais      je      ne  m  endormais 
a  Tempo   en  serrant  un  peu 


iûnJt;py  F  p-f  f 


T~T 


y*  rPI  nTl 


P^ 


iM 


» 


# 


* 


289 


1res  rai 


Pi 


$ 


-o- 


pas 


-* r«- 


tant        la       dou 


I 


t+±ï^f 


PEÉ3 


m 


ceurde  ses  ca.resses  nu- char 
très  rail. 

0 ^""^     *^L»T*" 


£f*&r=f$=\ 


^mm 


m 


m 


k=* 


^ 


*$p 


* 


I 


w\ 


SE 


Pi 


( 


mait. 


I 


t=£ 


#  a»  f.  -»- 


Tant  j'é  _    tais 

a   Tempo 


bien 


ma 


wm 


Eë 


« 


^ 


V 


*-* 


PP 


i 


%gE^ 


-©- 


-©- 


rr^ 


i>/> 


F 


^^ 


tète    ap.puyée 


* 


sur  son        sein 


• 


#^f 


* 


P2 


ffi: 


I    (é~ 


S 


1 


/I/* 


\}\,      o- 


-o^ 


-o 


LA   GLANEUSE  (eu  un  cri  d'amour   maternel,     longtemps  contenu)  (Elle  s'est  levée  tenant  Pierre  enlacé) 


ggB 


g 


db£ 


:gz:^T 


3±^ 


Monfils!..  Monfiis!..  Mon 

Auiuié  et  chaleureux   J  =116  Poco  açcelerando 


ii  _ 


ipq^ 


1,1, 


p 


« 


m 


%* 


f      \ 


#? 


/    > 


u 


mm 


tJ—rn 


m 


\j^ 


n 


Vif  et  agité 

I.A  GLANEUSE 


à 


0      0 


=^ 


£ 


E^ï? 


Ah! re.gar.de 

Fiévreux  et  agite   J=152 


fcjJ  J  j  g 


S 


i 


p^; 


•  ^r^"- 


^rï^rr^-T^rà 


gEXîri 


ë^ 


4,         ^ 


■— z£ 


^ij^ 


^-g^rr 


■    J  i 


*3^ 


^S: 


4.( 


291 


$ 


f>       o 


f 


la  G 


M 


-g1' 


par 


mal  _  heur 

PIERRE  (;i\ee  une  graude  émotion  i 


?" 


M; 


« 


#F 


Pi. 


_  re! 


M 


a       me  _ 


re! 


$ 


a 


ga  i 1 « ii       4= 


#* — #— ? — s — = — 0 


#^-^f-jj=jj 


/ 


à=é 


? 


o 


3     » 


O 


p 


LA  GLANEUSE  (fiévreusement) 


P— F— T 


m 


iiti1)** 


Vois       ce 


F 


îs    yeux       u      _      ses     parles  lar  »  mes, 


£ 


£=£=?= 


3=f 


'^wr^r 


t$i 


I  I-  ma  htm       te!  lis     mon  remords! 


ni  i;ki 


m 


V 


Ma  ni 


pu, 


I 


-à—ï—ï 


4 


-L=tL=I 


'-$-i-$-i-$=^:f- 


■FrFTFrFf 


TT 


I?' 


J       J 


ïq 


i..  ». 


Et 


sans  sa. 


9 


5=V 


M 


i  Mit-  _  _  rv 


$ 


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\~i+     f^ 


rfl/i  ftioco  9jf 


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*^r 


S 


Jiâ    *    d   *;    A   -j-    û, 


^ 


».'/' 


yVj  ^     •  i 


ffigftfeg 


-«— #■ 


la  G. 


A.C. 


293 


Plus  H  ai  nié  encore 


I 


iff  F  - 


è& 


fr-fcr- 


ft=3t 


S 


rien...    

Plus  animé   eneore 


Mon      pauvre        en  _  faut... 


0^0711'^^ 


V^-r-C- 


£=£ 


►o- 


w 


^F 


A 


m 


-~       a   Tempo 


BEEfe 


i 


laG.  ?K* 


S 


Par  _  don  _ 

a  Tempo 


ne! 


Par 


$ 


\>     g=g 


an 


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QE=:^s; 


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.    ne,   à    la  re.pen  .tan   .    te,     qui    frap  -    pe   sa  poi 


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la  G 


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_trine  et      tim.plore        à 


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ge_  noux!.. 

PIERRE    (chaleureusement) 


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rail 


Ma  mè    _     re 

a  Tempo 


Ma  nié     _       re! 


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294 


poco  rit.  ^     *      ~Z* 


P.    /*»!>= 


*fc*=^ 


(li   l'attire   «l;ii)s  s,->  Iniis  et    l.i  tient   longuement    .  on  (  i  •    ->ii  poitrine) 


a 


H,- .  if .  \ 


c/ 


vous 


Moitié   moins  vite    J  =•  d    Grandet  puissant 


i. 


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§ 


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SCENE    III         LA  GLAXEUSB,  PIERRE,  DIDIER 


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nihiriî     paraissant 


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Pier      _      re 

Assez  vif    J  =96 

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f 


(avec  rudesse) 


PIERRE    très  vibrant 

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295 


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(avec  ^  chaleur) 


rt 


^Ë 


Pi 


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bras...        Elle  a  souf-fert,        elle  a   pleu.ru,. 


elle  est     ma 
allarir . 


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I 


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nie  _ 


.re! 


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Leut     J=7i> 


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jioc(/  arcel 


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i 


IQ.     * 

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Animé    et    plus  vite 


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Didier,  d'un  geste   énergique,  éloigne  son  fils 


M^l-M 


i 


kdi. 


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»?        * 


Pierre.  uMint  de  s 'e'Ioitrner.  regarde  la  Glaneuse  avec  une  infinie  tendresse, 
Largement     #=54 


^ 


m 


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1i- 


2Z 


IX 


■29ti 


Didiei  rtnrdt  durement  ••<  GUneuM  qui  re»t«  *  quelque»  pu*  de  lui  craintivement* 


L£jg*ua 


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0   • 


+    #?■  = 


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TT 


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SCENE     IV DIDIER,    LA  GLANEUSE 

ï 


1*1  i > 1 1 : 1  :  (sourdement) 


bien,  fjueaionfo.ver    vous  est      défen  _du; 


et  vous  m'a.viez     ju 


LA  GLANEUSE 


Di. 


-  .  *.    Cédez      ES^  LA  UUrt"^'  ,       r 

^— t-tY^TH  I  f    ^  1 1  ■ —  ■■    *  h  N  ^ 


ré       de  ne  plus   re_  venir! 

Cédez      Lent    -'  =  56 


Oh!  pourquoim'aviezvous 


m 


^ 


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5^ 


297 


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d'i  quemonfils    é.tait     mort! 


Plus  vite  J  =92 


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ï=&a 


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rr    rr 


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y      g 


;z=e 


±i 


temps    n'asdoncpas  e  .teint  \o_trehai_ne?        Vous  ê_tes  donc     ton  _  jours,  sans  pi. 


i 


i 


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b*     ît     *   i 


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/>r.v  expressif 
rit 


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V  i*  1 


S5È 


PS 


la  G. 


*        g 


_tié? 


J'ai  tant  souf.fert... 


poco    accel 


J'ai   tant    pieu, 
rit. 


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i^   «p.    «,.    «ï: 


b* 


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b^: 


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a  Tempo 


(s'approchant  de  Didier,suppliante) 


i 


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la  G. 


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Plus  anime   J=  108 

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141 


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Le  pardon  n'est  -  il 


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(hulicr   reste  impatttiblo) 


5 


la  puissan  _  eu       dos  forts? 


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très   rt'teuu 


g^ 


s 


i 


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Ja.mais  votre  cœur  nom- mm 


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I — ^ — i 


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Tempo 


Ja.mais  votre  cœur  pour  moi  n'avaisbatlu  ... 


Rapp 


0-1»'/ 


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§ 


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la  G, 


M       «i1 


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je  nV  _  tais  que  servant»' au  lo    _    gis Vous  ne  mêlais. 


Effi 


PS 


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_siez     que  le    lot 


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Àss-fZ  anime 
[48]       ire  s  expressif 


299 


m 


Wm$ 


p^p 


[)oco   accel 


^S 


_  mais 


Assez  anime  #~98 


un  mot  d'à  -mour 


ia   _    mais 


un  long  bai. 


eu    aoiinant    de   plus  eu  plus 


iaG 


tAt-iir 


(sâurdement  ) 


mm 


-g— -^-Jlng=g=y 


.  Su     .     le 


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Plus  anime 


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un jour, 


je      f 


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S  9 


te 


après  avoir    lut  _  té, 

«?£   te 


#ti 


long  . 


S 


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isiîp 


w 


très    rail 


I- f  ii t  l'iin-n! 


Plus  soutenu 

(avec  ui'b  (irmidii  loi) 


m 


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Letitenient  #^60 


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Lt     là-haut  lui  qui  nous  ju 


■  v- 


l'hih  soutenu 

J=80 


;os! 


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S 


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la  G. 


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Pr  p-Jif  '  p-pi  r    *  p'trrf 


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Dion  nioiimaîtiv  di  _ vin.        nionsau  _veur 


mon  w 


fu 


g 


J^ 


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en  retenant 
f- 


«f\       «S1       *f 


poco  allarg.^.- 


rit 


lu  G 


PO  t     .  ^ —  |    ,  - 


P         ■  5     m   i    r? 


:£ 


39 


riit —    fais     iail   _  lir        le      par. don!    DlDiER(rudement) 


ft-jVH'r 


:*-Hr-M*-4M 


XE 


•<&• 

:? 


Non,      non 
Rude  et  décidé 
J  =  108 


Je  ne  veux 


if 


zMi 


*f 


!;rit. 


^'^ 


ÈÉ==3 


iofc 


/'  */     */ 


II 


Ikf.ljpj"  *      ftf-fl' 


b:^i?I 


la  G. 


Di, 


fefe; 


(plus  supliaule  encore) 


b:r. 


SE 


br 


P-C-     »    f-^^-jyJ^g 


Didier. 


Didier,       et  nojj-n 


3H 


jt * 


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3E 


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S 


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302 


M 


,.,<■ 


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Ifp? 


»i   -    et 


lu  n'as  |>;is 


•:■  5 


PÊ 


EJC 


ci 


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( 


/  -=  /r 


17— 

!  t  m . 


§ 


35: 


Pi;         g 


7"><  » 


eu* 


h^Ç. 


la  G 


$J»J-~PT-      fLÛ ^-    *    l^^^f^ 


\u  couler         ses    lar  - 


II)»'* 


lursquetu  brisas   son  bon. 


Plu*  vite     ^=  1 


J=  |-2(i 


w~ 


W^a 


cresc.         animato 


ê 


« 


?, 


m 


la  G. 


*rf 


=F±=» 


F 


.  k'iir..__ 


Yeux-tu  tou  .jours      meurtrir         son 


m 


ifb 


*  1  < 


M 


^ 


m 


m    J    1: 


a  a  * 


ë 


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S 


flj  *      "       *  ZÉ 


F* 


4^0 


M 


cresc.     animato 


* 
? 


31 


1=^ 


*  < 


la  G. 


en  retenant  un  peu 


./• 


Je      te 
1res  animé   J~  iôH 


L     3    1 


^=F 


£ 


la€. 


_pli_    .  e    et  je  fini  _   plu 


-     re  ! 


Û 


£L  • 


£ 


\v<         \>< 


W 


( 


f 


m- 


t      f  ï  f. 


poco   accel . 

ITél.    s — s. 
*•    r — a 


i 


^X^T^ 


£3^ 


-^     ^    j^ 


*/: 


ST 


Pèd 


Ped. 


Didier  détourne  son  regard  de  la  Glaneuse, craignant 

a    ,    u-    i"     *•  ■  h       fi  '  P'us  calme 

de  trahir  leuiotion  qui  l'envahit  peu  a    peu 

Il  ■     -  -T— * 


i 


* 


§s 


VP 


*     \>U 


loco  rit . 


I 


S 


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TT \~ 


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£ 


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^1=^^" 


\i%- 


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iJ^rP- 


Pi 


^ 


304 


l  bumbleiueut  ) 


j  -3=TTJiiT J~  JT  ji  l  h J J^  *  ï  ,J  J  J  l  J_Q*  r  ^ 


Si       tu  ih'u'ux tnc  pardon    _  ner jem'en  1    _    l'ai... sans    le     re 


* 


i 


p 


P 


SB- 


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•>!? 


.!* 


fe 


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fa." 


<> 


TT 


uu  peu    retenu  serrez 


^==^ 


J* 


fr    |;     ^_p^li^^ 


a 


.voir!.        Mais  rends  lui       sûn  amour  bri  _  se!. 


'm 


i 


poco   rail  . 


I 


P&o         r'- 


Z~W 


« 


S 


i 


<> 


*> 


^:     ~~ ^ 


2X 


n 

TT 


3I~ 


Moins    vite  et  très  expressif 


El 


*=K 


J  1  J      ^  J 


fe£ 


3        _ 


P^ 


lu  G. 


9^^m — 
tout  au       fond    de  toi    mê  _   me. 


$ 


F^¥ 


il  reste  un    peu 


w^m 


i 


i^# 


£=i 


§H 


f 


pum 


cresc,    unimuto 


#— #■ 


5=£^ 


# — #> 


la  G. 


3= 


e 


E2 


de       bon„té! 


i 


Didier,         rendslui 


_  le  qui 


m. k 


kl 


^-v 


H 


ES 


=s? 


g)Π


=& 


■fi- 
ns- 


S 


1 


,f7y        JE 


É 


m  m 


A.C 


305 


(Elle   se  jette  aui  pieds  de  Didier) 

Très  vibrant 


É 


^^ 


la  G. 


r     p  n 


se  -        -  je     meurtrir 


mon        ca'urL 


Dus 


P 


<>       y 


g^5 


1 


T==f 


rr 


s 


•^ — -j- — ^ 


en    animant    encore 


fe^^r»-  pr     ë 


retenez 


la  G. 


^^ 


se 


je       traîner  mes    ge    _    doux  sur      lespier     _     res, 


i 


fe=- 


s 


l 


s=i 


f 


:r-p 


retenez 


1      jfF 


S 


? 


(dan-  un   accent  déchirant) 
ten 


m; 


"«# 


fc — r 


^ 


Ë^# 


et 


meurer 


des  lar  .     _  mes  de     san 


i 


f  j.     * 


s 


§i 


poco    rubato 
1 


ubato  i         I  i 

»7       t      i 


W^ 


306 


lati. 


m    zj=t — EM-Lj 


,i,i 


qu'à    l'heu     _    ru        (1er  .   ait) 


.    H' 


ffiNÊ 


( 


«/ 


r— H"  f~7 


^#^ 


é= 


1  f    f  '  f    ? 


3IT 


allargmndo  |M 

lfc=?  tg 


je  te  be 

très  retenu 


è 


Grandioso    J  — 104 


' 


ftxi 


307 


muiER 


¥3F^ 


£ 


Di. 


rien, 


g |f  __ e — __^ — # — 


$ 


ls= 


u 


LA    GLANEUSE 


S 


^P^ 


g~n rr 


E — - 


Di. 


^5 


r=nrBin^r?"fe 


Je  te    sup 


g 


^^ 


Je 


SOPR.et   CONTK. 


i 


te  ce'de  _        _   rai  ! 

On  entend    les   chants    de    la  procession    revenant     du   Pèlerinage 


>T^-V 


m 


«p 


ii  _  si*_re_re  nos     _    tn       oo  _  muie 


dt 


TENORS 


^ 


wt=z=£*^m 


iS 


î£^ 


m 


Mi  _    sé_re_re  nos 
P 


tri       do.muie 


fc,  .If  3       f   =¥ 


PPP^ 


-*-£■ 


fr^r-^t 


ïï~m — v 


m 


"V 


31 1  -    so_re_rc  no 
Lent  Jr60 


tii        do _  muR'. 


Ts-H  i-j-£ 


fa? 


^ftRf 


f-fl^* 


Pj=B 


-*^ 


^2fc 


ï^ï 


7i/"  subito 


fp 


ë  :  _g_ 


m, 


=£E 


3Π


II 


^ 


^ 


S 


^iciri 


308 


la  G 


Mi      .      -r  _    rc   _  re 


$ 


X- 


■  c    _   re  _    re 


^ 


Mi 


si'   _    rc  _    r*' 


^fcs 


*""t~ffi" 


im>     _     tri 


DOS     -      tri 


PP^P 


* 


nos     _     tri 


I 


s 


:v        m 


je  t'ilU     «      [)lo 


f 


^5 


').  £  î 


aa 


Pierre  parait  tur  le  seuil  observant  aoxieuaenent  Didier  et  la  Glaneuse 


re! 


G 


fcfrif      g  — fe=~g — E    ^  T^^ 


^7~T 


_    ;it  mi     _     se     -     ri  _    cor   -   d 


i       _      ;i 


T=f    f    J4 


tll    _  il  , 


p^pp 


i      _        _     at  mi     _      se     _     ri     _         _    cor   -    di 


tu  _  a  , 


;"''■'  i      [    [    H    il   i    i     m 


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_     at  nu     -      se    _     ri 


_    cor  _    di 


tu  -  a , 


?    f    r 


La 


Procession   piiiaiî  au  fond   de  la  scène  „...-. 

î  profilant  à  travers  leb  grands  Pins  t 


se  p 


30  fl 

Didier  se  découvre  et  la  GfauiMise 


à  genou*    semble    adresser  au  ciel    une    muette    prière 


ipe.  l'a      vi 


4- 


pipp 


*     «I 


~* 1: 


ï 


"FF 


— s- 

a." 


310 


1  .    sortègv  ilf  la  Proccssiou  ses!  agenouillé  di'vtuil 
un  calvaire  Iras  dissimulé  par  les  *;i|>in-  sur  la  gauche 


dou.r    (avec  ferveur) 


311 


a  Tempo 


auimato 


7>\i 


allarg, 


-m. 


1 1- ->  derniers  mot*  il»-  Suiel  dut 
achevé  de  troubler  Didier    et  le 
.  pardon  te  gliuo  do.ua  >i>n  otnur 


UilMi  i; 
dnua  un  bel  clan 
i'adrusauut  il  la  Glaucusu    j. 


très  allarg. 


')::, 


'^rt^lhmhM 


Pierre   accourt    rayonnant 
vers  I»  Glaneuse 


^S 


/ 


SE 


lifs    _     te j'ai  pardon    _        _     ae 

a  Tempo   largement 

tré*    al  lit r^. 


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M-  S 


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Ped. 


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LA    GLA.NLTSE 


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te 


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IMEKKL 

'il    v    P 


.Marne 


Mon      enfant!. 


\TJJ:   fff 


§* 


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ro! 


Marne     _     re! 


*  3 


*=*=* 


^^ 


S  "U  g  S  1 


P 


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3 


p  p  p  p- 

c=i=i=e: 


"^ 


Igj 


fe 


^ 


313 


les  jouîtes  filles  sont  toutes  agenouillées 


puis  l.i  Glaneuse  s'adressant  à  Pierre  et  lui 
montrant  Suzel  (|iii  est  restée  agenouillée 

LA  GLANEUSE    * 


% 


£ 


S 


^UUU 


Va 


l'em_bras.ser 


i 


je     te     la 


.  no        .  bis 

Plus  vite    J  =  96 


.-m 


l'une  cuurl  ver*   Suivi 


la   GIbAoum  !'••>  regardant  le 
yeui  illuminés  (lr  bonheur 


la  G. 


la  G 


kL\  GLAXEUSE 


allanj 


31; 


Paris,  linp.  H.  MINOT,  4,  ru*>  Camiilt'-Tahan. 


HaudonGr. 


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